Avez-vous trouvé un JOB ?
Modérateur : Big Brother
Avez-vous trouvé un JOB ?
Depuis quelque temps on parle d'un renouveau dans l'industrie aéronautique, beaucoup de compagnie se sont mis en mode embauche et je voulais savoir si beaucoup d'entre vous avez trouvé un Job au cours des derniers mois. Je veux juste avoir une idée de l'ampleur de la chose
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Perso j'avais déjà un siège en 2016 mais j'ai commencé réellement sur la ligne l'année passée (2017). Pour information, la plupart des mes amis/connaissances ont trouvé dans différentes boîtes au cours des deux dernières années ( Ryanair, TNT/ASL, Brussels Airlines, TUI, Luxair, Jetfly...). Tous le même parcours, fin des études 2012/2014 par là, moins de 30ans et certains un peu d'instruction mais la plupart abinitio.
Ca doit représenter entre 30 et 40 personnes, peut-être un peu moins. J'ai travaillé également aux opérations pour une compagnie belge et je peux garantir que ça recrutait à fond les manettes et ça devrait encore être le cas cette année. Ca ne devrait pas durer à mon avis, mais je suis loin d'être un expert.
Ca doit représenter entre 30 et 40 personnes, peut-être un peu moins. J'ai travaillé également aux opérations pour une compagnie belge et je peux garantir que ça recrutait à fond les manettes et ça devrait encore être le cas cette année. Ca ne devrait pas durer à mon avis, mais je suis loin d'être un expert.
The air is an extremely dangerous, jalouse and exacting mistress.Once under the spell most lovers remain faithful to the end, which is not always old.
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Ca recrute toujours en ce moment, mais c'est diffciile de dire si ca va durer : pas mal de boites ont fermé en 2018 (Air Berlin, Monarch, Primera, Small Planet) , et comme le baril repart à la hausse et que d'après pas mal d'économistes une crise et à prevoir en 2019/2020, je ne suis pas très optimiste pour la suite . Des boites fragiles vont sans doute avoir pas mal de difficulté en 2019 si le pric du baril continue à monter.
Merci de ta réponse.Chouffy a écrit :Perso j'avais déjà un siège en 2016 mais j'ai commencé réellement sur la ligne l'année passée (2017). Pour information, la plupart des mes amis/connaissances ont trouvé dans différentes boîtes au cours des deux dernières années ( Ryanair, TNT/ASL, Brussels Airlines, TUI, Luxair, Jetfly...). Tous le même parcours, fin des études 2012/2014 par là, moins de 30ans et certains un peu d'instruction mais la plupart abinitio.
Ca doit représenter entre 30 et 40 personnes, peut-être un peu moins. J'ai travaillé également aux opérations pour une compagnie belge et je peux garantir que ça recrutait à fond les manettes et ça devrait encore être le cas cette année. Ca ne devrait pas durer à mon avis, mais je suis loin d'être un expert.
Il est vrai que la question n'était pas facile, merci de ta réponse !flyingtom a écrit :Ca recrute toujours en ce moment, mais c'est diffciile de dire si ca va durer : pas mal de boites ont fermé en 2018 (Air Berlin, Monarch, Primera, Small Planet) , et comme le baril repart à la hausse et que d'après pas mal d'économistes une crise et à prevoir en 2019/2020, je ne suis pas très optimiste pour la suite . Des boites fragiles vont sans doute avoir pas mal de difficulté en 2019 si le pric du baril continue à monter.
Tu as fais quoi pendant ces dix années ?Craker a écrit :Trouvé également, presque 10 ans après ma formation. J'ai failli abandonné entre temps. Cela dit, j'espère investir ailleurs en parallèle.
Une fois , meme en poste, on se rend compte que ce n'est pas milieu stable et on peut perdre le job de 1001 façons.
Les recrutements ont l'air légèrement de ralentir (on voit un peu moins d'offres qu'il y a quelques mois) mais c'est une impression personnelle.
Je lis également souvent qu'une crise économique se profile, qu'en pensez-vous ? Y a t'il de sérieux indicateurs ?
Maintient de qualif ? Instruction ?
Et comment on trouve apres tant de temps ?
Intéréssant ..flyingtom a écrit :Ca recrute toujours en ce moment, mais c'est diffciile de dire si ca va durer : pas mal de boites ont fermé en 2018 (Air Berlin, Monarch, Primera, Small Planet) , et comme le baril repart à la hausse et que d'après pas mal d'économistes une crise et à prevoir en 2019/2020, je ne suis pas très optimiste pour la suite . Des boites fragiles vont sans doute avoir pas mal de difficulté en 2019 si le pric du baril continue à monter.
Après la grosse majorité des avions des compagnies citées volent ajrd sous d'autres couleurs, donc au final, même si des pilotes se sont retrouvés au chômage, cela n'a globalement pas eut de grosses conséquences sur le marché, ce qui n'était pas le cas lors de la crise précédente ou même celle qui a suivi le 11 septembre.
Donc meme si une éventuelle crise à venir serait certainement fatale à plusieurs compagnies sur la sellette, je ne pense pas que cela aurait un réel impact sur un marché qui est toujours globalement en expansion, dans le sens ou les compagnies fortes du moment récupérerait la majorité des avions impliqués, et donc aussi les mecs à mettre devant.
Pour moi ce qui serait bcp plus dangereux pour l'industrie serait un 11 Septembre, qui entrainement inévitablement une réduction (par peur) du nombre de voyageurs ..
Le risque n'est pas de 0 mais ça me semble très compliqué de pouvoir faire une attaque similaire vu les mesures de sécurité prises depuis 2001, à savoir les portes de cockpit blindés.TheoPL a écrit : Pour moi ce qui serait bcp plus dangereux pour l'industrie serait un 11 Septembre, qui entrainement inévitablement une réduction (par peur) du nombre de voyageurs ..
Il faudrait qu'il s'agisse d'un ou de plusieurs membres d'équipages qui fassent cela pour que ça arrive.
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Sortie d'ATO en 2016, les collègues de formation encore en recherche se compte sur les doigts d'une main; je fait partie des derniers a être entré en QT avec contrat à la clef.
2017 et 2018 ont été des années exceptionnelles pour l'emploi des jeunes pilotes.
Pour les années à venir je n'ai aucune idée de ce que cela va devenir, tant que les majors recruteront il y aura du mouvement. En quelles proportions c'est compliqué à dire.
2017 et 2018 ont été des années exceptionnelles pour l'emploi des jeunes pilotes.
Pour les années à venir je n'ai aucune idée de ce que cela va devenir, tant que les majors recruteront il y aura du mouvement. En quelles proportions c'est compliqué à dire.
Par 11 Septembre je n'entends pas recrasher des avions dans les tours mais par exemple plusieurs avions descendus comme le Malaysian en Ukraine ...Seiwaza a écrit :Le risque n'est pas de 0 mais ça me semble très compliqué de pouvoir faire une attaque similaire vu les mesures de sécurité prises depuis 2001, à savoir les portes de cockpit blindés.TheoPL a écrit : Pour moi ce qui serait bcp plus dangereux pour l'industrie serait un 11 Septembre, qui entrainement inévitablement une réduction (par peur) du nombre de voyageurs ..
Il faudrait qu'il s'agisse d'un ou de plusieurs membres d'équipages qui fassent cela pour que ça arrive.
Je suis du même avis. Je ne suis pas un expert mais l’aviation est cyclique, je pense qu’on se rapproche du sommet avant la degringolade prochaine. On ne peut pas dire que l’actualité soit encourageante, Venezuela, Brexit, Gilets Jaunes, tensions USA/Russie, la Chine qui ralentit sa croissance, l’Italie dans une spirale de surendettement,...flyingtom a écrit :Ca recrute toujours en ce moment, mais c'est diffciile de dire si ca va durer : pas mal de boites ont fermé en 2018 (Air Berlin, Monarch, Primera, Small Planet) , et comme le baril repart à la hausse et que d'après pas mal d'économistes une crise et à prevoir en 2019/2020, je ne suis pas très optimiste pour la suite . Des boites fragiles vont sans doute avoir pas mal de difficulté en 2019 si le pric du baril continue à monter.
Je ne suis pas réellement d’accord avec ce que vous dites, l’aviation a bien des hauts et des bas, cependant tant que les ventes d’avions continuent et en voyant l’age moyen des pilotes dans toutes les compagnies qui est en hausse ( donc départ à la retraite), je ne me fais pas de soucis. Pour ce qui est du contexte actuel, usa/russie ça fait combien de décennies ? Gilet jaunes, je ne vois pas le rapport avec l’aviation et en quoi ça peut l’impacter, pareil pour l’italie, ( regardez l’Espagne il y a quelques années, et ils s’en sortent plutôt bien niveau aviation), Brexit, a moins que tu sois avec des licences anglaises ( et encore) ça ne nous changeras pas la vie. Le Venezuela c’est pas nouveau de l’année dernière, et ça n’a pas influencé tant que ça ces deux dernières années de folies pour le développement de l’aviation. Et puis le Venezuela ça ne peut que aller en s’arrangeant maintenant, donc un des plus gros pays pétrolier qui va normalement reproduire à foison. Le seul petit HIC c’est La chine effectivement mais tant que la baisse des commandes d’avions ne se fait pas ressentir, il n’y pas de quoi s’alarmer.
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Il faut regarder un peu plus macro. Les impactes sur l'aviation ne sont certes pas ultra important pour le moment, mais c'est parce que l'économie mondiale globale tiens le choc. A partir du moment où tu as une crise, c'est le château de carte et l'aviation est un des premiers secteur touché. Donc par rapport à la situation de l'Italie (si faillite, c'est tout le système qui est en péril), Brexit (impact largement l'économie de l'UE donc les passagers et la croissance du secteur), plus la hausse du prix du pétrole tout ça peut faire baisser la croissance et ralentir le marché. En tout cas en Europe, pour le moment l'Asie bénéficie aussi de l'enrichissement des classes moyennes et vu le nombre d'habitant le potentiel est énorme. En Europe, nous ne sommes plus aussi dynamique et à part en Europe de l'est où des boites comme Wizzair en profites, si crise il y a, ce sera compliqué de dynamiser le marché autre que par une baisse des prix et donc plus de part de marché pour les low cost.
Bref en économie, il faut partir de la source et voir les dommages collatéraux sur les secteurs annexes. L'aviation étant très sensible aux variations des changements économiques, donc elle sera touchée.
Bref en économie, il faut partir de la source et voir les dommages collatéraux sur les secteurs annexes. L'aviation étant très sensible aux variations des changements économiques, donc elle sera touchée.
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