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Posté : 16 févr. 2013, 13:31
par grodep
Ifly a écrit :Grodep, je je comprends pas cette façon de renier l'instruction française, je te conseille de venir voir avant de juger
Je ne dénigre pas l'instruction française, je dis juste que si on choisit, car on pense, à raison, que la pratique de l'anglais courant est un "must have" dans l'optique d'un futur métier, de suivre une formation en anglais, il est complètement illusoire de penser qu'on va y parvenir en suivant une formation dans une boite française avec des instructeurs français qui ânonnent tant bien que mal l'anglais.

Je n'ai nul besoin de me rendre dans cette école, j'enseigne, ainsi que tous mes collègues dans mon métier, en français à des français, en anglais à des français et des étrangers, et je ne suis pas dupe de la qualité relative de l'instruction selon la langue que nous utilisons. Et pour autant, le niveau d'anglais des différents instructeurs n'est pas à proprement parlé, mauvais, loin s'en faut. Il faut juste reconnaître que lorsque tu ne maîtrises pas spécifiquement une langue, tu as énormément de mal à exprimer exactement ce que tu souhaites, or, comme tout instructeur le sait, LA base de l'instruction, c'est la communication.

Ce que j'ai vraiment du mal à comprendre, c'est le calcul qui peut t'amener à choisir ce type d'enseignement: soit tu veux du français, et tu prends une école qui t'enseigne en français, soit tu veux de l'anglais, et tu vas de l'autre coté de la manche, ou ailleurs! Pourquoi ce pis-aller qui ne peut satisfaire une personne dont l'objectif est vraiment d'améliorer son niveau d'anglais?


Laurent, il ne s'agit pas d'être bilingue, mais il y a un fossé entre bégayer 3 mots d'anglais aéronautique ( que d'horreurs on peut entendre sur nos terrains gaulois :D), et être capable de s'exprimer correctement et surtout de comprendre ton interlocuteur lors d'un entretien d'embauche. Alors bien sur, on peut s'amuser à relever tous les petits bouts de notre terre sur lesquels on parle encore français, mais il faudrait être sacrément obtus pour penser qu'on peut s'en contenter.
Quand tu dresses ta liste, tu caches à dessein un détail d'importance: on parle chinois en chine, espagnol en amérique du sud, français dans certains pays d'afrique, super! Alors tu peux effectivement décider d'apprendre le chinois, l'arabe et l'espagnol afin d'avoir une petite chance de bosser là bas, OU ALORS tu peux aussi décider d'apprendre l'anglais, car sur tous ces continents, cette langue est parlée, comprise, et il est admis qu'étant la langue aéronautique (avec le français, je le l'accorde), l'anglais est une condition bien souvent suffisante pour obtenir un boulot dans ces pays, toute autre langue ne l'étant pratiquement jamais (toutes autres conditions réunies par ailleurs, oeuf corse!)

Posté : 16 févr. 2013, 13:38
par grodep
Nanospit, on est d'accord, savoir parler anglais n'est pas une condition suffisante, mais en revanche, elle est trop souvent nécessaire puor s'asseoir dessus. En revanche, un type qui est allé passer 10-12 mois en angleterre (ou ailleurs) pour sa formation aura FORCEMENT un niveau 10000 fois meilleur à celui d'un gars qui "s'entraine" tant bien que mal avec des films en anglais, BBC news, des podcasts, ou autres. Et autant te dire que celui qui se botte le cul pour aller passer sa formation à l'étranger n'est pas ensuite suffisamment stupide pour ne plus jamais pratiquer après, s'il s'est montré assez éclairé pour faire cette démarche, il fera ensuite en sorte de conserver son niveau. La comparaison est donc biaisée.

Posté : 16 févr. 2013, 15:27
par Laurent
l'anglais est une condition bien souvent suffisante pour obtenir un boulot dans ces pays
on est d'accord, savoir parler anglais n'est pas une condition suffisante
Alors Grodep l'anglais c'est suffisant ou pas finalement ?
Quant à ce que j'ai écrit, tu n'as pas compris . Je ne liste pas les pays francophone, mais les pays où il est nécessaire voire obligatoire de parler bien anglais . Et beaucoup de pays, dont la Chine que tu cites, n'en font pas partie . En revanche, les Chinois vont être très exigeants sur les connaissances du PL et sur le médical . Et la croissance du TPP, c'est dans ce pays qu'elle va se faire . Je pense qu'il vaut bien mieux un bon professionnel avec un niveau moyen d'anglais qu'un bilingue qui se sera contenter de réussir un malheureux QCM ATPL . Or si l'on a besoin d'un n en Angleterre pour bien parler anglais, je doute qu'il reste quelque chose de solide des premiers mois de cours théorique .
Il faudra aussi que tu expliques pourquoi tant de stagiaires étrangers, africains mais aussi asiatiques non francophones ont choisi la France pour leur formation en français ou en anglais . Leurs compagnies respectives ne semblent pas s'en plaindre .

Comme l'écrivait quelqu'un on peut très bien s'exprimer couramment dans son travail en anglais et éprouver des difficultés quand on est lâché en Angleterre . Mais pour ce qui concerne la phraséo en Angleterre, c'est simplement l'objet d'une bonne AEL et quelques vols en GB sont largement suffisants pour passer cette barrière . Il est d'ailleurs amusant de voir les soi-disant experts en anglais en Angleterre ; c'est un poil plus compliqué que de converser avec un Pakistanais (pourtant anglophone aussi) . L'anglais est une langue comme toutes les autres, si on veut la parler correctement elle nécessite un vrai travail et alors on prend plaisir à pratiquer, comme l'allemand, l'italien le portugais ou le vietnamien . Sinon on pratique une espèce de sabir qui permet juste de se faire à peu près comprendre par les non-anglophones .

Dan ; je n'ai rien rajouté parce que je ne veux pas lancer de polémique stérile . En aucun cas je ne prône le nivellement par le bas, c'est juste le contraire ; on apprend pas l'anglais en faisant un ATPL théorique en GB et encore moins un CPL pratique . On apprend l'anglais comme on apprend l'allemand ou l'espagnol ; en travaillant et en pratiquant en situation .
Quant à dénigrer ceux qui font leur formation en France, ce n'est que pure démagogie . Puisque tu voles, tu as dû remarquer que les Français ne sont pas plus mauvais à l'étranger que les autres Européens et je ne parle pas des Asiatiques, ni d'ailleurs des Américains venant à Paris . Mais tu diras sans doute que ce sont les contrôleurs qui parlent mal anglais .
Tu as fait ta formation en GB, tu en as été satisfait . C'est bien, de là à en faire un complexe de supériorité il y a un pas . Des milliers de pilotes formés en France sont également forts satisfaits de la formation qu'ils ont effectués .

Posté : 16 févr. 2013, 15:47
par Dan
Laurent a écrit :
Dan ; je n'ai rien rajouté parce que je ne veux pas lancer de polémique stérile . En aucun cas je ne prône le nivellement par le bas, c'est juste le contraire ; on apprend pas l'anglais en faisant un ATPL théorique en GB et encore moins un CPL pratique . On apprend l'anglais comme on apprend l'allemand ou l'espagnol ; en travaillant et en pratiquant en situation .
Quant à dénigrer ceux qui font leur formation en France, ce n'est que pure démagogie . Puisque tu voles, tu as dû remarquer que les Français ne sont pas plus mauvais à l'étranger que les autres Européens et je ne parle pas des Asiatiques, ni d'ailleurs des Américains venant à Paris . Mais tu diras sans doute que ce sont les contrôleurs qui parlent mal anglais .
Tu as fait ta formation en GB, tu en as été satisfait . C'est bien, de là à en faire un complexe de supériorité il y a un pas . Des milliers de pilotes formés en France sont également forts satisfaits de la formation qu'ils ont effectués .
Je ne dénigre personne ou alors je me suis mal fait comprendre. Je serais d'ailleurs mal placé pour dénigrer qui que ce soit puisque j'ai fait ma formation à l'EPAG en Français. Mais l'époque était différente, il y avait du boulot en France, les licences étaient en cours d'harmonisation, et surtout je n'ai eu personne pour me conseiller sur la voie à prendre. Si je devais recommencer aujourd'hui je réfléchirais différemment (je ne parle évidemment pas de qualité de formation qui était excellente à l'EPAG).
Nous sommes d'accord sur le fait qu'une langue ne s'apprend pas en FTO. Mais le fait de rester au moins le temps d'une formation dans un pays anglophone permet d'apprendre une base conversationelle qu'un Anglais scolaire ne procure pas. De plus quand tu fais ton ATPL en Français, tu as l'air très con quand en entretien on te demande "Tell me about the advantages of a swept wing"...
Quant aux Français qui ne seraient pas plus mauvais que les autres à l'étranger, on n'a pas du voir les mêmes choses... Je trouve au contraire que notre niveau est déplorable.

Posté : 16 févr. 2013, 16:14
par grodep
Laurent, il n'y a rien de pire que de découper les phrases quand on cite quelqu'un.
Je vais donc m'auto citer, une fois n'est pas coutume, histoire de rétablir mon propos à l'endroit :
l'anglais est une condition bien souvent suffisante pour obtenir un boulot dans ces pays, toute autre langue ne l'étant pratiquement jamais (toutes autres conditions réunies par ailleurs, oeuf corse!)
savoir parler anglais n'est pas une condition suffisante
Ai je besoin de développer ou as tu toi même remarqué l'ajout dans la parenthèse qui fait toute la différence entre ces deux assertions?

Pour le reste, ma foi, on peut bien ergoter aussi longtemps qu'on le souhaite, personne ne pourra sortir de statistiques permettant de confirmer l'un des deux points de vue. Je reste persuadé que pour tout job à l'international, la pratique de l'anglais courant est impératif, et je ne parle pas exclusivement de notre métier. Ça n'est certainement pas en balançant des "mieux vaut un bon pilote nul en anglais que l'inverse" que le débat avancera.

Par ailleurs, je ne maîtrise pas toutes les raisons qui font que certains stagiaires étrangers viennent se former chez nous, mais cela appelle cependant deux remarques:
1. Pour en faire un point important dans le raisonnement, encore faudrait-il savoir la proportion de stagiaires étrangers formés en France en regard de ceux qui sont formés en pays anglophones.
2. Les chinois mis à part (puisqu'ils foutent bien de savoir s'il y a du travail en dehors de leurs frontières), la grande majorité des étrangers montre un niveau d'anglais bien supérieur au notre et n'a donc pas les mêmes soucis d'apprentissage de cette langue.

Posté : 16 févr. 2013, 16:59
par JAimeLesAvions
Laurent a écrit :
JAimeLesAvions a écrit :
Laurent a écrit : prend un pseudo accent anglo-saxon pour essayer de donner le change
La prononciation fait partie de la langue, mal prononcer, c'est comme faire des fautes de syntaxe. Et c'est surtout mal se faire comprendre et agacer son interlocuteur. L'anglais aéronautique n'est pas une langue, c'est comme parler du français aéronautique...ça ne veut rien dire.
Ce que tu écris révèle une grosse méconnaissance de la phraséologie aéronautique . Par exemple comment faut-il prononcer "3" ou "1000" ? Je ne parle même pas des termes météo qui sont d'origine française .
Bon Dan ; comment dire ... et puis non ...
En revanche je souscris en tous points à ce qu'écrit Nanospit .
La phraséologie aéronautique s'apprend en combien de temps? Combien de mots?Tu trouveras plus de cent mots? Tu appelles ça une langue? Oui il y a des expressions à connaitre, oui il faut y passer un peu de temps, oui il faut lire l'AIP pour connaitre les différences (il n'y a pas 1 anglais aéronautique, de nombreux pays publient des différences), oui c'est important d'avoir une bonne phraséologie. Oui 5 ne se prononce pas five. Je connais très bien ma phraséologie aéronautique, mais même si je ne la connaissais pas, je ne pourrais pas avoir une profonde méconnaissance du sujet, puisque le sujet n'est pas profond.
Ce n'est pas de ça dont on te parle, on te parle du vrai anglais. Es-tu capable de rédiger un manex en Anglais? Es tu capable d'expliquer en anglais le p factor? Es tu capable au milieu d'une réunion de prendre la parole pour expliquer que ton point de vue est différent de tous les autres, es tu capable au pub du coin de comprendre ce qui se dit?
Parler avec une prononciation correcte est du même ordre d'idée que se raser et mettre un cravate quand on va à un entretien d'embauche, c'est la base.

Posté : 16 févr. 2013, 17:03
par darkced
JAimeLesAvions a écrit :Oui 5 ne se prononce pas five.
what ?
Je suis d'accord pour 3, mais 5 :reflexion:

[edit] hé bien au temps pour moi, je dormirai moins bête ce soir
http://www.faa.gov/air_traffic/publicat ... c0204.html

enfin la différence est quand même légère !

Posté : 25 févr. 2013, 00:36
par DonJah
Bon ben je serais chez gilles polome aviation a partir de mars j'essayerai de vous commenter tout ça! plus d'un an que j'ai pas touché un avion ça va faire tout drôle...

Merci le fongecif :)

Posté : 25 févr. 2013, 01:09
par primax
Wé, franchement, la prononciation du 5, j'ai toujours dit, et je pense entendu, "five".

Ou alors j'avais les oreilles bouchées pendant tout mon mûrissement et mon training !

Posté : 28 mai 2013, 15:44
par beech92
donalir a écrit :Bon ben je serais chez gilles polome aviation a partir de mars j'essayerai de vous commenter tout ça! plus d'un an que j'ai pas touché un avion ça va faire tout drôle...

Merci le fongecif :)
Hello donalir,

Alors cette rentrée de mars ? Comment ce passe ton aventure chez GPA ? Comment sont les avions ? Instructeurs ? Simu ?

Posté : 28 mai 2013, 15:58
par DonJah
Dan a écrit :
Ifly a écrit :Je pense que la discussion s'avère inutile. Je ne suis pas élève a cette école? Ah.. Première nouvelle. Lucas, session 2012/2013, rentrée en Octobre 2012, ça te va?
Beaucoup de responsables de FTOs se font passer pour des élèves ici...
La pour le coup tu fais erreur j'y suis depuis fin Mars et je peux te certifier que ce n'est pas Gilles Polomé qui vient poster sur le forum. Je ne suis même pas sur qu'il ait déja lu un quelconque forum...

Pour en revenir à la formation, je suis entièrement d'accord l'apprentissage de l'anglais courant n'est pas au programme, comme c'est le cas de toutes les FTO française. Il est exact que les brieffings se font en français et que la partie pilotage se fait au choix en français ou en anglais. Le but n'est pas de sortir bilingue, mais d'acquérir les bases. Un FCL 055 level 4 quoi...

Posté : 28 mai 2013, 18:24
par Dan
donalir a écrit :Un FCL 055 level 4 quoi...
Un niveau donc parfaitement insuffisant pour se débrouiller correctement dans la vraie vie...
Viser un niveau 4 c'est du suicide professionnel aujourd'hui.

Posté : 28 mai 2013, 19:13
par DonJah
Petit feedback :

Niveau mûrissement y a moyen de faire 10h de vol par semaine si la météo est clémente (ce qui n'a pas été le cas au mois de Mai).

Pour la partie IR, le programme de progression est plutôt bien foutu et on sent vraiment une progression. Les supports de cours sont en anglais.

Niveau disponibilité, c'est correct, mais le planning est chargé, un 2ème instructeur pour l'IR risque d'être indispensable si le nombre d'élève augmente.

Il y a un instructeur PPL et 2 instructeurs CPL (qui sont également en ligne donc moins dispo).

Au niveau avions RAS, ils sont bien entretenus. Il y a 2 beech 77 skipper un PA28R Arrow III et un PA34 pour la partie multi
Il y a une bonne ambiance, et la structure est familiale.

L'aérodrome de Valenciennes dispose d'une approche localizer et d'une Locator. Il y a pas mal de terrain équipés aux alentours.
Pour ce qui est de la météo, pour l'IR c'est impeccable, pour le reste, ben c'est le Nord...

en 2 mois j'ai fait dans les 40h de mûrissement, 34h de simu et j'ai attaqué la partie sur PA28 cette semaine.

Posté : 28 mai 2013, 21:13
par Laurent
Que demander de mieux !
Quant à faire une formation VFR dans un endroit où il y a 330 jours de CAVOK par an ; les vols sont certainement moins souvent annulés, mais l'expérience accumulée par météo marginale ne pèse pas bien lourd .
Pour l'anglais, ne t'inquiètes pas . Une école de pilotage n'est pas faite pour ça et la nécessité d'être bilingue est un leurre dont profitent les écoles anglo-saxonnes poussant les autres dans ce piège .

Posté : 28 mai 2013, 22:43
par JAimeLesAvions
. .

Posté : 29 mai 2013, 00:08
par Dan
Laurent a écrit :Que demander de mieux !
Quant à faire une formation VFR dans un endroit où il y a 330 jours de CAVOK par an ; les vols sont certainement moins souvent annulés, mais l'expérience accumulée par météo marginale ne pèse pas bien lourd .
Pour l'anglais, ne t'inquiètes pas . Une école de pilotage n'est pas faite pour ça et la nécessité d'être bilingue est un leurre dont profitent les écoles anglo-saxonnes poussant les autres dans ce piège .
Laurent tu as déjà passé un entretien dans un pays anglophone?

Ce genre de discours est lamentable... Je ne m'étendrai pas à nouveau sur la nécessité de savoir parler Anglais pour un jeune pilote on en a déjà parlé! (Quand je dis savoir parler, ça veut autre chose que réciter des phrases d'urgence bidons apprises par cœur)

Posté : 29 mai 2013, 09:34
par grodep
non, dan, laurent a raison, la nécessité d'être bilingue est un leurre. D'ailleurs, personne ne dit qu'il faut être bilingue.

En revanche, être "fluent" en anglais est sans aucun doute, une condition sine qua non d'admission dans la majorité des compagnies, et ça ne vient malheureusement pas tout seul, surtout pour nous, pauvres frenchies, passés par les établissements de l'éducation nationale dont la médiocrité de l'enseignement linguistique n'est plus à démontrer...

Posté : 29 mai 2013, 10:34
par FlightMarket
En revanche, être "fluent" en anglais est sans aucun doute
Oui, fluent en anglais est un must (je pense que Dan voulait dire la même chose, tout dépend de ce que l'on entend par fluent / bilingue).

Je ne pense pas que les fto anglaises abusent de leur position, elles ont juste l'énorme avantage (comme les écoles aux us) de proposer une formation en anglais pur, sans accent. De plus, je crois que la RT obtenue en UK est direct au niveau 6, ce qui est cool après sur le CV.

Posté : 29 mai 2013, 10:50
par grodep
je sais bien que c'est ce que Dan voulait dire, je me moquais plus (gentiment bien sur) de Laurent qui continue à soutenir que l'anglais, c'est inutile, et que dans le monde de l'aviation, nous français, pouvons nous contenter du FCL 1.200 pour faire les cadors aux entretiens d'embauche...

Posté : 29 mai 2013, 21:14
par JAimeLesAvions
Pour revenir au sujet de l'école de Gilles Polomé (dont je ne peux dire que du bien), on trouve sur la page d'accueil du site officiel de l'aérodrome http://www.aerodrome-valenciennes.com/

Prenez garde, Valenciennes a développé tellement d'atouts-charmes... que vous risquez fort de vous éprendre de celle que l'on appelait autrefois "l'Athènes du Nord".

Je pense que cette mise en garde est un excès de prudence de la part de la Chambre de commerce. Le risque est quand même très modéré.