Voilà de très bonnes questions qui je pense, tout potentiel futur pilote conscient de la situation, se pose.ToineMPSI a écrit : Les petits boulots aéronautiques suffisent-ils à subsister, ou limitent-ils justent les endettements ? Les petits boulots non aéronautiques permettent-ils d'avoir des petits boulots aéronautiques en même temps et donc de rassurer la banque tout en gardant nos qualifs ? Peut on aspirer à reprendre des études d'ingé tout en gardant nos qualifs ? Peut on devenir ingé sans diminuer nos chances de devenir un jour pilote commercial ?
Ce sont ces questions qui sont soulevées ici, et auxquelles comme nous tous j'attends des réponses.
Par ailleurs, une autre question, est ce que certains savent environ combien d'heures par semaines (je demande pas quelque chose de très précis) prend la formation EPL à l'Enac, histoire de savoir si on peut combiner pendant la dite formation, d'autres études en parallèles qui serviront peut être pas forcément à se rapprocher du cokpit, mais qui permettront d'avoir un bagage supplentaire, ce qui nous laisse une petite sécurité au cas où tout ça tourne au vinaigre.
Bref si certains ont des réponses même partielles à ces questions, c'est avec plaisir qu'on les écoutera.