A380
Modérateur : Big Brother
<!-- BBCode Quote Start --><center><table BORDER=0 CELLSPACING=1 CELLPADDING=0 COLS=1 WIDTH=95% BGCOLOR=#000000>
<tr align=left><td BGCOLOR=#FFE795><b><font face=Arial,Helvetica><font color=#FF6600><font size=-1> Citation: </font></font></font></b></td></tr><tr align=left><td BGCOLOR=#FAF9ED>
<blockquote><font face=Arial,Helvetica><font color=#666666><font size=-1>APM20 a écrit:
Fantastique!
La suite, lundi et mardi à 15h45.</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->
Sans oublier l'émission <!-- BBCode Start --><U>C dans l'Air</U><!-- BBCode End --> d'Yves Calvi le mardi 18 janvier à 17H50 sur France 5 également.
a+
Snoop' <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/thumbs.gif">
_________________
"No bucks, no Buck Rogers"
<tr align=left><td BGCOLOR=#FFE795><b><font face=Arial,Helvetica><font color=#FF6600><font size=-1> Citation: </font></font></font></b></td></tr><tr align=left><td BGCOLOR=#FAF9ED>
<blockquote><font face=Arial,Helvetica><font color=#666666><font size=-1>APM20 a écrit:
Fantastique!
La suite, lundi et mardi à 15h45.</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->
Sans oublier l'émission <!-- BBCode Start --><U>C dans l'Air</U><!-- BBCode End --> d'Yves Calvi le mardi 18 janvier à 17H50 sur France 5 également.
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salut à vous
..avant que le 3-80 ne vienne détronner une bonne fois pour toute le myhtique 747, qui reste le roi du ciel jusqu'à demain 10h, regardez cette video du jumbo posant par...fort vent de travers...
Ca a fait BOUMMM
http://www.flightlevel350.com/mediatemp ... 195358.wvx
..avant que le 3-80 ne vienne détronner une bonne fois pour toute le myhtique 747, qui reste le roi du ciel jusqu'à demain 10h, regardez cette video du jumbo posant par...fort vent de travers...
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Magnifique le 380 au JT de france2, tout simplement <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/thumbs.gif">, je suis ému, vivement le jour où je le verrai en vol à Tlse, et pour les heureux veinards de la cérémonie de demain profitez-en bien, et ramenez-nous des photos ! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_wink.gif">
Une question me vient à l' esprit en voyant la vidéo du cockpit mais je m' étonne de ne pas voir d' instruments analogiques, où sont passés les instruments de secours obligatoires ? <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_confused.gif">
Une question me vient à l' esprit en voyant la vidéo du cockpit mais je m' étonne de ne pas voir d' instruments analogiques, où sont passés les instruments de secours obligatoires ? <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_confused.gif">
Je viens de voir la cérémonie d' inauguration du 380, que du bonheur, tout simplement magique, cet avion est magnifique, splendide, que dis-je il n' y a pas de mots pour le décrire, j' ai l' impression de rêver, j' ai encore les larmes aux yeux, je suis tombé amoureux, c' est le plus beau jour de l' aviation ! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_biggrin.gif"> <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_biggrin.gif"> <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_biggrin.gif">
Rendez-vous fin mars début avril pour les vols d' essais ! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_wink.gif">
Rendez-vous fin mars début avril pour les vols d' essais ! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_wink.gif">
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- Chef pilote posteur
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Le plus gros avion civil de l'histoire devait être présenté, mardi 18 janvier, devant quatre chefs d'Etat et de gouvernements européens. L'importance de la cérémonie montre que l'appareil est devenu un symbole de la construction européenne.
Lever de rideau sur l'A380. Pour célébrer la sortie du plus gros avion commercial du monde, mardi 18 janvier, deux jours de festivité rassemblant successivement 4500 et 5000 personnes ont été organisés sur le site d'Airbus à Blagnac, près de Toulouse (Haute-Garonne).
Mardi 18 janvier, la cérémonie s'est déroulée en présence des quatre chefs d'Etat et de gouvernement représentant les pays participant au programme : le président français Jacques Chirac, le chancelier allemand Gerhard Schröder, le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero et le premier ministre britannique Tony Blair.
Le lendemain, ce devait être au tour du personnel d'Airbus de vivre cet instant. Ne pouvant inviter l'ensemble de ses salariés à l'événement, le constructeur aéronautique a convié 10% de ses effectifs. Venus du monde entier, ils ont été choisis par tirage au sort pour découvrir l'avion géant. Cependant, il ne s'agit que d'une présentation de l'avion, les premiers vols d'essai devant intervenir en mars. L'A380 sera ensuite la vedette du Salon du Bourget en juin.
Pour cette présentation à Toulouse, quatre des huit halls (d'un hectare chacun) nécessaires à l'assemblage de l'A380 ont été mobilisés. Une de ces pièces géantes a été transformée en théâtre pour une quarantaine de minutes de spectacle alliant haute technologie, danse et poésie. Projeté sur un mur d'eau, un personnage virtuel en trois dimensions raconte l'histoire d'Airbus, de sa formation par quatre pays européens à la conception des différents modèles avant d'aboutir au lancement de l'A380.
Le spectacle se veut à la hauteur de l'appareil et de ses espérances. Avec deux niveaux, l'A380 est capable de transporter dans sa configuration minimale 555 personnes, soit le maximum de son concurrent le Boeing 747. Il peut en revanche accueillir jusqu'à 800 passagers, sur 14800 kilomètres. Il a coûté 10,7 milliards d'euros, comme le tunnel sous la Manche.
Par cette réalisation, le groupe présidé par Noël Forgeard veut conquérir le seul créneau du marché aéronautique des appareils de plus de 100 places qui lui échappait encore : celui des avions gros-porteurs. Il entend mettre un terme au monopole de Boeing, seul sur ce marché depuis plus de trente-cinq ans avec son 747. Après avoir détrôné son concurrent américain de la première place mondiale tant en termes de commandes que de livraisons d'appareils depuis deux ans, Airbus veut s'imposer dans tous les secteurs.
La réussite de l'A380 est avant tout européenne. Dès le départ du projet en décembre 2000, le choix a été d'optimiser au mieux les installations d'Airbus réparties dans les quatre pays que représentent ses actionnaires (le groupe d'aéronautique et de défense franco-allemand-espagnol EADS à hauteur de 80%, et le britannique Bae Systems pour 20%). L'avion a été découpé selon les compétences de chacun : aux Britanniques la voilure, aux Français la partie avant et centrale du fuselage, aux Allemands l'arrière et aux Espagnols l'empennage et la dérive. Sous la responsabilité de Charles Champion, les 6500 ingénieurs ont réalisé ce programme en moins de cinq ans. Ils ont été confrontés à des défis technologiques comme la réduction de la consommation de carburant ou l'utilisation de matériaux composites pour réduire le poids.
Ainsi, les voilures britanniques ont été allégées par une innovation espagnole consistant à introduire du carbone pour les nervures de cette pièce en métal. Cela a permis une centaine de kilogrammes d'économie. Pour le fuselage, les Allemands ont proposé l'utilisation d'un matériau stratifié composé d'aluminium et de fibre de verre, le Glare, 10% moins dense que l'aluminium. Au final, chacun des quatre avions géants aujourd'hui assemblés a une masse qui varie au maximum de 1% par rapport à l'exigence du départ.
Le programme a néanmoins fait l'objet d'un surcoût, estimé à 1,45 milliard d'euros. Ce montant concerne l'enveloppe des risques restant à couvrir, c'est-à-dire des devis à régler d'ici à 2011. Selon les dirigeants d'Airbus, cette somme peut donc être réduite et n'affecte pas la rentabilité du programme.
L'une des causes de ce dérapage tient à la construction de deux modèles d'avions cargos à la demande des futurs clients et non un comme prévu initialement. A cela s'ajoute la contrainte d'avoir à l'atterrissage des appareils plus silencieux qu'imaginé. Cette norme plus exigeante a été voulue par Singapore Airlines, première compagnie qui utilisera ces avions en 2006.
A ce jour, 139 commandes provenant de treize compagnies ont été enregistrées, et Airbus espère en annoncer deux cette année, notamment en provenance de Chine, dans la perspective des Jeux olympiques de 2008. L'avionneur européen compte, d'ici trois ans, atteindre les 250 exemplaires. Un niveau qui permettra d'équilibrer le programme. Airbus espère conquérir la moitié du marché potentiel des vingt prochaines années, soit 750 exemplaires sur 1535 avions, estime-t-il.
Ces pronostics sont contestés par Boeing. Pour le constructeur américain, le marché sera quatre fois moins important, avec à peine plus de 400 appareils. Ces différences d'appréciations confortent des stratégies opposées. L'avionneur européen mise sur un développement des grandes plates-formes aéroportuaires de connexion (les "hubs") desservies par de gros avions, permettant de désengorger le trafic aérien.
A l'inverse, Boeing voit l'avenir dans la multiplication des lignes nationales et internationales. Il s'agit alors de liaisons "point à point" qui permettent à des avions de taille moyenne de relier directement les villes entre elles, sans passer par de grands aéroports de transit. C'est la raison pour laquelle le constructeur américain a préféré lancer son 7 E7 Dreamliner, un avion longue distance de moyenne capacité.
Rendez-vous dans près de dix ans pour savoir qui aura eu raison sur le développement du marché des avions gros-porteurs. En attendant, les deux groupes ne cessent de s'observer. Boeing dit toujours avoir un projet de 747 modifié pour contrer l'A380. Airbus a quant à lui décidé en décembre 2004 de lancer un nouveau modèle, l'A350, pour faire face au 7 E7 lancé au printemps. Preuve s'il en fallait qu'aucun des deux constructeurs n'entend laisser trop longtemps le champ libre à l'autre.
Dominique Gallois
Lever de rideau sur l'A380. Pour célébrer la sortie du plus gros avion commercial du monde, mardi 18 janvier, deux jours de festivité rassemblant successivement 4500 et 5000 personnes ont été organisés sur le site d'Airbus à Blagnac, près de Toulouse (Haute-Garonne).
Mardi 18 janvier, la cérémonie s'est déroulée en présence des quatre chefs d'Etat et de gouvernement représentant les pays participant au programme : le président français Jacques Chirac, le chancelier allemand Gerhard Schröder, le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero et le premier ministre britannique Tony Blair.
Le lendemain, ce devait être au tour du personnel d'Airbus de vivre cet instant. Ne pouvant inviter l'ensemble de ses salariés à l'événement, le constructeur aéronautique a convié 10% de ses effectifs. Venus du monde entier, ils ont été choisis par tirage au sort pour découvrir l'avion géant. Cependant, il ne s'agit que d'une présentation de l'avion, les premiers vols d'essai devant intervenir en mars. L'A380 sera ensuite la vedette du Salon du Bourget en juin.
Pour cette présentation à Toulouse, quatre des huit halls (d'un hectare chacun) nécessaires à l'assemblage de l'A380 ont été mobilisés. Une de ces pièces géantes a été transformée en théâtre pour une quarantaine de minutes de spectacle alliant haute technologie, danse et poésie. Projeté sur un mur d'eau, un personnage virtuel en trois dimensions raconte l'histoire d'Airbus, de sa formation par quatre pays européens à la conception des différents modèles avant d'aboutir au lancement de l'A380.
Le spectacle se veut à la hauteur de l'appareil et de ses espérances. Avec deux niveaux, l'A380 est capable de transporter dans sa configuration minimale 555 personnes, soit le maximum de son concurrent le Boeing 747. Il peut en revanche accueillir jusqu'à 800 passagers, sur 14800 kilomètres. Il a coûté 10,7 milliards d'euros, comme le tunnel sous la Manche.
Par cette réalisation, le groupe présidé par Noël Forgeard veut conquérir le seul créneau du marché aéronautique des appareils de plus de 100 places qui lui échappait encore : celui des avions gros-porteurs. Il entend mettre un terme au monopole de Boeing, seul sur ce marché depuis plus de trente-cinq ans avec son 747. Après avoir détrôné son concurrent américain de la première place mondiale tant en termes de commandes que de livraisons d'appareils depuis deux ans, Airbus veut s'imposer dans tous les secteurs.
La réussite de l'A380 est avant tout européenne. Dès le départ du projet en décembre 2000, le choix a été d'optimiser au mieux les installations d'Airbus réparties dans les quatre pays que représentent ses actionnaires (le groupe d'aéronautique et de défense franco-allemand-espagnol EADS à hauteur de 80%, et le britannique Bae Systems pour 20%). L'avion a été découpé selon les compétences de chacun : aux Britanniques la voilure, aux Français la partie avant et centrale du fuselage, aux Allemands l'arrière et aux Espagnols l'empennage et la dérive. Sous la responsabilité de Charles Champion, les 6500 ingénieurs ont réalisé ce programme en moins de cinq ans. Ils ont été confrontés à des défis technologiques comme la réduction de la consommation de carburant ou l'utilisation de matériaux composites pour réduire le poids.
Ainsi, les voilures britanniques ont été allégées par une innovation espagnole consistant à introduire du carbone pour les nervures de cette pièce en métal. Cela a permis une centaine de kilogrammes d'économie. Pour le fuselage, les Allemands ont proposé l'utilisation d'un matériau stratifié composé d'aluminium et de fibre de verre, le Glare, 10% moins dense que l'aluminium. Au final, chacun des quatre avions géants aujourd'hui assemblés a une masse qui varie au maximum de 1% par rapport à l'exigence du départ.
Le programme a néanmoins fait l'objet d'un surcoût, estimé à 1,45 milliard d'euros. Ce montant concerne l'enveloppe des risques restant à couvrir, c'est-à-dire des devis à régler d'ici à 2011. Selon les dirigeants d'Airbus, cette somme peut donc être réduite et n'affecte pas la rentabilité du programme.
L'une des causes de ce dérapage tient à la construction de deux modèles d'avions cargos à la demande des futurs clients et non un comme prévu initialement. A cela s'ajoute la contrainte d'avoir à l'atterrissage des appareils plus silencieux qu'imaginé. Cette norme plus exigeante a été voulue par Singapore Airlines, première compagnie qui utilisera ces avions en 2006.
A ce jour, 139 commandes provenant de treize compagnies ont été enregistrées, et Airbus espère en annoncer deux cette année, notamment en provenance de Chine, dans la perspective des Jeux olympiques de 2008. L'avionneur européen compte, d'ici trois ans, atteindre les 250 exemplaires. Un niveau qui permettra d'équilibrer le programme. Airbus espère conquérir la moitié du marché potentiel des vingt prochaines années, soit 750 exemplaires sur 1535 avions, estime-t-il.
Ces pronostics sont contestés par Boeing. Pour le constructeur américain, le marché sera quatre fois moins important, avec à peine plus de 400 appareils. Ces différences d'appréciations confortent des stratégies opposées. L'avionneur européen mise sur un développement des grandes plates-formes aéroportuaires de connexion (les "hubs") desservies par de gros avions, permettant de désengorger le trafic aérien.
A l'inverse, Boeing voit l'avenir dans la multiplication des lignes nationales et internationales. Il s'agit alors de liaisons "point à point" qui permettent à des avions de taille moyenne de relier directement les villes entre elles, sans passer par de grands aéroports de transit. C'est la raison pour laquelle le constructeur américain a préféré lancer son 7 E7 Dreamliner, un avion longue distance de moyenne capacité.
Rendez-vous dans près de dix ans pour savoir qui aura eu raison sur le développement du marché des avions gros-porteurs. En attendant, les deux groupes ne cessent de s'observer. Boeing dit toujours avoir un projet de 747 modifié pour contrer l'A380. Airbus a quant à lui décidé en décembre 2004 de lancer un nouveau modèle, l'A350, pour faire face au 7 E7 lancé au printemps. Preuve s'il en fallait qu'aucun des deux constructeurs n'entend laisser trop longtemps le champ libre à l'autre.
Dominique Gallois
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- Captain posteur
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Dans l'impossibilité de voir la cérémonie en direct aujourd'hui je me suis contentée du résumé d'AFP en vidéo... C'est magnifique, vraiment... Jamais j'aurais cru être émue pour une "machine" mais là, cet avion est vraiment superbe... Certain ont vécu l'élaboration du Concorde, étape par étape. Et bien nous, nous pourrons dire que nous avons vu ce "géant des airs" évolué au fil du temps, jusqu'à sa présentation... C'est plutôt magique... Vivement sa présentation en vol, je pense que j'irais jusqu'à Toulouse histoire de le voir s'envoler pour la première fois... C'est quelque chose qui ne se rate pas... Vivement également le bourget afin de l'admirer en détails!
Heureux veinards, vous qui, pilotes et PNC, voleront et travailleront à bord... Merci au personnel d'Airbus pour cette prouesse...
J'ai été un peu "littéraire" mais une chose comme ça arrive rarement! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_biggrin.gif">
Heureux veinards, vous qui, pilotes et PNC, voleront et travailleront à bord... Merci au personnel d'Airbus pour cette prouesse...
J'ai été un peu "littéraire" mais une chose comme ça arrive rarement! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_biggrin.gif">
'"La grandeur d''un métier est peut être avant tout d''unir les Hommes et les femmes'" Vomito
www.poussypilote.skyblog.com
www.aviapassion.goodforum.net
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Oui, et devant ce rêve rélisé, tout ce que la 5 a été capable de nous présenter ce jour, ce sont les lamentables petits intêrêts particuliers de certains qui se sont vus exproprier, avec indemnités, d'un petit lopin de terre ....
Quant aux autres chaînes, si disertes sur le déficit de la Sécurité Sociale, elles n'ont consacré que quelques toutes petites minutes à cet évènement majeur, qui reprénte bien plus en potentiel industriel, en avenir, en emplois pour l'Europe !
J'ai honte pour elles ....
Quant aux autres chaînes, si disertes sur le déficit de la Sécurité Sociale, elles n'ont consacré que quelques toutes petites minutes à cet évènement majeur, qui reprénte bien plus en potentiel industriel, en avenir, en emplois pour l'Europe !
J'ai honte pour elles ....
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- Chef de secteur posteur
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- Enregistré le : 26 févr. 2002, 01:00
mhouais, assez d'accord avec cap-c, on ne parle même plus du fait de VOLER mais seulement d'europe, rentabiliblablablablabla ... j'ai vraimment l'impression que l'aviation fait de moins en moins réver, le meilleur symbole : la fin de Concorde <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_cry.gif">
Chat collé au plafond, tire le manche à fond.
J' ai vu la cérémonie, et rassurez-vous notre Président ainsi que le 1er Ministre anglais, le Chancellier allemand et le chef du gouvernement espagnol, ont bien instité sur tous ces points, très beaux discours, c' était vraiment une très belle cérémonie ! 
Et ne vous fiez pas aux médias.
<font size=-1>[ Ce message a été édité par: OliPPL83 le 2005-01-18 20:53 ]</font>
Et ne vous fiez pas aux médias.
<font size=-1>[ Ce message a été édité par: OliPPL83 le 2005-01-18 20:53 ]</font>
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- Chef de secteur posteur
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- Enregistré le : 06 oct. 2002, 02:00
- Localisation : Toulouse
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<blockquote><font face=Arial,Helvetica><font color=#666666><font size=-1>Une question me vient à l' esprit en voyant la vidéo du cockpit mais je m' étonne de ne pas voir d' instruments analogiques, où sont passés les instruments de secours obligatoires ?</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->
Les instruments "analogiques" dont tu parles sont remplacés par des instruments électroniques autonomes multifonctions à écrans LCD de même format que les "anciens", alimenté directement par les batteries de bord.
ToMs
<tr align=left><td BGCOLOR=#FFE795><b><font face=Arial,Helvetica><font color=#FF6600><font size=-1> Citation: </font></font></font></b></td></tr><tr align=left><td BGCOLOR=#FAF9ED>
<blockquote><font face=Arial,Helvetica><font color=#666666><font size=-1>Une question me vient à l' esprit en voyant la vidéo du cockpit mais je m' étonne de ne pas voir d' instruments analogiques, où sont passés les instruments de secours obligatoires ?</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->
Les instruments "analogiques" dont tu parles sont remplacés par des instruments électroniques autonomes multifonctions à écrans LCD de même format que les "anciens", alimenté directement par les batteries de bord.
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Ca y est la jalousie américaine reprend le dessus... Je trouve ça complètement dingue la manière dont les deux puissances s'affrontent... Où va-t-on? Le reste du monde devrait-il cesser d'exister pour laisser la voie libre aux USA?! Je suis d'accord avec capc, on va encore avoir un remake de l'histoire avec le Concorde...
Enfin, peut être qu'ils annoncent ça pour marquer le coup, peut être qu'ils n'appliqueront pas ce qu'ils disent... M'enfin, ca ne m'étonnerait pas...
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'"La grandeur d''un métier est peut être avant tout d''unir les Hommes et les femmes'" Vomito
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