Coup de gueule sur la formation
Modérateur : Big Brother
-
- Copilote posteur
- Messages : 118
- Enregistré le : 29 août 2010, 18:54
- Localisation : Paris
- Âge : 34
je n'ai pas dit le contraire... simplement, toute la mécanique du vol se base sur la physique... Et si tu me dis qu'un pilote n'a pas connaitre la mécanique du vol pour être un bon pilote... c'est un point de vue... mais bon si tu veux expliquer à quelqu’un ce qu'est une fugoïde par exemple... je pense que sa passe mieux si la dite personne à quelques bases de physique... mais bon c'est vrai que la mécanique du vol ne sert à rien j'avais oublier... d'ailleurs je me demande comment quelqu'un peut comprendre ce qu'est un centrage sans savoir ce qu'est un moment... mais bon peut être que c'est moi qui suis trop con et qui suis obliger de faire appel à des notions de physique alors qu'après tout.... tout ça est magique et n'a pas besoin d'explications....
Personne n'a dit cela... Il faut pas confondre NOTIONS de physique et physique de MPSI ou ingé.
Dareagle, ce que tu écris on le voit de toute façon en atpl théorique, et donc ça suffit AMPLEMENT. Relis précedemment, on faisait référence à ceux qui ne jurent que par des équitions d'ordre 3 ou N, etc. La mécanique du vol est évidemment utile puisque toujours enseignée pour els pilotes, mais pas besoin d'voir fait supaéro. Il suffit d'avoir son brevet de pilotage CPL IR et atpl, tout pilote sérieux, sait ce qu'est une phugoide, un moment... Il y a quand même une différence entre NOTIONS essentielles, et études supérieures (cinétique d'une particule dans un espace n dimension et blablabla).
Dareagle, ce que tu écris on le voit de toute façon en atpl théorique, et donc ça suffit AMPLEMENT. Relis précedemment, on faisait référence à ceux qui ne jurent que par des équitions d'ordre 3 ou N, etc. La mécanique du vol est évidemment utile puisque toujours enseignée pour els pilotes, mais pas besoin d'voir fait supaéro. Il suffit d'avoir son brevet de pilotage CPL IR et atpl, tout pilote sérieux, sait ce qu'est une phugoide, un moment... Il y a quand même une différence entre NOTIONS essentielles, et études supérieures (cinétique d'une particule dans un espace n dimension et blablabla).
-
- Chef de secteur posteur
- Messages : 7898
- Enregistré le : 29 juin 2008, 01:20
- Localisation : Sydney
- Âge : 29
C'est incroyable, j'ai l'impression qu'un seul message a compris mon propos :
(1) connaitre les principes du vol
(2) avoir un diplome d'ingé aéro
Alors que non, pas du tout, c'est l'implication (2)=>(1)
Je ne crois pas pouvoir faire plus clair.
Les principes physique de la méca du vol on les voit en avec l'ATPL, ça suffit. Mais on obligés de les avoir bien compris quand on y a passé beaucoup de temps.
Vous voudriez faire croire que mon propos c'est l'équivalence entre :darkeagle512 a écrit :C'est aussi important de dire que grâce à l'APU il a pu garder les commandes intactes et ainsi bénéficier de l'alfa max, ce qui lui a permis de ne pas décrocher.... je pense que le fly by wire, l'ELAC et le SEC ont une grande part de responsabilité dans ce qu'il s'est passer...
Je pense que effectivement les équations ne servent à rien mais le bon sens physique est un plus... Par exemple lorsque les procédures ne concordent pas avec la situation... on pourrait rappeler le vol DHL sur bagdad qui a la suite d un tir de missile à perdu les 3 circuits hydrauliques... et dont le pilote à du se servir de la poussée et de la poussée asymétrique pour maitriser son appareil et le stabiliser... donc une histoire de bon sens... mais ce bon sens découle des principes physique... car au fond voler, c'est de la physique...
(1) connaitre les principes du vol
(2) avoir un diplome d'ingé aéro
Alors que non, pas du tout, c'est l'implication (2)=>(1)
Je ne crois pas pouvoir faire plus clair.
Les principes physique de la méca du vol on les voit en avec l'ATPL, ça suffit. Mais on obligés de les avoir bien compris quand on y a passé beaucoup de temps.
Et j'ajouterai que si (2) implique (1), en aucun cas (2) est un prérequis ou est nécessaire pour (1), loin de là... mais il semblerait que Darkeagle512 essaye de s'auto-convaincre ou de justifier que connaître toutes les équations de l'aérodynamique fasse forcément de quelqu'un un meilleur pilote qu'un autre, plus doué et plus à même d'être meilleur sur tous les aspects du pilotage. C'est sûr, celui qui fait prépa MPSI ne peut que faire partie des meilleurs du monde! (je plaisante, c'est pas personnel Darkeagle mais c'est juste pour résummé la mentalité "à la française"...)Dubble a écrit :C'est incroyable, j'ai l'impression qu'un seul message a compris mon propos :Vous voudriez faire croire que mon propos c'est l'équivalence entre :darkeagle512 a écrit :C'est aussi important de dire que grâce à l'APU il a pu garder les commandes intactes et ainsi bénéficier de l'alfa max, ce qui lui a permis de ne pas décrocher.... je pense que le fly by wire, l'ELAC et le SEC ont une grande part de responsabilité dans ce qu'il s'est passer...
Je pense que effectivement les équations ne servent à rien mais le bon sens physique est un plus... Par exemple lorsque les procédures ne concordent pas avec la situation... on pourrait rappeler le vol DHL sur bagdad qui a la suite d un tir de missile à perdu les 3 circuits hydrauliques... et dont le pilote à du se servir de la poussée et de la poussée asymétrique pour maitriser son appareil et le stabiliser... donc une histoire de bon sens... mais ce bon sens découle des principes physique... car au fond voler, c'est de la physique...
(1) connaitre les principes du vol
(2) avoir un diplome d'ingé aéro
Alors que non, pas du tout, c'est l'implication (2)=>(1)
Je ne crois pas pouvoir faire plus clair.
Les principes physique de la méca du vol on les voit en avec l'ATPL, ça suffit. Mais on obligés de les avoir bien compris quand on y a passé beaucoup de temps.
Modifié en dernier par frenchi le 13 nov. 2011, 19:41, modifié 1 fois.
Ca t'aidera à comprendre plus vite la théorie, ça on est tous d'accord. Mais au delà de ça, ça ne servira plus à grand chose après étant donné que toute les connaissances requises sont dans l'ATPL.
-> Ce n'est pas une formation d'ingénieur (ou le fait d'être passé par prépa ou autres) qui fera de toi (ou quelqu'un d'autre ) un meilleur pilote (au sens pratique) qu'un bachelier ou qu'une "bille" en maths.
-> Ce n'est pas une formation d'ingénieur (ou le fait d'être passé par prépa ou autres) qui fera de toi (ou quelqu'un d'autre ) un meilleur pilote (au sens pratique) qu'un bachelier ou qu'une "bille" en maths.
Modifié en dernier par Julienn le 13 nov. 2011, 19:46, modifié 1 fois.
Juste pour citer un exemple, quand je voyais des élèves en simu, (FNPT II), lors d'une séance panne moteur après décollage (programme mcc), un élève avait mis au tas l'avion, car par précipitation il a mis du pied du côté moteur mort. Forcément ça pardonne pas...
Cet élève avait fait des études en école d'ingé, électronique. Pourtant théoriquement ce n'est pas compliqué de comprendre moteur mort = pied mort car il a été décortiqué les effets d'un moteur en panne sur l'avion... en théorie, au sol. Mais en retenant simplement moteur mort = pied mort, ça peut sauver des vies... et y a une raison de trouver des simplifications telles dans une situation stressante où faut intervenir rapidement sans se précipiter.
Donc comprendre, c'est essentiel, mais il y a tout un tas de choses à côté (personnalité, gestion de stress, expérience). En conclusion, quelque'un qui aura compris que les bases, l'essentiel, mais qui a une très bonne capacité d'adaptation, un bon CRM, une maîtrise de soi, il s'en sortira bien mieux. Il ne faut pas voir que par les chiffres ou le papier. Il faut avoir une très bonne ouverture d'esprit aussi.
Cet élève avait fait des études en école d'ingé, électronique. Pourtant théoriquement ce n'est pas compliqué de comprendre moteur mort = pied mort car il a été décortiqué les effets d'un moteur en panne sur l'avion... en théorie, au sol. Mais en retenant simplement moteur mort = pied mort, ça peut sauver des vies... et y a une raison de trouver des simplifications telles dans une situation stressante où faut intervenir rapidement sans se précipiter.
Donc comprendre, c'est essentiel, mais il y a tout un tas de choses à côté (personnalité, gestion de stress, expérience). En conclusion, quelque'un qui aura compris que les bases, l'essentiel, mais qui a une très bonne capacité d'adaptation, un bon CRM, une maîtrise de soi, il s'en sortira bien mieux. Il ne faut pas voir que par les chiffres ou le papier. Il faut avoir une très bonne ouverture d'esprit aussi.
Modifié en dernier par pace le 13 nov. 2011, 19:45, modifié 1 fois.
-
- Copilote posteur
- Messages : 118
- Enregistré le : 29 août 2010, 18:54
- Localisation : Paris
- Âge : 34
@ frenchi
Lol, Eh bien je t’arrêtes tout de suite... car j'ai été refouler en prépa et je suis l'un des plus nul en maths de ma promo ( de physiciens ) mais mon bon sens physique me permet de compenser
Évidement que quelqu'un qui a fait MPSI n'est pas forcément meilleur pilote qu'un bachelier scientifique je suis entièrement d accord avec ça !!
D'ailleurs le concours EPL/P est ouvert aux bacheliers donc voila !!! ca prouve définitivement que les maths sup ne sont pas nécessaires dans un cockpit... maintenant comme d'autres l'ont dit, l'ATPL théorique regorge de notions physique qu'il faut essayer de comprendre et qui donc s'appuient sur un bagage physique qu'il est nécessaire d'avoir.... après bien-sur qu'on peut aussi tout apprendre par cœur et être un bon pilote... mais bon ce n'est pas ma philosophie... je suis encore l'un des rares qui attachent de l'importance à la compréhension des phénomènes physiques....
Lol, Eh bien je t’arrêtes tout de suite... car j'ai été refouler en prépa et je suis l'un des plus nul en maths de ma promo ( de physiciens ) mais mon bon sens physique me permet de compenser
Évidement que quelqu'un qui a fait MPSI n'est pas forcément meilleur pilote qu'un bachelier scientifique je suis entièrement d accord avec ça !!
D'ailleurs le concours EPL/P est ouvert aux bacheliers donc voila !!! ca prouve définitivement que les maths sup ne sont pas nécessaires dans un cockpit... maintenant comme d'autres l'ont dit, l'ATPL théorique regorge de notions physique qu'il faut essayer de comprendre et qui donc s'appuient sur un bagage physique qu'il est nécessaire d'avoir.... après bien-sur qu'on peut aussi tout apprendre par cœur et être un bon pilote... mais bon ce n'est pas ma philosophie... je suis encore l'un des rares qui attachent de l'importance à la compréhension des phénomènes physiques....
Tout à fait d’accord avec field, le débat portait sur un niveau poussé et détaillé en math / physique.
Le bon sens physique est bien sûr important et d’ailleurs je l’inclus dans l’airmanship que DAN a souligné.
Le même bateau, mets tout le chargement à l’arrière, il va aussi y avoir un problème.
Comment tu fais pour que le bateau il pique pas du nez ou des fesses ? Et bien tu répartis la charge.
J’ai utilisé la notion de moment ?
Ok il faut aller un peu plus loin que cela pour l’ATPL mais c’est pour illustrer que même si certains ont besoin de formules abstraites pour comprendre quelque chose, ce n’est pas le cas pour tout le monde.
D’ailleurs souvent les idées simples et facilement illustrables mentalement sont celles qui sont les plus facilement accessibles en situation de stress / pression.
Durant ma formation ATPL quasi toutes les notions de physique abordées je les avais déjà vues en prépa / école d’ingé, à un niveau très théorique. Elles m’ont été ré-enseignées sous un angle différent plus pragmatique et adapté à des gens de niveaux différents. Depuis je vais plus souvent piocher dans mes méthodes ATPL que dans celles de prépa / ingé.
Bubble OK pour ta démonstration de taupin mais ça marche si tu as fait un diplôme d’ingé aero.
Comme je le disais précédemment la compréhension détaillée des systèmes d’un avion requiert les compétences de plusieurs dizaines d’ingénieurs de spécialités différentes (électronique, mécanique…). Le pilote ne se substitut pas à ces gens, il a vocation à avoir des connaissances générales. Ok si tu fais ingé aero tu vas maîtriser les principes du vol. Mais pour météorologie tu feras moins le malin… Tu compte faire ingé spécialisé dans tous les sujets de l’ATPL ?
Pas besoin d’être ingénieur pour être un bon pilote de ligne ou pour bien comprendre les sujets de l’ATPL, c’est le cœur du message.
Le bon sens physique est bien sûr important et d’ailleurs je l’inclus dans l’airmanship que DAN a souligné.
Prends un bateau, mets tout le chargement à l’avant, il va y avoir un problème.darkeagle512 a écrit : d'ailleurs je me demande comment quelqu'un peut comprendre ce qu'est un centrage sans savoir ce qu'est un moment
Le même bateau, mets tout le chargement à l’arrière, il va aussi y avoir un problème.
Comment tu fais pour que le bateau il pique pas du nez ou des fesses ? Et bien tu répartis la charge.
J’ai utilisé la notion de moment ?
Ok il faut aller un peu plus loin que cela pour l’ATPL mais c’est pour illustrer que même si certains ont besoin de formules abstraites pour comprendre quelque chose, ce n’est pas le cas pour tout le monde.
D’ailleurs souvent les idées simples et facilement illustrables mentalement sont celles qui sont les plus facilement accessibles en situation de stress / pression.
Durant ma formation ATPL quasi toutes les notions de physique abordées je les avais déjà vues en prépa / école d’ingé, à un niveau très théorique. Elles m’ont été ré-enseignées sous un angle différent plus pragmatique et adapté à des gens de niveaux différents. Depuis je vais plus souvent piocher dans mes méthodes ATPL que dans celles de prépa / ingé.
Bubble OK pour ta démonstration de taupin mais ça marche si tu as fait un diplôme d’ingé aero.
Comme je le disais précédemment la compréhension détaillée des systèmes d’un avion requiert les compétences de plusieurs dizaines d’ingénieurs de spécialités différentes (électronique, mécanique…). Le pilote ne se substitut pas à ces gens, il a vocation à avoir des connaissances générales. Ok si tu fais ingé aero tu vas maîtriser les principes du vol. Mais pour météorologie tu feras moins le malin… Tu compte faire ingé spécialisé dans tous les sujets de l’ATPL ?
Pas besoin d’être ingénieur pour être un bon pilote de ligne ou pour bien comprendre les sujets de l’ATPL, c’est le cœur du message.
F-BOZK, t'arrête d'atiser le feuF-BOZK a écrit :Histoire de relancer le débat: que pensez-vous de faire ingénieur météo puis pilote? La météo c'est quand même une bonne part de l'ATPL théorique non? (plus que la mécavol?)
Et ensuite en pratique, pensez-vous qu'un ingé météo peut-être mieux "armé", pour une préparation de vol par exemple?
-
- Copilote posteur
- Messages : 118
- Enregistré le : 29 août 2010, 18:54
- Localisation : Paris
- Âge : 34
Pourquoi tant de prise de tête sur cette question : est-ce que ingé telle spécialisation => mieux pour fair epilote. ?
Car poser cette question, sous entend est-ce que ça arme mieux...
Ce n'est pas un repproche, je me pose cette question, pourquoi tant d'acharnement à vouloir se spécialiser dans un domaine pour ensuite se spécialiser dans un autre domaine.
C'est marrant car personne ne va demander : est-ce avoir volé en afrique, en asie, au canada dans le grand froid, va me servir pour faire pilote ? non...
Prenons le problème à l'envers et pour d'autres professions :
Est-ce que les ingés se posent les mêmes questions ? est-ce que faire pilote ça peut mieux servir pour faire ingé ?
est-ce que faire ingé en chimie ça aide mieux pour faire médecin ?
Est-ce que si je fais mécanicien auto, je pourrais devenir comme Schumacher ?
Est-ce que savoir étudier le lancé d'un projectile de type ballon dans un reférentiel terrestre en prenant en compte les effets de frottements, fera de moi un Zizou ?
Pourquoi tant d’obsession autour de pilote et ses "métiers associés" ?
Bah oui la météo ça sert mais si on fait ingé en météo c'est d'abord parce q'on aime la METEO. Pas parce que ça fait bien de savoir la météo pour pilote.
La question est idiote en soi... évidement un ingé météo, sera bien armé POUR la météo.
Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire un MASTER EN LLCE anglais ? non ? ça me parait bien plus utile que le reste.
Ou pourquoi pas faire un master en psychologie, très utiles pour le CRM ? ou médecine pour les facteurs humains.
Moi je pense que ces questions traduisent une mauvaise image du métier de pilote, c'est à dire, un métier où faudrait TOUT connaitre sur tout.
Alors que c'est tout le contraire, plutôt un métier où l'on apprend sans cesse et rien n'est acquis.
Un pilote a des connaissances, par ci par là, générales. Mais il ne peut savoir sur tout. Maintenant, tant mieux si un mec fait ingé en météo, c'est super pour lui, on est content.
Mais il sera frustré d'une manière ou d'une autre car il n'aura pas fait ingé en mécanique, ou il n'aura pas assez fait de droit (droit aérien c'est trop précis)...
C'et dommage de laisser le côté pilotage de côté... le côté pragmatique.
Car poser cette question, sous entend est-ce que ça arme mieux...
Ce n'est pas un repproche, je me pose cette question, pourquoi tant d'acharnement à vouloir se spécialiser dans un domaine pour ensuite se spécialiser dans un autre domaine.
C'est marrant car personne ne va demander : est-ce avoir volé en afrique, en asie, au canada dans le grand froid, va me servir pour faire pilote ? non...
Prenons le problème à l'envers et pour d'autres professions :
Est-ce que les ingés se posent les mêmes questions ? est-ce que faire pilote ça peut mieux servir pour faire ingé ?
est-ce que faire ingé en chimie ça aide mieux pour faire médecin ?
Est-ce que si je fais mécanicien auto, je pourrais devenir comme Schumacher ?
Est-ce que savoir étudier le lancé d'un projectile de type ballon dans un reférentiel terrestre en prenant en compte les effets de frottements, fera de moi un Zizou ?
Pourquoi tant d’obsession autour de pilote et ses "métiers associés" ?
Bah oui la météo ça sert mais si on fait ingé en météo c'est d'abord parce q'on aime la METEO. Pas parce que ça fait bien de savoir la météo pour pilote.
La question est idiote en soi... évidement un ingé météo, sera bien armé POUR la météo.
Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire un MASTER EN LLCE anglais ? non ? ça me parait bien plus utile que le reste.
Ou pourquoi pas faire un master en psychologie, très utiles pour le CRM ? ou médecine pour les facteurs humains.
Moi je pense que ces questions traduisent une mauvaise image du métier de pilote, c'est à dire, un métier où faudrait TOUT connaitre sur tout.
Alors que c'est tout le contraire, plutôt un métier où l'on apprend sans cesse et rien n'est acquis.
Un pilote a des connaissances, par ci par là, générales. Mais il ne peut savoir sur tout. Maintenant, tant mieux si un mec fait ingé en météo, c'est super pour lui, on est content.
Mais il sera frustré d'une manière ou d'une autre car il n'aura pas fait ingé en mécanique, ou il n'aura pas assez fait de droit (droit aérien c'est trop précis)...
C'et dommage de laisser le côté pilotage de côté... le côté pragmatique.
Field, les gens s'intérogent de la sorte car le nombre de places de pilote se compte quasiment sur les doigts des mains (oui les Zizou et Schumacher aussi mais tu prends des exemples extrêmes), les gens se posent donc la question : quelles études pour espérer sécuriser une place de pilote (ou à l'ENAC). Mais il est vrai que les petits jeunes ont une bien mauvaise conception du métier de pilote, ou du moins celle que notre système scolaire leur renvoi (faut faire prépa, faut être une bête en maths phy, etc... Ce qui n'est pas faux pour espérer réussir le concours ENAC).field a écrit :Pourquoi tant de prise de tête sur cette question : est-ce que ingé telle spécialisation => mieux pour fair epilote. ?
Car poser cette question, sous entend est-ce que ça arme mieux...
Ce n'est pas un repproche, je me pose cette question, pourquoi tant d'acharnement à vouloir se spécialiser dans un domaine pour ensuite se spécialiser dans un autre domaine.
C'est marrant car personne ne va demander : est-ce avoir volé en afrique, en asie, au canada dans le grand froid, va me servir pour faire pilote ? non...
Prenons le problème à l'envers et pour d'autres professions :
Est-ce que les ingés se posent les mêmes questions ? est-ce que faire pilote ça peut mieux servir pour faire ingé ?
est-ce que faire ingé en chimie ça aide mieux pour faire médecin ?
Est-ce que si je fais mécanicien auto, je pourrais devenir comme Schumacher ?
Est-ce que savoir étudier le lancé d'un projectile de type ballon dans un reférentiel terrestre en prenant en compte les effets de frottements, fera de moi un Zizou ?
Pourquoi tant d’obsession autour de pilote et ses "métiers associés" ?
Bah oui la météo ça sert mais si on fait ingé en météo c'est d'abord parce q'on aime la METEO. Pas parce que ça fait bien de savoir la météo pour pilote.
La question est idiote en soi... évidement un ingé météo, sera bien armé POUR la météo.
Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire un MASTER EN LLCE anglais ? non ? ça me parait bien plus utile que le reste.
Ou pourquoi pas faire un master en psychologie, très utiles pour le CRM ? ou médecine pour les facteurs humains.
Moi je pense que ces questions traduisent une mauvaise image du métier de pilote, c'est à dire, un métier où faudrait TOUT connaitre sur tout.
Alors que c'est tout le contraire, plutôt un métier où l'on apprend sans cesse et rien n'est acquis.
Un pilote a des connaissances, par ci par là, générales. Mais il ne peut savoir sur tout. Maintenant, tant mieux si un mec fait ingé en météo, c'est super pour lui, on est content.
Mais il sera frustré d'une manière ou d'une autre car il n'aura pas fait ingé en mécanique, ou il n'aura pas assez fait de droit (droit aérien c'est trop précis)...
C'et dommage de laisser le côté pilotage de côté... le côté pragmatique.
Oui dans ce cas là, je comprends, mais d'après la façon dont les questions sont posées... c'était douteux.
Dans ce cas là, c'est donc un peu absurde, car à la limite "TOUT" métier sert pour pilote. Même un MBA servirait (anglais, management etc).
Si on veut faire quelque chose avant pilote, la question est plutôt "qu'est-ce que j'aimerais faire ?" car comme tu dis frenchi, les places pour pilotes sont chères, ce qui pourrait amené à rester plus ou moins longtemps dans la première profession.
Dans ce cas là, c'est donc un peu absurde, car à la limite "TOUT" métier sert pour pilote. Même un MBA servirait (anglais, management etc).
Si on veut faire quelque chose avant pilote, la question est plutôt "qu'est-ce que j'aimerais faire ?" car comme tu dis frenchi, les places pour pilotes sont chères, ce qui pourrait amené à rester plus ou moins longtemps dans la première profession.
-
- Chef de secteur posteur
- Messages : 7898
- Enregistré le : 29 juin 2008, 01:20
- Localisation : Sydney
- Âge : 29
Quel que soit le métier que tu fais, une spécialisation te sera toujours utile. Plus tu sais faire de choses mieux c'est. C'est normal somme toute ? Savoir s'il faut tout savoir pour faire un métier précis, la réponse est non. Savoir quelle est la spécialisation qui t'apporte le plus, c'est assez dur.field a écrit :Pourquoi tant de prise de tête sur cette question : est-ce que ingé telle spécialisation => mieux pour fair epilote. ?
Car poser cette question, sous entend est-ce que ça arme mieux...
Ce n'est pas un repproche, je me pose cette question, pourquoi tant d'acharnement à vouloir se spécialiser dans un domaine pour ensuite se spécialiser dans un autre domaine.
C'est marrant car personne ne va demander : est-ce avoir volé en afrique, en asie, au canada dans le grand froid, va me servir pour faire pilote ? non...
Prenons le problème à l'envers et pour d'autres professions :
Est-ce que les ingés se posent les mêmes questions ? est-ce que faire pilote ça peut mieux servir pour faire ingé ?
est-ce que faire ingé en chimie ça aide mieux pour faire médecin ?
Est-ce que si je fais mécanicien auto, je pourrais devenir comme Schumacher ?
Est-ce que savoir étudier le lancé d'un projectile de type ballon dans un reférentiel terrestre en prenant en compte les effets de frottements, fera de moi un Zizou ?
Pourquoi tant d’obsession autour de pilote et ses "métiers associés" ?
Bah oui la météo ça sert mais si on fait ingé en météo c'est d'abord parce q'on aime la METEO. Pas parce que ça fait bien de savoir la météo pour pilote.
La question est idiote en soi... évidement un ingé météo, sera bien armé POUR la météo.
Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire un MASTER EN LLCE anglais ? non ? ça me parait bien plus utile que le reste.
Ou pourquoi pas faire un master en psychologie, très utiles pour le CRM ? ou médecine pour les facteurs humains.
Moi je pense que ces questions traduisent une mauvaise image du métier de pilote, c'est à dire, un métier où faudrait TOUT connaitre sur tout.
Alors que c'est tout le contraire, plutôt un métier où l'on apprend sans cesse et rien n'est acquis.
Un pilote a des connaissances, par ci par là, générales. Mais il ne peut savoir sur tout. Maintenant, tant mieux si un mec fait ingé en météo, c'est super pour lui, on est content.
Mais il sera frustré d'une manière ou d'une autre car il n'aura pas fait ingé en mécanique, ou il n'aura pas assez fait de droit (droit aérien c'est trop précis)...
C'et dommage de laisser le côté pilotage de côté... le côté pragmatique.
Trader.frenchi a écrit : Field, les gens s'intérogent de la sorte car le nombre de places de pilote se compte quasiment sur les doigts des mains (oui les Zizou et Schumacher aussi mais tu prends des exemples extrêmes), les gens se posent donc la question : quelles études pour espérer sécuriser une place de pilote (ou à l'ENAC). Mais il est vrai que les petits jeunes ont une bien mauvaise conception du métier de pilote, ou du moins celle que notre système scolaire leur renvoi (faut faire prépa, faut être une bête en maths phy, etc... Ce qui n'est pas faux pour espérer réussir le concours ENAC).
Pour se payer très facilement et cash une formation jusqu'à la QT voire un LT (si t'as tu dois choisir entre une audi A8 et un LT + audi A6 et que tu veux être pilote, c'est sans doute justifié non ?)
Et connaître des gens qui ont de l'argent, pourquoi pas des clients en masse à apporter à une boite de TPP ?
-
- Copilote posteur
- Messages : 118
- Enregistré le : 29 août 2010, 18:54
- Localisation : Paris
- Âge : 34
J aimerai digresser un peu tout en restant pertinent... Quelq'un d'entre vous sait il par hasard quels etaient les conditions d'admissions en ecole de pilotage dans les pays de l'ex union sovietique et par extention les pays communistes... Car il me semble que l'ideal communiste prevois des etudes gratuites donc... J'aurai bien aimer savoir quelles etaient les regles de selections...
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 13 Réponses
- 1976 Vues
-
Dernier message par Tofly2leretour
-
- 12 Réponses
- 2413 Vues
-
Dernier message par Khaz_76443
-
- 8 Réponses
- 4285 Vues
-
Dernier message par handil
-
- 1 Réponses
- 1201 Vues
-
Dernier message par Zebi
-
- 4 Réponses
- 1639 Vues
-
Dernier message par Flying Saucisse