Gérer le stress dans les turbulences
Modérateur : Big Brother
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Beurkkkk
Ca me fait penser a mon passé d'instructeur ...Un jour un de mes éléves , digne pére de famille , vient pour des TDP accompagné de sa gamine . Tout allait bien mais lors de la dernière base leg , la gamine se détache , place sa tete entre nous et dit : Papa j'ai mal au coeur !!
puis se tourne vers moi et me balance toute la sauce :non: .... Ah la "xxxxxx"
Ca a schlingué au moins pendant 2 jours dans le Rallye ...
Ca me fait penser a mon passé d'instructeur ...Un jour un de mes éléves , digne pére de famille , vient pour des TDP accompagné de sa gamine . Tout allait bien mais lors de la dernière base leg , la gamine se détache , place sa tete entre nous et dit : Papa j'ai mal au coeur !!
puis se tourne vers moi et me balance toute la sauce :non: .... Ah la "xxxxxx"
Ca a schlingué au moins pendant 2 jours dans le Rallye ...
La mienne est plus grosse que la votre .
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exact, merci Fbs pour cette précisionFbs a écrit :Ca c'est la limite d'usage courant et sans déformation permanente. Il faut démontrer la capaciter a encaisser 50% de plus sans rupture727 a écrit :volets rentrés entre -1 et +2.5 gChris_ACV a écrit :Pour information, quelles sont les limites de résistance en moyenne sur les G +/- subis par les liners?
Parmi les Airbus et Boeings, par exemple. Quel minima les constructeurs se fixent-ils?
volets sortis entre 0 et +2.5 g
effectivement quand on regarde les diagrammes de certification de vol en manoeuvre, l'avion doit pouvoir encaisser 3.75g avant rupture, 2.5g max ça ferait un peu lèg
Mouais enfin avoue que parfois (heureusement rarement) quand tu te rapproches des limites du domaine de vol de l'avion, c'est pas trop "bandant".Balt Hazard a écrit :Je suis surpris de lire ça.
Pour ma part les turbulences m'ont toujours foutu le barreau, sauf en pax c'est vrai.
Quand en ERJ sous le vent d'une colline à Bilbao, bien qu'on volait à environ 1.6 Vs, en deux secondes on a eu le stick shaker (pendant env deux secndes d'ailleurs) et pendant une fraction de seconde du stick pusher, moi comme le captain (qui étaiyt pf), bien qu'ayant réagis correctement à la situation, on était pas super happy ... j'aime bien le challenge, mais comme disait WDP plus haut il y a des situations qui ne sont pas trop d'avenir, et il faut vite bien réagir et prendre la bonne décision ensuite.
Le cas du 37 d' Europe Air Post évoqué par WDP plus haut ... les mecs qui décrochent en virage dans la turb, prennent jusqu'à 110° de roulis et rétablissent à 7000 fts à Antalya, ils s'y sont vus y passer quand même je pense
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Bonne idée, ça lui sera utile je pense, au sens où en voltige, tu découvres les situations limites, tu les "taquines" de long en large, du coup tu es plus à l'aise quand tu les rencontres, bien qu'il ne faille pas s'attendre à sortir d'une vrille aussi rapidement sur 737 que sur un petit avion de voltige (léger euphémisme ..). Dans mon cursus de formation CPL pour la CAA, il y avait 4 heures de voltige, j'ai bien appréciénikonblaze a écrit :Peut être qu'un peu de voltige te permettrai d’être a l'aise dans un avion en toute situation (même la tête en bas) ce qui fera passer les turbulences pour quelques chose de pépére! ^^
a++ bonne soirée
Mais je ne pense pas que ça éradique complètement son stress vis-à-vis de la turbulence. Le seul moyen, c'est qu'il "vive" le vol sous turbulence avec quelqu'un qui le guide.
Sinon nikonblaze, la turbulence, en tous cas la sévère, c'est jamais pépère, encore moins en évolutions, ou en haute altitude, faut quand même être sur ses gardes
c'est gentil comme turbulence, ces temps ci il m'arrive de même plus pouvoir appuyer sur mes boutons tellement ça secoue (même en évitant, changer de cap ou de FL, dommage quand c'est en final....), les orages deviennent de plus en plus violents ces années ??? ou c'est peut être moi qui devient vieux et que ça m’embête quand je ne peux plus boire mon café tranquille...Jumbo a écrit : ... Je préfére la fille , la mére ...
Comme le dit très bien Dan, avec l'expérience on voit bien que c'est inconfortable mais les avions supportent sans danger imminent. Quand on voit la grêle arriver sur le pare-brise c'est une autre histoire...faut changer de route, la tête du CB est pas loin.
mdr...c'est ça de penser au bon repas qui attend en bas, et aussi à l’économie de pétroleBiZ a écrit :Ou alors l'expérience et la confiance aidant, tu passes de plus en plus prèsertach a écrit :les orages deviennent de plus en plus violents ces années ??? ou c'est peut être moi qui devient vieux et que ça m’embête quand je ne peux plus boire mon café tranquille...
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Euh c'était une blague hein.ertach a écrit :mdr...c'est ça de penser au bon repas qui attend en bas, et aussi à l’économie de pétroleBiZ a écrit :Ou alors l'expérience et la confiance aidant, tu passes de plus en plus prèsertach a écrit :les orages deviennent de plus en plus violents ces années ??? ou c'est peut être moi qui devient vieux et que ça m’embête quand je ne peux plus boire mon café tranquille...
Je ne pense pas justement...nikonblaze a écrit :Peut être qu'un peu de voltige te permettrai d’être a l'aise dans un avion en toute situation (même la tête en bas) ce qui fera passer les turbulences pour quelques chose de pépére! ^^
a++ bonne soirée
J'ai toujours eu un peu peur des turbulences en avion de ligne moi aussi, sorte d'appréhension dès qu'il y a un trou d'air et augmentation du stress quand j'entends le " shtounng " du signal des ceintures. Pourtant quand je vole en planeur les turbulences sont 100 fois plus importantes, elle devrait donc être 100 fois plus intimidantes mais ce n'est pas le cas ! Et c'est exactement pareil en avion de tourisme, aucun stress, j'y pense même pas.
Donc je pense que c'est uniquement due aux gros porteurs, pas vraiment de moyen d'y remédier... Ah si ! Allez dans le cockpit ! Là plus aucun stress de même .
Je crois que cette "peur" est due au fait que en tant que pax on ne contrôle pas l'avion (et donc on s'éclate pas ) et pire on ne sait pas ce que fait le pilote aux commandes....
on ne fait pas que ça à l'avant, mais il y a une différence entre subir à l'arrière et comprendre ce qu'il se passe à l'avant (et surtout avoir le cerveau occupé par d'autres taches).maxxxair a écrit : Je crois que cette "peur" est due au fait que en tant que pax on ne contrôle pas l'avion (et donc on s'éclate pas ) et pire on ne sait pas ce que fait le pilote aux commandes....
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