Réorientation Pro + Conseils
Modérateur : Big Brother
Tu sais il y en a plus qu'on croit.
Pas besoin d'argent donc pas besoin de bosser mais avec l'âge ils ont besoin d'un statut. Ils s'aperçoivent qu'ils passent pour des guignols a vivre de l'argent fait par d'autres...
Et généralement c'est à cet âge qu'ils s'agitent
Et quelqu'un qui travaille pour ces raisons ne fait pas long feu. Donc ils essaient de les éviter... Donc à un entretien, je pense qu'il ne faut jamais dire qu'on ne fait pas ça pour l'argent...
Pas besoin d'argent donc pas besoin de bosser mais avec l'âge ils ont besoin d'un statut. Ils s'aperçoivent qu'ils passent pour des guignols a vivre de l'argent fait par d'autres...
Et généralement c'est à cet âge qu'ils s'agitent
Et quelqu'un qui travaille pour ces raisons ne fait pas long feu. Donc ils essaient de les éviter... Donc à un entretien, je pense qu'il ne faut jamais dire qu'on ne fait pas ça pour l'argent...
Et bien ils ont de la chance, j'aimerais bien ne pas bosser et ne pas avoir de culpabilité, rien que revenir chez mes parents le temps de changer d'Ato j'ai l'impression d'être un bon à rien comme on en voyait dans le temps sur Nrj12, tant mieux pour eux si leur mental dit que c'est ok!
Pour l'aspect débouchés, je veux pas jouer les mauvaises langues (premièrement par égoïsme car si le marché pète la forme pour les 3 prochaines années moi qui chercherai bientôt du boulot ça m'arrange le premier n'est-ce pas ) mais mes contacts en ligne m'ont dit de pas trainer de finir, selon certains on arrive dans la phase descendante de la vague.
Après difficile de quantifier le niveau des embauches entre 2017 et maintenant, il est clair que les gens étaient tous enthousiastes à cette époque car tout repartait, la question serait de savoir si on est en régime de croisière et donc il y a moins d'euphorie mais un même taux d'embauche, ou si véritablement ça a commencé à décroitre...
Pour l'aspect débouchés, je veux pas jouer les mauvaises langues (premièrement par égoïsme car si le marché pète la forme pour les 3 prochaines années moi qui chercherai bientôt du boulot ça m'arrange le premier n'est-ce pas ) mais mes contacts en ligne m'ont dit de pas trainer de finir, selon certains on arrive dans la phase descendante de la vague.
Après difficile de quantifier le niveau des embauches entre 2017 et maintenant, il est clair que les gens étaient tous enthousiastes à cette époque car tout repartait, la question serait de savoir si on est en régime de croisière et donc il y a moins d'euphorie mais un même taux d'embauche, ou si véritablement ça a commencé à décroitre...
Après... les departs en retraite vont être comblés au fur et a mesure.
Si on ajoute à ça l'augmentation du nombre de voyageurs disons que ça sera peut être pas la folie mais il y aura moyen d'avoir une place...
Je pense que les recrutements sont passés de très faible à haut... ça a fait parler. Puis après l'euphorie est passée.
Maintenant ça va peut être se maintenir "juste" à niveau correct.
Moi je suis à mon compte en mode "guerrier" depuis 10 ans...donc bon si ils ferment les portes j'essaierai les fenêtres... D'autant que je conserve mon boulot pendant ma formation. Donc je maitrise le risque un petit peu.
Après d'un point de vue égoiste, les gens qui ne se lancent pas sont autant de concurrent en moins. Donc bon. Si on suit ce raisonnement, je conseille a tout le monde de faire très attention car la crise peut vite revenir...
Si on ajoute à ça l'augmentation du nombre de voyageurs disons que ça sera peut être pas la folie mais il y aura moyen d'avoir une place...
Je pense que les recrutements sont passés de très faible à haut... ça a fait parler. Puis après l'euphorie est passée.
Maintenant ça va peut être se maintenir "juste" à niveau correct.
Moi je suis à mon compte en mode "guerrier" depuis 10 ans...donc bon si ils ferment les portes j'essaierai les fenêtres... D'autant que je conserve mon boulot pendant ma formation. Donc je maitrise le risque un petit peu.
Après d'un point de vue égoiste, les gens qui ne se lancent pas sont autant de concurrent en moins. Donc bon. Si on suit ce raisonnement, je conseille a tout le monde de faire très attention car la crise peut vite revenir...
Tu m'aurais dit ta dernière phrase à l'époque avant de me lancer j'aurai suivi, mais là avec l'Atpl, l'Irse dans la poche et le Cpl où j'ai qu'à passer le test, je dirais "foutu pour foutu autant aller au bout"
Il y a effectivement un effet d'euphorie passé, là on verra où ça mène, entre 2017 et maintenant il y a quand même AF qui a ouvert les vannes, c'est plutôt positif...
J'ai jeté un oeil sur les offres d'emplois, le dernier à chercher c'est Air Dolomiti, ils ont posté l'annonce... hier
Bizarrement comme à la même époque l'an passé, les autres opérateurs ont pour pas mal fermés les recrutements (sauf Ryr), ça coincide avec les charters qui sont occupés à préparer la saison d'été... on aura une nouvelle vague sûrement en septembre, faut pas non plus oublier la saisonnalité de certains opérateurs!
Il y a effectivement un effet d'euphorie passé, là on verra où ça mène, entre 2017 et maintenant il y a quand même AF qui a ouvert les vannes, c'est plutôt positif...
J'ai jeté un oeil sur les offres d'emplois, le dernier à chercher c'est Air Dolomiti, ils ont posté l'annonce... hier
Bizarrement comme à la même époque l'an passé, les autres opérateurs ont pour pas mal fermés les recrutements (sauf Ryr), ça coincide avec les charters qui sont occupés à préparer la saison d'été... on aura une nouvelle vague sûrement en septembre, faut pas non plus oublier la saisonnalité de certains opérateurs!
De toute façon, si on veut devenir pilote il faut bien se lancer un jour. Après, il faudra suivant la conjoncture, se battre ou pas pour obtenir son emploi, mais à force d'attendre le "bon moment", on ne fera rien.
Pour moi, autant se lancer quand on est prêt. Si possible déjà avec un diplôme dans les bagages afin de pouvoir travailler après sa formation si on ne trouve pas tout de suite un premier job de pilote.
Pour moi, autant se lancer quand on est prêt. Si possible déjà avec un diplôme dans les bagages afin de pouvoir travailler après sa formation si on ne trouve pas tout de suite un premier job de pilote.
100% d’accord. C’est jamais le bon moment de toute façon... Vaut mieux avoir sa licence de pilote pour saisir l’opportunité quand elle se présente.Edwin a écrit :De toute façon, si on veut devenir pilote il faut bien se lancer un jour. Après, il faudra suivant la conjoncture, se battre ou pas pour obtenir son emploi, mais à force d'attendre le "bon moment", on ne fera rien.
Pour moi, autant se lancer quand on est prêt. Si possible déjà avec un diplôme dans les bagages afin de pouvoir travailler après sa formation si on ne trouve pas tout de suite un premier job de pilote.
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- Chef pilote posteur
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Évidemment, la question c'est de savoir si on attend ou pas pour se lancer pour assurer ses arrières avec un diplôme ou non, dans une conjoncture montante et optimiste même à un jeune de 18 ans je lui dirais de foncer (et j'en ai vu qui finissent maintenant la formation et tant mieux pour eux), dans un contexte qui devient moins certain, la question peut se poser... Si tout se passe au niveau de la demande bien tant mieux, mais si entre temps ça se passe mal niveau embauche, il fait quoi le jeune après, a fortiori s'il a un crédit?Edwin a écrit :De toute façon, si on veut devenir pilote il faut bien se lancer un jour. Après, il faudra suivant la conjoncture, se battre ou pas pour obtenir son emploi, mais à force d'attendre le "bon moment", on ne fera rien.
Pour moi, autant se lancer quand on est prêt. Si possible déjà avec un diplôme dans les bagages afin de pouvoir travailler après sa formation si on ne trouve pas tout de suite un premier job de pilote.
Le cas n'est pas le même avec des anciens comme TZ28 ou moi qui avons déjà un peu de vécu et qui peuvent se permettre d'arrêter leur carrière 1 an comme n'importe qui ferait une année sabbatique... ça marche pas on retourne à notre vie d'avant, ça marche bien on réalise notre dream job.
Dans tous les cas il faut beaucoup de motivation et savoir bien s'entourer, le genre de contacts qu'on peut appeler quand on a un coup de mou ou une tuile et qui mettent bien les yeux en face des trous, car devenir pilote c'est pour beaucoup pas une autoroute, l'avantage c'est que ça forge et rend des gens adaptatifs au long cours, que ce soit dans le cadre aéronautique ou dans la vie de tous les jours!
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