http://docplayer.net/21637466-Sex-diffe ... ption.htmlSierra-Victor a écrit :Cet article soulève des points intéressants, cela dit j'ai peut-être mal lu mais je n'ai rien vu qui démontre de quelque manière que la biologie est responsable de quoi que ce soit. Au contraire l'article se base sur des éléments environnementaux (le niveau de sécurité sociale, la recherche de stabilité financière etc.) pour expliquer le paradoxe observé.Deuxièmement, oui l'environnement joue un rôle mais plutôt minoritaire. La biologie a un rôle beaucoup plus important.
C'est expliqué dans cette article court et fort intéressant.
Ce n'est pas de l'idéologie, il faut accepter que certaines personnes, de par leur éducation/conviction personnelle considèrent que le fait d'être attiré par le rose plutôt que le bleu, les sciences/techniques plutôt que les sciences sociales, le métier de pilote plutôt que celui d'infirmière, découle d'une somme de facteurs complexes (sociétaux, historiques, génétiques peut-être) et que ces facteurs sont bien plus importants que le fait d'avoir un ou deux chromosomes X. Dès lors il est naturel que certains veuillent faire évoluer les choses. Après la façon de le faire est un autre débat.La seule chose que je ne comprends pas est la dernière phrase de l'article. Comment expliquer la volonté de la conclusion autrement que par idéologie ? Quel problème y a-t-il à ce que les choses soient ainsi tant que chaque individu peut faire les choix qui lui plaisent ?
Pas forcément moins libres, mais leurs choix peuvent être influencés par des facteurs qui n'existent pas dans les pays plus traditionnels.Et à moins de dire que les femmes sont moins libres de leurs choix dans les pays égalitaires (ce qui serait paradoxal, dans ce cas retournons tous au Moyen-Age)
Même sur des nouveaux-nés on observe des différences dans les préférences (en moyenne) entre filles et garçons. Ensuite ces différences sont de plus en plus marquées quand l'âge avance, et le facteur environnemental a forcément un rôle aussi. Mais il y a nécessairemment une part biologique importante.
Reconnais qu'il serait particulièrement surprenant que les hormones différentes aient un effet sur le développement physique de l'individu mais absolument aucun sur les préférences moyennes de l'organe principal, le cerveau.