supernova a écrit :
Je pense que c'est un état d'esprit, un fait de société, la quête de la sécurité absolue.
Le besoin d'être sous la protection d'une autorité supérieure, d'une structure.
En effet, mais surtout, d'une part la sécurité absolue n'existe pas et d'autre part, c'est absurde de compter sur un organisme quelconque pour sa sécurité. Et en plus je ne vois pas comment on peut se sentir épanoui si on délègue sa sécurité à un organisme qu'on considère tout puissant.
C'est comme ça qu'on se retrouve dans une situation où on pense que seule la grève permet de modifier ses conditions de travail.
Moi chaque fois que je n'ai pas été content d'un patron et que ça ne pouvait pas s'arranger, je l'ai quitté.
Les conséquences de la dégradation de son état de santé sur sa capacité à gagner sa vie peuvent s'assurer, (il faut bien lire le contrat....)
Le risque de dégradation de son état de santé peut se réduire significativement par une bonne hygiène de vie et un suivi médical sérieux.
Le risque de perte de revenu s'assure en maintenant son employabilité et en gardant un train de vie raisonable pour mettre de l'argent de coté pour pouvoir se retourner en cas de pépin.
Le maintien de son employabilité se fait en essayant au maximum de progresser dans son activité, de se tenir au courant du marché du travail, d'avoir une autre corde à son arc, de prendre des cours du soir pour étendre ses qualifications professionnelles etc.