Test de comprehension de Lecture

Devenir Pilote de Ligne via la filières des Cadets d'Air France

Modérateur : BiZ

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Rc_Pilot
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Message par Rc_Pilot »

salut...

Parmis tout ceux qui ont passe les selections, comment avez vous trouvé l'epreuve de francais? Les questions posées ressemblent plus a celle que l'on trouve ds tage/mage ou ilia, ou a celle posees a l'iap (ou celle de pp ifr2 puisque c'est les memes(sic) ). Je trouve les questions de pp ifr2 vraiment pas clair.

Et a propos tout ces textes que l'on retrouve a l'ilia et l'iap... ou peut on les trouver, vu qu'ils ne les ont pas "inventés" eux memes?

merci,
Thierry
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steph
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Message par steph »

Salut,
je l'ai passé cette année. J'ai trouvé que deux ou trois texte ressemblaient à ceux de ILIA. Mais je n'aime pas trop faire de pub. Ce que je peux dire c'est que ça à plutot tendance à induire en erreur qu'autre chose, car le sujet est le même, mais le contenu diffère un peu.
Si je peux me permettre un conseil: on peut s'en passer, c'est sûr
Le succès c''est être capable d''aller d''échec en échec sans perdre son enthousiasme.
Winston Churchill
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Mouns
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Message par Mouns »

Salut à tous, après une longue période de silence...
J'espère que tout le monde va bien...
AU sujet du test de lecture, le mieux c'est d'apprendre à lire vite et bien. Alors comment faire??? Dès maintenant à chaque fois que tu liras un truc, lis aussi vite que tu peux. Au début tu targeras pas grand choses à ce que tu lis. Mais au fur et a mesure tu apprendras à lire et à survoler les phrases pour en comprendre 80% et gagner 3 fois plus de temps (si si). Il ne faut pas non plus bouger les lèvres. Tu atteindras alors ce que l'on appelle en lecture le mur du son qui avoisine 450 mots à la minute, parce que tu continueras malgré tout à prononcer les mots dans ta tête. A cette vitesse nous sommes considérés comme des lecteurs moyen. La phase la plus délicate est d'outrepasser ce mur, faire abstraction de la prononciation des mots dans la tête. Et là les bons lecteurs arrivent à plus de 1000 mots à la minute... Pour ma part je suis à 450 mots à la minute, et j'ai eu 7 en français...
Apprends à lire vite, puis bien. En deux mois, sans effort, en lisant le journal ou des revues, penses-y et ça viendra tout seul.

Bon courage et bon taf
Mouns
Celui qui s''attend au pire n''est jamais déçu...Image
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JeanPhi
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Message par JeanPhi »

C'est clair qu'il faut lire, lire, lire relire et encore relire et VITE surtout !

C'est pour ma part le français qui m'a ajourné lors des sélections (classe 2 seulement.) J'ai trouvé cette épreuve franchement difficile.

Alors je me suis penché sur la question et on m'a très vivement conseillé de me procurer la méthode de lecture rapide de Jean Richaudeau. Il n'y a pas beaucoup de méthodes dans ce domaine mais cet ouvrage est particulièrement efficace en la matière. Il comporte un premier test d'évaluation qui permet au lecteur de se tester. Ensuite le lecteur suit un programme (assez poussé parfois) qui comprend des exercices en tout genre mêlant compréhension et rapidité

Mais attention, me faites pas dire ce que j'ai pas dit ! Cet ouvrage ne suffit certainement pas ! La lecture, c'est un travail qui a commencé depuis que nous étions tout petit alors ce n'est pas en quelques mois que tout va changer mais cette méthode aide efficacement tout de même à la lecture rapide (et sa compréhension)

Je redonnerai les références exactes pour ceux que ça intéresse mais là je ne les ai pas sur moi.

Sur ce, bon courage à tous ceux de Janvier et @+
Jean-Philippe
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mam
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Message par mam »

Bonjour,

Les annales pour entrer à l'IAE voir ici
peuvent peut-etre etre utilisées pour s'entrainer. Voir I pour le français, et II pour les maths (moins sur).
Si un de ceux qui ont passé les Cadets peuvent confirmer l'interet ou non, ce serait sympa pour les autres
merci

<font size=-2>[ Ce message a été édité par: mam le 2003-01-16 08:48 ]</font>

<font size=-2>[ Ce message a été édité par: mam le 2003-01-16 08:49 ]</font>
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webpilot
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Message par webpilot »

Salut,

concernant les annales de l'IAE, ça peut être un entraînement utile pour la rapidité des méninges, mais il faut bien voir que le principe même de l'exercice à l'IAE est différent de celui d'AF. Pour les maths il y a du bon à prendre (par contre il faut laisser tomber les questions de statistiques type variance et compagnie).

Il y a des exemples de textes de Français dans d'autres topics. Je vous en livre deux autres que j'avais préparé pour compléter ceux qu'on peut trouver dans PP IFR 2, je ne sais pas ce que ça vaut n'étant pas spécialiste de la question mais si ça peut vous servir...

@ +

Webpilot, qui démarre le 3 février à l'EPAG

*********************************************************************

La variation d'énergie interne ne dépendant que des états extrêmes, s' exprime en fonction des paramètres de ces états. Au cours de la transformation, l'énergie interne est une fonction continue du temps. On pourrait croire qu'elle est aussi une fonction continue des paramètres d'état : il n'en est rien, car les états intermédiaires ne sont pas, en général, des états d'équilibre statistique, et alors les paramètres d'état ne sont pas définis de la même manière et forment un ensemble plus complexe. Ainsi, un système peut ne pas être isotherme, si on met en contact une de ses parties avec un corps à température différente ; ainsi la pression varie d'un point à un autre d'un fluide qui s'écoule dans un tube fin. On est donc amené à considérer des transformations pour lesquelles les états intermédiaires sont aussi des états d'équilibre. De telles transformations doivent être assez lentes pour que l'état d'équilibre statistique ait le temps de s'établir. Cet état d'équilibre doit être réalisé d'un double point de vue : mécanique et thermique. Ainsi, la pression et la température d'un gaz doivent être uniformes (en négligeant les variations de pression dues à la pesanteur). On constate expérimentalement que l'état d'équilibre mécanique s'établit beaucoup plus vite que l'état d'équilibre thermique. Si des échanges de chaleur ont lieu simultanément, soit avec l'extérieur, soit entre différentes parties d'un système, la transformation devra être très lente par rapport aux transformations usuelles, qu'on ne peut pas considérer comme formées d'une suite d'états d'équilibre.

1) Si on met en contact une des parties d'un système avec un corps à température différente :
a) l'équilibre thermique va s'opposer à l'équilibre mécanique
b) la température du corps va évoluer dans le sens contraire de l'énergie interne du système
c) le système est isotherme seulement si la transformation qui en résulte est lente par rapport aux transformations usuelles
d) le système est isotherme seulement si on néglige les variations de pression dues à la pesanteur
e) les échanges de chaleur permettront d'atteindre un équilibre thermodynamique

2) L'énergie interne :
a) est une fonction continue des paramètres d'état
b) varie selon les paramètres des états extrêmes quelle que soit la transformation
c) dépend à la fois d'un équilibre mécanique et thermique
d) varie plus lentement que la pression si un équilibre statistique est maintenu
e) est uniforme en tout point d'une transformation à température constante

3) Une transformation rapide avec échanges de chaleur :
a) modifie instantanément la pression de l'écoulement dans un tube fin
b) ne vérifie pas le troisième principe de la thermodynamique
c) est uniforme d'un point de vue statistique
d) entraîne une variation de la température ambiante
e) ne peut pas être considérée comme une suite d'états d'équilibre

*********************************************************************

Le mécanisme du marché tend à égaliser en permanence les taux de rendement des diverses obligations par rapport aux cours en bourse : les écarts qui subsistent sont dus aux différences de risque que présentent pour l'obligataire les divers titres. L'équilibre du marché dépend de l'offre et de la demande d'obligations qui se manifestent à un moment donné. La demande émane des agents économiques qui souhaitent accroître leur portefeuille d'obligations. L'offre émane des agents qui souhaitent réduire leur portefeuille d'obligations et des émetteurs de titres nouveaux. Le taux d'intérêt s'établit au niveau qui égalise les offres et les demandes. Ce taux détermine les cours en bourse des titres anciens : comme nous l'avons vu, taux de l'intérêt et cours en bourse des titres anciens varient toujours en sens inverse l'un de l'autre ; si, à un moment donné, beaucoup d'agents estiment que le taux d'intérêt est trop faible (en raison du rythme d'inflation, de l'existence d'autres placements plus avantageux ou pour toute autre raison) et s'ils essaient de se débarrasser de leurs titres, le cours en bourse baisse, donc le taux d'intérêt s'élève ; et inversement. Le nombre total de titres qui augmente lors des émissions et diminue lors des remboursements ne s'ajuste que lentement ; cours et rendements s'établissent à un niveau tel que le nombre de titres désiré soit égal au nombre de titres existant. Une entreprise ne peut espérer placer une émission d'obligations qu'en offrant un taux d'intérêt au moins égal au taux de rendement des obligations anciennes présentant à peu près le même risque. Le marché est en réalité loin d'être parfait : une société ne peut pas se procurer n'importe quelle somme en offrant de payer le taux d'intérêt du marché. La somme qu'elle peut emprunter dépend de sa " surface financière ". Nous avons vu que le marché des obligations est même pratiquement fermé à la plupart des petites entreprises.

4) Si le taux d'intérêt baisse :
a) le volume des émissions d'obligation chute en conséquence
b) le portefeuille global d'actions évolue lentement vers un équilibre entre l'offre et la demande
c) il y a un risque que le taux de rendement augmente
d) le cours en bourse des titres anciens augmente
e) le nombre total d'obligations augmente

5) Le marché des obligations :
a) a un taux d'intérêt supérieur au taux d'inflation
b) concerne essentiellement les grandes entreprises
c) a remplacé le marché des titres anciens
d) comporte autant de titres que d'agents économiques
e) est plus stable que le marché des actions

6) Les taux de rendement des obligations :
a) sont différents, malgré le mécanisme d'équilibre, en raison des différences de risque perçues par les obligataires
b) sont calculés en faisant la différence entre le cours de la bourse et le taux d'inflation
c) chutent lorsque les agents du marché tentent de se débarrasser de leurs titres
d) conditionnent l'accès des grandes entreprises à la cotation en bourse
e) pour une entreprise donnée, rentrent dans le calcul de sa surface financière et donc dans sa capacité à émettre de nouvelles obligations
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webpilot
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Message par webpilot »

Désolé pour ce deuxième post, j'avais des messages d'erreurs concernant le premier et je pensais qu'il n'était pas passé. Et comme maintenant j'ai bien compris comment on éditait les messages (merci Santa) je peux corriger...

<font size=-2>[ Ce message a été édité par: webpilot le 2003-01-17 20:41 ]</font>
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Butterfly
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Message par Butterfly »

Coucou Webpilot,

Merci pour ces exemples...(que tu as toi-même élaborés?)
Dis-moi, est-ce que plusieurs réponses sont possibles? Si oui, ce nombre est-il indiqué?

bizzzz
'"le battement d''aile d''un papillon peut déclencher un ouragan à l''autre bout de la planète'"(Lorentz-théorie du chaos)
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webpilot
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Message par webpilot »

Et oui les exemples qui précèdent c'est du fait maison... C'est pour ça que je ne sais pas ce que ça vaut, je pense avoir l'esprit moins tordu que les spécialistes d'Air France qui préparent ce genre d'épreuves.

Les réponses :

1) C
2) B
3) E
4) D
5) B
6) A

Bon courage à tous !
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Sly
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Message par Sly »


Salut webpilot,

Merci pour ton test de français que j'ai effectué, je voulais te demander qu'est que tu penses de mon résulat à ton test:
5 réponses bonnes sur 6 en 12 minutes chrono sans entrainement.Dis moi ce que tu en penses !!!
Je t'en remerci d'avance.

@+
Julien
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foustou
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Message par foustou »

Un bon entrainement pour le français c'est de lire les journaux (Le Monde ou Figaro) ou des revues techniques et scientifiques puis essayer de faire soi-même des questions. En voici quelques exemples faits maison:

ET D?ABORD ELLE TOURNE.
Avant d'étudier le phénomène des saisons sur la Terre, rappelons les principaux mouvements de notre globe. En 1543, Nicolas Copernic, astronome polonais, révolutionne la perception que les hommes avaient de l'Univers. Il affirme que c'est la Terre qui tourne autour du Soleil et non l'inverse. Mais la Terre tourne aussi sur elle-même. Saris cette rotation, l?alternance du jour et de la nuit serait impossible immobile, notre planète présenterait toujours la même face au Soleil, l'autre restant plongée dans les ténèbres. Ainsi, pour faire le tour du Soleil, dont elle est distante d'environ 150 millions de kilomètres, la Terre met 365 jours un quart - c'est-à-dire qu'elle tourne sur elle-même un peu plus de 365 fois. En une année, elle parcourt près d'un milliard de kilomètres (936 millions) a la vitesse de 30 kilomètres par seconde, soit 108 000 kilomètres a l'heure. Pour faire un tour complet sur elle-même, cette grosse boule d'un diamètre de 12 000 kilomètres met 24 heures. Elle se propulse ainsi à une vitesse de 462 mètres par seconde, ou à environ 1 666 kilomètres à l?heure ; vitesse qui dépasse largement celle du son. Enfin, la Terre se déplace avec le système solaire dans notre Galaxie dont elle fait le tour en 220 millions d'années a une vitesse de 720 000 kilomètres à l?heure. Ajoutons encore que notre Galaxie se déplace elle-même dans l?univers, et voici notre Terre entraînée dans un gigantesque manège à quatre mouvements différents. Pourtant, aucun de ces déplacements ne permettrait l'apparition des saisons. Celles-ci résultent d'un cinquième mouvement dû à l'inclinaison de l?axe de rotation de la planète pendant sa course autour du Soleil.
31-L?apparition des saisons sur Terre est due à :
a) La combinaison de plusieurs rotations de la Terre par rapport à notre galaxie.
b) Au fait que la Terre est entraînée dans un gigantesque manège à quatre mouvements.
c) La Terre se déplace avec le système solaire dans notre galaxie.
d) L?inclinaison de l?axe de rotation de la Terre sur elle-même.
e) La Terre tourne autour de son axe et autour du soleil qui lui-même tourne autour de notre galaxie qui lui-même tourne dans l?univers.

32-Donner un titre à ce texte.
a) Les saisons sont dues à la rotation de la Terre.
b) Gigantesque manège à cinq mouvements.
c) La Terre tourne.
d) Phénomènes des saisons.
e) Découvertes de Copernic.

33- Laquelle de ces propositions est vraie :
a) Copernic, astronome hongrois, révolutionne la perception que les hommes avaient de l?univers.
b) La Terre fait le tour de notre galaxie en 720000 années à une vitesse de 220000 kilomètres heures.
c) La Terre parcourt neuf cent trente six millions de kilomètres par an.
d) L?apparition des saisons résulte d?un cinquième de mouvement dû à l?inclinaison de l?axe de rotation de la Terre.
e) Le soleil tourne autour de la Terre et non l?inverse.


Réponses DDC

LE BIG BANG
Elle fut introduite en 1948 par le physicien russo-américain George Gamow, qui modifia la théorie de Lemaître sur l'atome originel. Gamow supposa que l'Univers était né d'une explosion gigantesque et que les différents éléments observés aujourd'hui ont été générés juste après cette explosion appelée big bang, à un moment où la température et la densité extrêmement élevées de l'Univers permettaient la fusion des particules subatomiques pour créer les éléments chimiques. Des calculs plus récents indiquent que l'hydrogène et l'hélium seraient les deux premiers éléments nés du Big Bang, les éléments plus lourds étant produits seulement plus tard au sein des étoiles. La théorie de Gamow fournit une base pour comprendre les tout premiers stades de l'Univers et l'évolution de ce dernier. Du fait de sa densité extrêmement élevée, la matière existant dans les tout premiers instants de l'Univers se serait dilatée extrêmement vite. L'hydrogène et l'hélium auraient alors été refroidis et condensés dans les étoiles et les galaxies. Cela expliquerait l'expansion de l'Univers et les fondements physiques de la loi de Hubble. L'Univers se dilatant, le rayonnement résiduel issu du big bang aurait continué à se refroidir, jusqu'à aujourd'hui où sa température devrait être d'environ 3 K (environ -270°C). Ce rayonnement ambiant fut détecté par les radio astronomes en 1965, apportant ainsi ce que la plupart des astronomes considèrent comme une confirmation de la théorie du big bang.
34-Parmi les propositions suivantes, laquelle décrit au mieux le processus appelé Big Bang ?
a) Explosion gigantesque où température et densité extrêmement élevées ont permis la fusion de particules atomiques pour créer les éléments chimiques.
b) Explosion où hydrogène et hélium, les deux premiers éléments, ont essentiellement constitué les étoiles.
c) Dilatation extrêmement rapide de l?hydrogène et de l?hélium, constituant les tout premiers éléments du Big Bang.
d) Condensation de l?hélium et de l?hydrogène qui a permis l?expansion de l?univers.
e) Explosion où l?univers porté à haute température et densité a créé les éléments chimiques.

35-Laquelle des propositions suivantes est correcte :
a) Le rayonnement résiduel a continué à se refroidir jusqu?à aujourd?hui.
b) La compréhension des premiers stades de l?univers a été rendue possible grâce à Gamow.
c) La loi de Hubble explique l?expansion de l?univers.
d) L?univers est né d?une explosion gigantesque appelée Big Bang.
e) L?hydrogène et l?hélium refroidis et condensés ont permis la création des étoiles.

36-Qu?est ce qui permet de dire que le Big Bang a réellement eu lieu ?
a) La découverte de résidu de rayonnement issu du Big Bang.
b) La théorie, introduite en 1948, par Gamow, sur la création de l?univers s?avère être la seule explication.
c) Des calculs plus récents indiquent que l?hydrogène et l?hélium ne peuvent être que les deux premiers éléments nés du Big Bang.
d) En 1965, les astronomes ont confirmé cette théorie.
e) La théorie de Lemaître modifiée par George Gamow.


Réponses EBA


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foustou
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Message par foustou »

LES SOLSTICES.
Le 22 décembre, dans I'hémisphère Nord, la Terre est inclinée au maximum par rapport à son axe. C'est le jour du solstice, et les rayons solaires parviennent très rasants dans toute la partie nord de la planète. Nous pouvons comparer les rayons solaires au rayon émis par un spot lumineux : si l'on oriente un spot perpendiculairement au sol, son rayon est petit mais la tache lumineuse est très intense. Au fur et à mesure que l'on agrandit l'angle du projecteur, le rayon s'étale en largeur mais perd de sa puissance. Il en va de même pour les rayons solaires qui, au solstice d'hiver, frappent les régions du Nord avec un angle de plus en plus rasant et réchauffent peu le sol. Il fait plus froid : c'est l'hiver. À l'inverse, dans l'hémisphère Sud, les rayons solaires parviennent plus perpendiculairement au sol il fait chaud, et c'est alors le solstice d'été. Contrairement à une idée généralement répandue, ce n'est pas parce que la Terre est plus ou moins éloignée du Soleil qu'il fait plus ou moins froid : c'est la variation du degré d'inclinaison des rayons solaires sur le Nord ou le Sud de la planète qui induit les saisons.
37-Quelle est la raison qui explique les solstices ?
a) La Terre fait un angle maximal par rapport au plan de rotation de la Terre autour du soleil.
b) La Terre est inclinée au maximum par rapport à son axe horizontal.
c) La Terre est plus ou moins éloignée du soleil pendant l?année.
d) Les rayons solaires parviennent perpendiculairement à l?hémisphère nord le 22 décembre : c?est l?hiver.
e) La variation du degré d?inclinaison des rayons solaires sur la planète.

38-Laquelle des propositions suivantes est vraie ?
a) Le 22 décembre est le solstice d?hiver et les rayons solaires sont perpendiculaires à l?hémisphère nord.
b) Le 22 juin est le solstice d?été et les rayons solaires sont perpendiculaires à l?hémisphère nord.
c) Le 22 décembre est le solstice d?hiver dans l?hémisphère nord et l?été dans l?hémisphère sud.
d) Le 22 juin est le solstice d?été dans l?hémisphère nord et dans l?hémisphère sud.
e) le 22 décembre est le solstice d?hiver.

Réposes AC

CONTE DE FEE.
Perrault, en élaborant ces contes, a obéi à ses démons, mais en même temps a pris ses distances par rapport à eux, a ajouté aux superstitions du temps passé le sel de son ironie Ce sel corrosif a contribué à les détruire comme croyances et à les conserver comme reliques, comme témoignages d'une époque révolue. A cause de cela, la collecte des Perrault n'est pas seulement une collecte parmi d'autres, une résurgence du merveilleux parmi beaucoup d'autres résurgences : c'est un tournant irréversible sur une longue route qui mène du merveilleux de type ancien à un merveilleux d'un autre type, qui s'ébauche à peine et qui, à notre époque, prend des formes contradictoires ; fantastique, anticipation scientifique, merveilleux réaliste ou surréaliste qui se propose de nous faire découvrir la réalité quotidienne comme inconnue et toujours nouvelle. Ce tournant irréversible n'est pas pour autant la fin du merveilleux et l'avènement d'une ère positive et scientifique. Tout se passe comme si, débusquées d'un secteur, les superstitions se réfugiaient ailleurs, toujours ailleurs. Cette situation, quand on y réfléchit, est relativement normale. Les progrès de la science sont certes tumultueux, mais la diffusion des résultats acquis est nécessairement plus lente. Chacun de nous, comme l'a vu admirablement Gramsci, se trouve plongé dans un monde contradictoire, bigarré, où les connaissances les plus récentes voisinent avec les croyances de l'âge des cavernes. Dans cet univers culturel que nous n'arrivons à dominer ni en tant qu'individu ni en tant que groupe humain - tant que nous ne sommes pas parvenus à un véritable humanisme, à nous saisir en tant qu'humanité, dans notre solidarité, dans notre force associée à tant de faiblesse -, le merveilleux joue (et ne peut pas ne pas jouer) un rôle de compensation. C'est un des facteurs qui diminuent les tensions, qui assurent tant bien que mal le rapport entre les hommes et la cohérence toujours remise en question de l'ensemble. En outre, par son progrès même, la science fait surgir de nouveaux problèmes. En fait, quand on y songe, cette situation n'a rien de décourageant. Les ''nouveaux abîmes" qui se découvrent devant nous sont justement une preuve que la science progresse et pourraient nous laisser espérer que nous surmonterons ces difficultés comme nous avons vaincu les précédentes. Mais pour des esprits mal informés, timorés, encombrés de préjugés et qu'on n'aide guère, il faut le dire, à vaincre les préventions, il en est autrement. Malgré l'acquis, ils retrouvent le sentiment de péril, I'angoisse qui caractérisait les situations de jadis, à des époques où la science n'était pas encore développée. On peut aussi comprendre pourquoi le progrès même de la science entraîne, en même temps que des essais audacieux de prospective fondés sur l'analyse des possibilités de la méthode scientifique, des régressions dans des merveilleux de type superstitieux. Il serait d'ailleurs naïf d'imaginer que le merveilleux pourrait s'éteindre à notre époque, alors que notre univers culturel repose en fait sur la coexistence des vérités scientifiques et des dogmes religieux.
Marc SORIANO, Les Contes de Perrault (1968), T.E.L., Gallimard


42-Quel est l?argument de ce texte ?
a) Les superstitions se réfugient toujours ailleurs.
b) A notre époque, le merveilleux prend des formes contradictoires.
c) La science, par son progrès, fait resurgir de nouveaux problèmes.
d) Même si la science progresse, le merveilleux existe toujours.
e) Il faut être solidaire pour empêcher le développement des croyances et des superstitions.

43- Quelle est parmi ces propositions, celle qui est parfaitement en accord avec le texte ?
a) Le merveilleux peut s?éteindre a tout moment.
b) Tant que notre univers culturel reposera sur la cohabitation de la science et de la religion, le merveilleux sera présent.
c) Les esprits mal informés sont superstitieux.
d) Nous sommes responsables de la superstition des petits « gens ».
e) Cette situation est décourageante puisqu?à chaque progrès de la science, un abîme se creuse.

44-Pourquoi le recours aux superstitions, au merveilleux est si présent ?
a) Parce que les esprits sont mal informés.
b) Pour nous faire découvrir la réalité quotidienne sans un merveilleux jour.
c) Car chacun de nous est plongé dans un monde contradictoire.
d) Car chacun de nous est découragé par les progrès de la science.
e) Car le merveilleux compense le manque humain et scientifique.
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Arnolito
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Message par Arnolito »

Salut,
moi je trouve quand même le test de français difficile ! <IMG SRC="/phpBB/images/smiles/icon_frown.gif">

J'ai l'habitude de lire vite, je comprend bien ce que je lis mais le pièges n'est pas uniquement là !

Je viens de recevoir le PP IFR 2 de L. ANDRE, que tout le monde conseille sur ce forum, et je me suis essayé aux test de français. Le problème vient surtout du fait que les réponses données sont très proches... Et qu'il faut vraiment faire un effort pour prendre la phrase dans son sens le plus stricte.

exemple de réponse (sorti du contexte c'est vrai mais quand même) :
- La compensation de la boussole est devenue nécessaire
- Un terrain de compensation plus grand est devenu nécessaire

A vous de juger !!!
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