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Posté : 07 nov. 2018, 00:10
par Zebi
Comme l'a dit le brillant Danny from l'Utah, ne jamais se fier aux sceptiques... Tu finiras vendeur de cravates comme eux et plein de rancœur tu guidera plein de jeunes vers la vente de cravates...

Posté : 07 nov. 2018, 10:30
par TSAT
5 clopinettes a écrit : AP320, et si on les laissait à leur petite vie et leurs aigreurs?

Pourquoi les laisserait-on nous gâcher le plaisir?
Médor, à la niche ! 👉🏻

Posté : 07 nov. 2018, 10:54
par 5 Rings
benbakers a écrit :Einstein disait : Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution.

Pour nos illuminés captain_747 et Fouga, Une personne qui parle de ses rêves et veut voir le bon coté des choses doit être rappelé à l'ordre avec les mauvais aspects.
Je ne sais pas si c'est du a une frustration aéronautique de leurs part, ou si pathologiquement ils généralisent se comportement à tout dans la vie.

Dans ce cas ne rêvez de plus rien, pensez petit, et n'échangez plus de vos passions.
A moins qu'il existe de grande ambitions sans obstacles et difficultés, mais la.... Qui est le doux rêveur ?
voilà…

malgré les contraintes, personnellement, je ne reviendrai jamais dans un bureau par choix.

Posté : 07 nov. 2018, 14:19
par A/THR OFF
4T60A a écrit :
AlphaPapa320 a écrit :
Pour une fois tu m’as bien fais rire TSAT!
Pour ce qui est de l’envie de péter sous le niveau 100, certains ne se gènent pas...
Moi aussi j’ai rigolé... 8) Mais pourquoi attendre d’être sous le FL100 ? C’est au contraire quand on est au FL350/7000’ cabine qu’il faut y aller... :lol: Ce qui me fait d’ailleurs me remémorer que j’adorais l’équipage à trois. Outre le côté convivial, il y avait toujours le bénéfice du doute sur l’auteur de l’émission de quelque vesse malodorante (et souvent les regards fourbes des deux cochers qui se retournaient vers l’innocent OMN :badteeth: )...
Tu peux toujours inviter une hotesse à prendre place en jumpseat quelques instants, comme ça il y a de nouveau le bénéfice du doute, mais il est probable que ça soit elle qui vous regarde furieusement...

Posté : 07 nov. 2018, 14:31
par el loco
5 Rings a écrit :
malgré les contraintes, personnellement, je ne reviendrai jamais dans un bureau par choix.
Je ne peux pas trop comparer car j’ai eu la chance de ne travailler dans un bureau que pendant 6 mois, mais je n’en changerai pour rien au monde de bureau.

Et pour donner un petit aspect négatif/positif du métier :
Le réveil qui sonne très (trop) tôt le matin. Mais une fois décollé, je suis toujours aussi content de faire ce que je fais et en oublie ce réveil tortionnaire ;)

Posté : 07 nov. 2018, 15:55
par Airone2977
5 Rings a écrit :
benbakers a écrit :Einstein disait : Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution.

Pour nos illuminés captain_747 et Fouga, Une personne qui parle de ses rêves et veut voir le bon coté des choses doit être rappelé à l'ordre avec les mauvais aspects.
Je ne sais pas si c'est du a une frustration aéronautique de leurs part, ou si pathologiquement ils généralisent se comportement à tout dans la vie.

Dans ce cas ne rêvez de plus rien, pensez petit, et n'échangez plus de vos passions.
A moins qu'il existe de grande ambitions sans obstacles et difficultés, mais la.... Qui est le doux rêveur ?
voilà…

malgré les contraintes, personnellement, je ne reviendrai jamais dans un bureau par choix.
D'où l’intérêt d'avoir une vie professionnelle avant de devenir pilote, cela permet en tout cas de mon point de vue, de mettre les choses en perspective.

Posté : 10 nov. 2018, 08:09
par captain_747
el loco a écrit : Le réveil qui sonne très (trop) tôt le matin. Mais une fois décollé, je suis toujours aussi content de faire ce que je fais et en oublie ce réveil tortionnaire ;)
Quelle heure le réveil? Depuis combien de temps fais-tu ça?

Posté : 10 nov. 2018, 17:45
par el loco
captain_747 a écrit :
Quelle heure le réveil? Depuis combien de temps fais-tu ça?
N’importe quelle heure inclue dans la tranche 1h et 6h du matin... Je n’ai jamais été un lève tôt, et suis plutôt « du soir »

8 ans que je vole, et je ne changerais pour rien au monde