C'est amusant cette réflexion sur ces deux personnes citées dans ton post. Moi qui pensais être le seul à avoir ce ressenti sur cet imbécile de C.Rapp, je m'aperçois finalement que pas grand monde ne le portait dans son coeur... J'ai perdu mon emploi à cause de ce charognard et de cette compagnie qui nous avait demandé de démissionner de nos postes avant le SADE. Tout ça pour finalement nous abandonner dans la nature en fin de stage d'intégration, seuls les pistonés ayant été intégrés... Pire encore, un de mes collègues de l'époque s 'est fait virer par ce même chef pil sans raison au bout de quelques mois se retrouvant lui aussi dans une certaine galère...foxromeo330 a écrit :Quel gâchis pour Aigle Azur surtout pour ces nombreux et sympathiques crews et PS.
Cependant, je me réjouis (et je suis loin d'être le seul) à savoir que certains ex-zi vont être au chômage, je pense notamment à ces 2 pauv' types C.Rapp et malassis.
Ils vont devoir se sortir les doigts du c..., bosser le guide pratique du PL et essayer de réussir (ce que je ne leur souhaite pas) les éventuelles sélections.
Surtout C. Rapp, cet imbécile s'est cru intouchable et pensait que son avenir était assuré...mais la roue a tourné et je lui souhaite de toujours trouver porte close !!
De toute façon, il est grillé voir calciné chez bien des collègues.
Sinon ils pourront toujours aller faire la p... chez Volotea si elle veut bien les accueillir.
Mais finalement, la roue a tourné et ce peu scrupuleux personnage, se pensant intouchable se retrouve à la cinquantaine à la recherche d'un emploi. Je lui souhaite d'intégrer AF et de commencer comme tout le monde copi 320! Mais d'après certaines personnes que je conais, il était loin d'être une fusée pour reprendre leur terme ( ce qui ne m'étonne pas vu le peu d'humilité de sa personne ).
Quoiqu'il en soit, j'aurais préféré qu'il se fasse débarquer et que la compagnie survive. C'est triste pour tous ces salariés qui se retrouvent dans une galère à un moment ou le marché en France n'a pas le vent en poupe.
Courage à tous ceux là