Un autre Airbus s abime en mer
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Un autre Airbus s abime en mer
Un Airbus s'abîme en mer aux Comores avec 158 personnes Paris envoie des secours aux Comores après le crash d'un A310. Des débris de l'Airbus A310 repérés au large des Comores 66 Français à bord
C'est un nouveau drame après celui de l'airbus A330 d'Air France disparu au large du Brésil dans la nuit du 31 mai au 1er juin qui a coûté la vie à 228 personnes. Un Airbus A310 de la compagnie Yemenia, avec 153 personnes à bord - 142 passagers et 11 membres d'équipage - en provenance de Roissy et Marseille a cessé d'apparaître sur les radars dans la nuit de lundi à mardi entre le Yémen et les Comores, selon une source aéroportuaire.
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Accident d'avion au large des Comores: des moyens français mis en oeuvre, annonce Bussereau
Selon nos informations, l'appareil qui s'est abîmé en mer à 10 kilomètres des côtes comoriennes transportait 66 Français. Parmi eux, 40 avaient embarqué à Roissy (Paris) et 26 à Marignane (Marseille). Le temps était exécrable et il y avait beaucoup de vent, a indiqué une source française au point.fr. La tour de contrôle a assuré avoir assisté en direct au crash, une affirmation toutefois difficilement compatible avec le mauvais temps. Toujours selon nos informations, Yemenia n'est pas inscrite sur la liste noire des compagnies à risque.
Mise en place d'une cellule psychologique
L'A310 se trouvait "en phase d'atterrissage", a par ailleurs fait savoir un responsable de la compagnie nationale yéménite. "La plupart des passagers sont des ressortissants de France et des Comores", a-t-il précisé, soulignant que des vedettes avaient été dépêchées sur place pour la recherche d'éventuels survivants. La France a envoyé deux bâtiments de la marine nationale sur place selon l'État major. L'A310 avait à son bord 61 passagers à destination de Moroni partis de Marseille, essentiellement des familles comoriennes retournant au pays, a-t-on appris de source policière.
Un A330-200 de la compagnie avait décollé auparavant de Roissy, lundi, à 9 h 14, selon le site Internet d'Aéroports de Paris (ADP), pour se rendre à Marseille, puis Sanaa, au Yémen. À Sanaa, les passagers ont changé d'appareil pour embarquer à bord de l'A310. L'avion a ensuite décollé pour Djibouti, puis Moroni, aux Comores, où il devait arriver dans la nuit de lundi à mardi
C'est un nouveau drame après celui de l'airbus A330 d'Air France disparu au large du Brésil dans la nuit du 31 mai au 1er juin qui a coûté la vie à 228 personnes. Un Airbus A310 de la compagnie Yemenia, avec 153 personnes à bord - 142 passagers et 11 membres d'équipage - en provenance de Roissy et Marseille a cessé d'apparaître sur les radars dans la nuit de lundi à mardi entre le Yémen et les Comores, selon une source aéroportuaire.
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Mise en place d'une cellule psychologique
L'A310 se trouvait "en phase d'atterrissage", a par ailleurs fait savoir un responsable de la compagnie nationale yéménite. "La plupart des passagers sont des ressortissants de France et des Comores", a-t-il précisé, soulignant que des vedettes avaient été dépêchées sur place pour la recherche d'éventuels survivants. La France a envoyé deux bâtiments de la marine nationale sur place selon l'État major. L'A310 avait à son bord 61 passagers à destination de Moroni partis de Marseille, essentiellement des familles comoriennes retournant au pays, a-t-on appris de source policière.
Un A330-200 de la compagnie avait décollé auparavant de Roissy, lundi, à 9 h 14, selon le site Internet d'Aéroports de Paris (ADP), pour se rendre à Marseille, puis Sanaa, au Yémen. À Sanaa, les passagers ont changé d'appareil pour embarquer à bord de l'A310. L'avion a ensuite décollé pour Djibouti, puis Moroni, aux Comores, où il devait arriver dans la nuit de lundi à mardi
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Mes sincères condoléances aux familles des victimes que je connaissais pour certaines.
Tout d'abord il n'y a pas de secret, Yemenia transporte des passagers dans des conditions horribles et sans les avertir
Ma belle mère est partie aux comores en novembre dernier avec mes deux petite soeurs et, la catastrophe était proche. En partant de roissy rien à dire l'avion était clean, les PNC accueillants, les consignes strictes et appliquées. En arrivant à Sanaa c'est autre chose.Elles ont attendu 10 bonnes heures sans collations, sans informations. Au moment d'embarquer l'épave volante se présente, l'intérieur est pourri pas de ceintures sur certains sièges, pas d'éclairage, bruit insupportable des réacteurs, le pire c'est que les enfant n'ont plus de places assises il faut les mettre sur les genoux( ce n'est pas mentionné sur le billet voilà le mensonge!!), bon les repas proposés à bord: du riz épicé ils se foutent de la gueule du monde et les enfants???
En approche de l'aéroport de moroni HAHAYA il y avait un vent violent le pilote à essayer 4 fois d'atterrir mais sans succès. Direction donc DAR ES SALAM pour une nuit passée dans un terminal avec des enfants en bas-âge et sans repas corrects. Finalement le lendemain matin elles sont arrivées avec plus de peur que de mal.
Il est vrai que les avions sont trop lourd car les limites ne sont absolument pas respectées, seuls les billets d'argent les fixent! Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni. Certes d'autres compagnies au départ de londres font escale au kenya (swissair, kenya air...) et arrivent à moroni mais le voyage est très long et couteux. Dommage que la compagnie corsair qui dessert MAYOTTE ne puisse pas aller jusqu'à moroni
Tout d'abord il n'y a pas de secret, Yemenia transporte des passagers dans des conditions horribles et sans les avertir
Ma belle mère est partie aux comores en novembre dernier avec mes deux petite soeurs et, la catastrophe était proche. En partant de roissy rien à dire l'avion était clean, les PNC accueillants, les consignes strictes et appliquées. En arrivant à Sanaa c'est autre chose.Elles ont attendu 10 bonnes heures sans collations, sans informations. Au moment d'embarquer l'épave volante se présente, l'intérieur est pourri pas de ceintures sur certains sièges, pas d'éclairage, bruit insupportable des réacteurs, le pire c'est que les enfant n'ont plus de places assises il faut les mettre sur les genoux( ce n'est pas mentionné sur le billet voilà le mensonge!!), bon les repas proposés à bord: du riz épicé ils se foutent de la gueule du monde et les enfants???
En approche de l'aéroport de moroni HAHAYA il y avait un vent violent le pilote à essayer 4 fois d'atterrir mais sans succès. Direction donc DAR ES SALAM pour une nuit passée dans un terminal avec des enfants en bas-âge et sans repas corrects. Finalement le lendemain matin elles sont arrivées avec plus de peur que de mal.
Il est vrai que les avions sont trop lourd car les limites ne sont absolument pas respectées, seuls les billets d'argent les fixent! Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni. Certes d'autres compagnies au départ de londres font escale au kenya (swissair, kenya air...) et arrivent à moroni mais le voyage est très long et couteux. Dommage que la compagnie corsair qui dessert MAYOTTE ne puisse pas aller jusqu'à moroni
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On lit swissair partout, mais elle est pas censée avoir fait failllite ya 7 ans ?PANGEE a écrit :Mes sincères condoléances aux familles des victimes que je connaissais pour certaines.
Tout d'abord il n'y a pas de secret, Yemenia transporte des passagers dans des conditions horribles et sans les avertir
Ma belle mère est partie aux comores en novembre dernier avec mes deux petite soeurs et, la catastrophe était proche. En partant de roissy rien à dire l'avion était clean, les PNC accueillants, les consignes strictes et appliquées. En arrivant à Sanaa c'est autre chose.Elles ont attendu 10 bonnes heures sans collations, sans informations. Au moment d'embarquer l'épave volante se présente, l'intérieur est pourri pas de ceintures sur certains sièges, pas d'éclairage, bruit insupportable des réacteurs, le pire c'est que les enfant n'ont plus de places assises il faut les mettre sur les genoux( ce n'est pas mentionné sur le billet voilà le mensonge!!), bon les repas proposés à bord: du riz épicé ils se foutent de la gueule du monde et les enfants???
En approche de l'aéroport de moroni HAHAYA il y avait un vent violent le pilote à essayer 4 fois d'atterrir mais sans succès. Direction donc DAR ES SALAM pour une nuit passée dans un terminal avec des enfants en bas-âge et sans repas corrects. Finalement le lendemain matin elles sont arrivées avec plus de peur que de mal.
Il est vrai que les avions sont trop lourd car les limites ne sont absolument pas respectées, seuls les billets d'argent les fixent! Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni. Certes d'autres compagnies au départ de londres font escale au kenya (swissair, kenya air...) et arrivent à moroni mais le voyage est très long et couteux. Dommage que la compagnie corsair qui dessert MAYOTTE ne puisse pas aller jusqu'à moroni
Elle a été reprise par une autre compagnie ?
Dubble a écrit : On lit swissair partout, mais elle est pas censée avoir fait failllite ya 7 ans ?
Elle a été reprise par une autre compagnie ?
et ça c'est quoi ????? http://www.swiss.com/web/FR/Pages/index.aspx?Country=FR
:non: :non:
j'avoue que c'est intriguant, d'autant plus qu'elle ne figure pas sur la 'liste noire' des compagnies.Gaston77 a écrit :Si c'est de notoriété publique, que penser des autorités françaises qui laissent faire sur notre territoire national ??PANGEE a écrit :Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni.
Ca c'est Swiss International Airlines, pas Swissair (:non:) qui a effectivement disparu il y a de nombreuses années. Pour ceux qui trouvent je recommande le film "Grounding" qui raconte les dernières heures de la compagnie.5AM1 a écrit : et ça c'est quoi ????? http://www.swiss.com/web/FR/Pages/index.aspx?Country=FR
:non: :non:
Modifié en dernier par Dan le 30 juin 2009, 19:56, modifié 1 fois.
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Gaffe quand même, pour les bébés (donc âgés de moins de 2 ans) être assis et attachés sur les genous des parents, c'est une procédure normale, les sièges d'avions ne sont pas prévus pour sécuriser un bébé. Par contre les enfants de plus de deux ans doivent avoir une place assise à eux !PANGEE a écrit :Mes sincères condoléances aux familles des victimes que je connaissais pour certaines.
Tout d'abord il n'y a pas de secret, Yemenia transporte des passagers dans des conditions horribles et sans les avertir
Ma belle mère est partie aux comores en novembre dernier avec mes deux petite soeurs et, la catastrophe était proche. En partant de roissy rien à dire l'avion était clean, les PNC accueillants, les consignes strictes et appliquées. En arrivant à Sanaa c'est autre chose.Elles ont attendu 10 bonnes heures sans collations, sans informations. Au moment d'embarquer l'épave volante se présente, l'intérieur est pourri pas de ceintures sur certains sièges, pas d'éclairage, bruit insupportable des réacteurs, le pire c'est que les enfant n'ont plus de places assises il faut les mettre sur les genoux( ce n'est pas mentionné sur le billet voilà le mensonge!!), bon les repas proposés à bord: du riz épicé ils se foutent de la gueule du monde et les enfants???
En approche de l'aéroport de moroni HAHAYA il y avait un vent violent le pilote à essayer 4 fois d'atterrir mais sans succès. Direction donc DAR ES SALAM pour une nuit passée dans un terminal avec des enfants en bas-âge et sans repas corrects. Finalement le lendemain matin elles sont arrivées avec plus de peur que de mal.
Il est vrai que les avions sont trop lourd car les limites ne sont absolument pas respectées, seuls les billets d'argent les fixent! Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni. Certes d'autres compagnies au départ de londres font escale au kenya (swissair, kenya air...) et arrivent à moroni mais le voyage est très long et couteux. Dommage que la compagnie corsair qui dessert MAYOTTE ne puisse pas aller jusqu'à moroni
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Je précise enfant de 4 ans et de 1 an donc ma petite soeur de 4 ans a été victime de ce qu'on appelle je crois "le surbooking" au départ de CDG tu as une place assise et à Sanaa on te dis: "sur les genoux car ta place a déjà été vendue".Flo_dr400 a écrit :Gaffe quand même, pour les bébés (donc âgés de moins de 2 ans) être assis et attachés sur les genous des parents, c'est une procédure normale, les sièges d'avions ne sont pas prévus pour sécuriser un bébé. Par contre les enfants de plus de deux ans doivent avoir une place assise à eux !PANGEE a écrit :Mes sincères condoléances aux familles des victimes que je connaissais pour certaines.
Tout d'abord il n'y a pas de secret, Yemenia transporte des passagers dans des conditions horribles et sans les avertir
Ma belle mère est partie aux comores en novembre dernier avec mes deux petite soeurs et, la catastrophe était proche. En partant de roissy rien à dire l'avion était clean, les PNC accueillants, les consignes strictes et appliquées. En arrivant à Sanaa c'est autre chose.Elles ont attendu 10 bonnes heures sans collations, sans informations. Au moment d'embarquer l'épave volante se présente, l'intérieur est pourri pas de ceintures sur certains sièges, pas d'éclairage, bruit insupportable des réacteurs, le pire c'est que les enfant n'ont plus de places assises il faut les mettre sur les genoux( ce n'est pas mentionné sur le billet voilà le mensonge!!), bon les repas proposés à bord: du riz épicé ils se foutent de la gueule du monde et les enfants???
En approche de l'aéroport de moroni HAHAYA il y avait un vent violent le pilote à essayer 4 fois d'atterrir mais sans succès. Direction donc DAR ES SALAM pour une nuit passée dans un terminal avec des enfants en bas-âge et sans repas corrects. Finalement le lendemain matin elles sont arrivées avec plus de peur que de mal.
Il est vrai que les avions sont trop lourd car les limites ne sont absolument pas respectées, seuls les billets d'argent les fixent! Cette compagnie est malhonnête mais malgré cela,reste la seule au départ de paris qui rejoint moroni. Certes d'autres compagnies au départ de londres font escale au kenya (swissair, kenya air...) et arrivent à moroni mais le voyage est très long et couteux. Dommage que la compagnie corsair qui dessert MAYOTTE ne puisse pas aller jusqu'à moroni
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En cas de surbooking, c'est que le nombre de siège vendu est supérieur au nombre de place disponible, et donc dans ce cas là, si on est victime de surbooking, on risque pas d'embarquer, donc difficile d'avoir une place assise y compris à CDGJe précise enfant de 4 ans et de 1 an donc ma petite soeur de 4 ans a été victime de ce qu'on appelle je crois "le surbooking" au départ de CDG tu as une place assise et à Sanaa on te dis: "sur les genoux car ta place a déjà été vendue".
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En tant qu'organisme du pays de constuction de l'avion, normalement le BEA devrait être associé à l'enquête, au côté des entités des Comores et du Yémen.SR71_Blackbird a écrit :Est-ce au BEA de mener l'enquête ?
Une conception bien particulière du surbooking... En effet normalement lorsque tu en es victime, tu ne pars pas, point barre !PANGEE a écrit :Je précise enfant de 4 ans et de 1 an donc ma petite soeur de 4 ans a été victime de ce qu'on appelle je crois "le surbooking" au départ de CDG tu as une place assise et à Sanaa on te dis: "sur les genoux car ta place a déjà été vendue".
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Pangee ton méssage est très émouvant et révoltant aussi.
Oui certaines compagnies dans le monde n appliquent pas les procédures. Se déplacer à l intérieur de l Afrique, du Yémen, ....ce n est pas se déplacer dans les pays riches, réglementés etc... ou à tout moment des avocats peuvent être sur le dos des compagnies.
Oui les avions qui arrivent sur nos sols peuvent à tout moment voir débarquer les controleurs DGAC ou autre, voir des vols cloués au sol. Alors ils envoient les plus neufs, ceux aux normes. Mais là-bas.... en vols intérieurs, Il en est quoi sur place ?
Oui, il m est arrivé d avoir la trouille lors de mises en place sur des compagnies intérieures indiennes, chinoises, et aussi je me souviens un jour au départ de Djibout. J en menais pas large. C était courant à l époque ces mises en places précaires.
Maintenant voilà.....Celà arrive encore une fois. Une fois de + une fois de trop.
Celà nous touche plus particulièrement parce qu à bord il y avait des français, des comoriens qui sont des gens adorables, mais tant d avions aussi tombent, presque dans l oubli des médias dans ces pays du bout du monde :non:
Voilà, je présente à nouveau mes condoléances aux familles
licia
Oui certaines compagnies dans le monde n appliquent pas les procédures. Se déplacer à l intérieur de l Afrique, du Yémen, ....ce n est pas se déplacer dans les pays riches, réglementés etc... ou à tout moment des avocats peuvent être sur le dos des compagnies.
Oui les avions qui arrivent sur nos sols peuvent à tout moment voir débarquer les controleurs DGAC ou autre, voir des vols cloués au sol. Alors ils envoient les plus neufs, ceux aux normes. Mais là-bas.... en vols intérieurs, Il en est quoi sur place ?
Oui, il m est arrivé d avoir la trouille lors de mises en place sur des compagnies intérieures indiennes, chinoises, et aussi je me souviens un jour au départ de Djibout. J en menais pas large. C était courant à l époque ces mises en places précaires.
Maintenant voilà.....Celà arrive encore une fois. Une fois de + une fois de trop.
Celà nous touche plus particulièrement parce qu à bord il y avait des français, des comoriens qui sont des gens adorables, mais tant d avions aussi tombent, presque dans l oubli des médias dans ces pays du bout du monde :non:
Voilà, je présente à nouveau mes condoléances aux familles
licia
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Auteur du sujetalicia
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Sources le Parisien
Le crash qui réveille la peur de l’avion
Un Airbus de Yemenia Airways s’est crashé au large des Comores dans la nuit de lundi à mardi, faisant 152 morts dont 66 Français. Une seule rescapée, une adolescente de 14 ans.
Le drame, la colère et la peur. La nuit dernière, un Airbus A-310 de la compagnie Yemenia Airways qui devait se poser à Moroni s’est écrasé en mer au large de l’archipel des Comores. Sur les 153 personnes à bord, dont 66 Français, qui avaient embarqué à Paris puis fait escale à Marseille, Sanaa au Yémen puis Djibouti, on compte une miraculée, une adolescente découverte flottant dans l’eau par les sauveteurs
La seule rescapée est Marseillaise
« Avant ces accidents, 2009 était une bonne année »
Un mois presque après la disparition du vol Air France Rio-Paris dans lequel 228 personnes sont mortes, ce deuxième drame-ci frappe la communauté comorienne de France.
Dès les heures qui ont suivi l’accident, plusieurs autorités, dont le ministre des Transports, Dominique Bussereau, ont souligné que l’appareil en question comme la compagnie Yemenia Airways faisaient l’objet d’une surveillance particulière concernant notamment l’entretien de la flotte. Un doute renforcé par des proches des victimes, habitués de cette liaison aérienne, dont certains n’ont pas hésité à parler de « cercueils volants ». Des incidents ont également éclaté à l’aéroport de Marseille, d’où étaient originaires plusieurs victimes, qui avaient pour but de dénoncer la lenteur des informations fournies par la compagnie. Des enquêteurs, notamment ceux du Bureau d’enquêtes et d’analyses, se sont envolés vers les Comores dès hier. Des débris et des corps ont été localisés et repêchés dans une zone proche de la côte. S’il est trop tôt pour livrer un scénario complet de l’accident, plusieurs témoins ont vu l’avion survoler l’aéroport avant de remettre les gaz puis de disparaître : avarie technique, erreur de pilotage, toutes les hypothèses sont ouvertes.
Cet après-midi, Nicolas Sarkozy assistera à la mosquée de Paris à une cérémonie interreligieuse en hommage aux victimes. Cet accident intervient avant une période où de nombreux voyageurs s’apprêtent à prendre l’avion.
Avec appréhension pour beaucoup. Une peur partagée par les navigants d’Air France. Près de 150 d’entre eux ont préféré démissionner depuis l’accident du Rio-Paris.
Le crash qui réveille la peur de l’avion
Un Airbus de Yemenia Airways s’est crashé au large des Comores dans la nuit de lundi à mardi, faisant 152 morts dont 66 Français. Une seule rescapée, une adolescente de 14 ans.
Le drame, la colère et la peur. La nuit dernière, un Airbus A-310 de la compagnie Yemenia Airways qui devait se poser à Moroni s’est écrasé en mer au large de l’archipel des Comores. Sur les 153 personnes à bord, dont 66 Français, qui avaient embarqué à Paris puis fait escale à Marseille, Sanaa au Yémen puis Djibouti, on compte une miraculée, une adolescente découverte flottant dans l’eau par les sauveteurs
La seule rescapée est Marseillaise
« Avant ces accidents, 2009 était une bonne année »
Un mois presque après la disparition du vol Air France Rio-Paris dans lequel 228 personnes sont mortes, ce deuxième drame-ci frappe la communauté comorienne de France.
Dès les heures qui ont suivi l’accident, plusieurs autorités, dont le ministre des Transports, Dominique Bussereau, ont souligné que l’appareil en question comme la compagnie Yemenia Airways faisaient l’objet d’une surveillance particulière concernant notamment l’entretien de la flotte. Un doute renforcé par des proches des victimes, habitués de cette liaison aérienne, dont certains n’ont pas hésité à parler de « cercueils volants ». Des incidents ont également éclaté à l’aéroport de Marseille, d’où étaient originaires plusieurs victimes, qui avaient pour but de dénoncer la lenteur des informations fournies par la compagnie. Des enquêteurs, notamment ceux du Bureau d’enquêtes et d’analyses, se sont envolés vers les Comores dès hier. Des débris et des corps ont été localisés et repêchés dans une zone proche de la côte. S’il est trop tôt pour livrer un scénario complet de l’accident, plusieurs témoins ont vu l’avion survoler l’aéroport avant de remettre les gaz puis de disparaître : avarie technique, erreur de pilotage, toutes les hypothèses sont ouvertes.
Cet après-midi, Nicolas Sarkozy assistera à la mosquée de Paris à une cérémonie interreligieuse en hommage aux victimes. Cet accident intervient avant une période où de nombreux voyageurs s’apprêtent à prendre l’avion.
Avec appréhension pour beaucoup. Une peur partagée par les navigants d’Air France. Près de 150 d’entre eux ont préféré démissionner depuis l’accident du Rio-Paris.
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