Merci pour ta reponse captain.Je suis motivé j attend ce moment depuis tellement longtemps.J vais tous faire pour realiser mon reve et devenir pilote.J y arriverais(enfin j espere).
Bon courage a tous ceux qui souhaitent comme moi devenir pilote et d avoir comme bureau le ciel,les nuages....
Déja pilote avant la sélection le crier sur les toits????
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- Elève-pilote posteur
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- Enregistré le : 25 sept. 2003, 02:00
- Localisation : Cazaux
captain valentin, je pense que tu te fais trop de noeuds au cerveau. Je comprends tes problèmes métaphysiques, car on est tous passés par là, à ce demander ce qu'il faut dire ou ne pas dire, si on sera à la hauteur, etc. En ce qui me concerne, quand j'ai passé les tests à Brétigny, j'étais pilote privé avec une centaine d'heures. Il m'a semblé que ça m'a rendu les choses un peu plus faciles.
De toute façon, comme quelqu'un l'a bien dit dans un message précédent, il ne faut pas raconter de salades. Les instructeurs ne sont pas des lapins de 6 semaines et tout ce que tu as à gagner à leur raconter des mensonges, c'est choper un brevet d'idiot et être collimaté comme "bourreur de cul de paille"... Il ne faut pas exagérer l'a priori qu'ont les pilotes militaires sur les pilotes civils; beaucoup ont commencé comme ça, d'ailleurs, et savent qu'un jeune arrivant avec un PPL ne va pas les épater, quoique ça arrive parfois. La différence entre le civil et le militaire, c'est une question de méthode et de finalité. Tu apprends que le pilotage n'est pas une fin en soi (même si tu prends ton pied) mais juste une technique à maîtriser pour remplir une mission.
A partir de là, que tu n'aies jamais volé ou que tu aies 400 h, ce qui les intéresse est ta capacité à acquérir leur méthode (quelle que soit celle que tu utilisais avant) et à obtenir un certain niveau en un certain nombre de missions.
La question que tu dois te poser n'est donc pas si tu dois ou non avouer quoi que ce soit, c'est:"est-ce que je suis prêt à apprendre une nouvelle méthode, à travailler et à faire le maximum pour pouvoir devenir ce dont je rêve depuis des années"...
Celui qui montre qu'il en veut a toutes les chances de réussir car dans ce métier, le nivellement se fait très rapidement entre ceux qui n'ont jamais volé avant et ceux qui ont déjà quelques heures de vol.
Ton expérience précédente n'est donc pas, et de loin, la première préoccupation de tes futurs testeurs.
De toute façon, comme quelqu'un l'a bien dit dans un message précédent, il ne faut pas raconter de salades. Les instructeurs ne sont pas des lapins de 6 semaines et tout ce que tu as à gagner à leur raconter des mensonges, c'est choper un brevet d'idiot et être collimaté comme "bourreur de cul de paille"... Il ne faut pas exagérer l'a priori qu'ont les pilotes militaires sur les pilotes civils; beaucoup ont commencé comme ça, d'ailleurs, et savent qu'un jeune arrivant avec un PPL ne va pas les épater, quoique ça arrive parfois. La différence entre le civil et le militaire, c'est une question de méthode et de finalité. Tu apprends que le pilotage n'est pas une fin en soi (même si tu prends ton pied) mais juste une technique à maîtriser pour remplir une mission.
A partir de là, que tu n'aies jamais volé ou que tu aies 400 h, ce qui les intéresse est ta capacité à acquérir leur méthode (quelle que soit celle que tu utilisais avant) et à obtenir un certain niveau en un certain nombre de missions.
La question que tu dois te poser n'est donc pas si tu dois ou non avouer quoi que ce soit, c'est:"est-ce que je suis prêt à apprendre une nouvelle méthode, à travailler et à faire le maximum pour pouvoir devenir ce dont je rêve depuis des années"...
Celui qui montre qu'il en veut a toutes les chances de réussir car dans ce métier, le nivellement se fait très rapidement entre ceux qui n'ont jamais volé avant et ceux qui ont déjà quelques heures de vol.
Ton expérience précédente n'est donc pas, et de loin, la première préoccupation de tes futurs testeurs.
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Auteur du sujetCaptain Valentin
- Captain posteur
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- Enregistré le : 05 oct. 2003, 02:00
ok spacepig merci bien pour ta réponse ça fait plaisir de pouvoir aussi parler à un pilote expérimenté, que j'ai 100 heures ou 400 heures je leur dirai que je suis parfaitement prêt à m'adapter aux méthodes du pilotage militaire, je me fais pas trop de noeuds dans la tête mais j'aimerai être prêt pour chaque épreuve au max... ++
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