???FalconAircraft a écrit : Surtout que c'est 2,4 %..
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https://www.sia.aviation-civile.gouv.fr ... 2.LFKT.pdf
Modérateur : Big Brother
???FalconAircraft a écrit : Surtout que c'est 2,4 %..
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Le problème c'est qu'un instructeur doit laisser ses élèves prendre les décisions, quitte à les commenter au debriefing, et s'il s'oppose à la décision d'un élève, il doit expliquer pourquoi.Squish a écrit :Bon alors, c'est quoi le problème ?AleXx a écrit : Cela dit j'avais calculé les perfos et ça passait dans les deux cas (en 05 ou en 23).
faut arreter d'enculer les mouches, c'est pas du Concorde ou du TP.
tant que ça passe, après le choix peut être opérationnel (futur CPL ?), choisir un autre QFU permet d'éviter un 180° après la montée initiale et faire une directe. C'est comme ça que je le vois.
après il manque le terrain, les perfos avions, le type d'avion, les obstacles aux alentours c'est vrai.
Je n'aurais pas mieux dis!JAimeLesAvions a écrit :Le problème c'est qu'un instructeur doit laisser ses élèves prendre les décisions, quitte à les commenter au debriefing, et s'il s'oppose à la décision d'un élève, il doit expliquer pourquoi.Squish a écrit :Bon alors, c'est quoi le problème ?AleXx a écrit : Cela dit j'avais calculé les perfos et ça passait dans les deux cas (en 05 ou en 23).
faut arreter d'enculer les mouches, c'est pas du Concorde ou du TP.
tant que ça passe, après le choix peut être opérationnel (futur CPL ?), choisir un autre QFU permet d'éviter un 180° après la montée initiale et faire une directe. C'est comme ça que je le vois.
après il manque le terrain, les perfos avions, le type d'avion, les obstacles aux alentours c'est vrai.
Raoul Volfoni a écrit :???FalconAircraft a écrit : Surtout que c'est 2,4 %..
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https://www.sia.aviation-civile.gouv.fr ... 2.LFKT.pdf
en revanche le vent...il peut varierFalconAircraft a écrit :1,5 % beaucoup ? jusqu'à 2% les perfos sont quasi identiques ( dans la vraie vie), en revanche le vent....
AleXx a écrit :Hello tout le monde,
Vol local pour un vol avec FI dans le but de proroger une qualification SEP. Au point d'arrêt, fin de la checklist avant décollage. Vent favorable dans l'axe de la piste 23 (220 - 240° environ 5 à 7kts). Fréquence A/A et annonce que je m'aligne en 23 (piste légèrement montante). Mais le FI me demande de prendre la 05 (du coup avec une pente plus favorable mais 5 à 7kts dans le cul). La TODA est de 700m (piste en dur). Vitesse de rotation 55kts. Voilà pour le contexte.
Résumons :
- Piste 23 montante mais vent de face
- Piste 05 descendante mais vent dans le cul
Maintenant, je n'étais pas du tout d'accord avec le FI. J'ai tout de même accepté sa décision car il est en quelques sortes l'autorité la plus haute à bord. Cela dit j'avais calculé les perfos et ça passait dans les deux cas (en 05 ou en 23). Je lui ai fait part de mon avis, et trouvais totalement con de se pénaliser avec du vent arrière au décollage sur une distance relativement courte, bien que la piste soit descendante (pente environ 1,5% de moyenne). Le vol s'est bien passé. J'ai bien débriefé, aucun soucis la dessus.
En revanche ce qui m'intéresse, c'est de savoir comment vous auriez réagi en tant "qu'élève pilote" avec FI. Officiellement vous n'êtes plus élève car vous avez votre licence PPL depuis plusieurs années mais vous n'êtes pas CDB non plus. Il s'agissait uniquement d'un vol annuel pour prorogation SEP. Qu'auriez-vous dit : Négatif je veux décoller en 23 ? Et si le FI maintient sa version, vous rentrez au parking ?
Bonne journée.
PS : Pour ceux qui me connaissent, sachez que ce n'était pas moi qui volais ce jour là. Un ami pilote a emprunté mon compte afin qu'il puisse obtenir des retours d'expérience d'autres pilotes. Merci à vous.
Pourquoi sous le plan?Fabrice76 a écrit :, de faire une approche plus lente (-5 kts par rapport à 1,3 vs) et sous le plan.
Bah moi non seulement je la recommanderais pas en vent arrière, mais je la recommanderais pas non plus autrement ! C'est dangereux et inutile. Un atterrissage vent arrière ca se fait a la vitesse standard et sur le plan, en calculant ses perfos sur le meme principe qu'un atterrissage sans volet ou a haute altitude densité puisque le toucher se fera dans la meme gamme de vitesse sol. (doubler la distance d'atterrissage requise donne un bon ordre de grandeur pour les élèves). Quant au reste, la decision de décoller face a la pente ou vent dans le dos ou face au relief, c'est typiquement le genre de chose qui depend de facteurs variables et qu'on ne peut théoriser sur un forum. Dites vous simplement qu'un jour ou l'autre il y a des decisions a prendre et bien connaitre ses perfos (pour de vrai aux commandes, pas juste dans le manuel) est un prérequis indispensable... les instructeurs sont la pour vous y sensibiliser, remettre en cause leurs decisions n'est pas forcement opportun, mais en discuter pour comprendre les raisons de leur choix est toujours utile. Pour autant que l'instructeur sache ce qu'il fait...JAimeLesAvions a écrit :Le seul intérêt que je vois d'être sous le plan est lorsqu'on fait un atterrissage enfoncé dans le second régime, pratiquement plein gaz et nez très haut. Dans une telle configuration, on n'a pas beaucoup de marge de manoeuvre pour arrondir, puisqu'on est pratiquement plein gaz et qu'il faudrait ajouter de la puissance pour arrondir. C'est la technique utilisée pour les compétitions d'atterrissage court. Elle n'est pas réglementaire sur la plupart des avions qui imposent une limite basse pour l'approche. Dès qu'on réduit l'avion tombe. Ce n'est réellement pas quelque chose que je recommenderais pour atterrir vent arrière.
Je suis bien d'accord. Je voulais juste expliquer d'où vient cette histoire d'approche sous le plan. En plus sur nos avions le problème n'est pas tant la distance d'atterrissage que celle de décollage. Si on est limite pour atterrir, on aura du mal à repartir.-Tomcat- a écrit :Bah moi non seulement je la recommanderais pas en vent arrière, mais je la recommanderais pas non plus autrement ! C'est dangereux et inutile.JAimeLesAvions a écrit :Le seul intérêt que je vois d'être sous le plan est lorsqu'on fait un atterrissage enfoncé dans le second régime, pratiquement plein gaz et nez très haut. Dans une telle configuration, on n'a pas beaucoup de marge de manoeuvre pour arrondir, puisqu'on est pratiquement plein gaz et qu'il faudrait ajouter de la puissance pour arrondir. C'est la technique utilisée pour les compétitions d'atterrissage court. Elle n'est pas réglementaire sur la plupart des avions qui imposent une limite basse pour l'approche. Dès qu'on réduit l'avion tombe. Ce n'est réellement pas quelque chose que je recommenderais pour atterrir vent arrière.