teubreu a écrit : ↑27 juil. 2020, 16:28
Soit on a la compétence en anglais et à la lettre du texte pas besoin de démontrer de compétence en français.
Soit on a pas l'anglais, mais l'allemand par exemple, et dans ce cas il faut avoir le français apposé sur la licence Part-FCL pour le parler à la radio, l'avoir en ULM ne répond pas à l'exigence d'
endorsement du texte.
Je suis d'accord avec ça.
teubreu a écrit : ↑27 juil. 2020, 16:28
Ce que je dis est que ce papier ULM ne sert à rien.
Je ne suis pas d'accord. On peut en effet voler légalement en France, parler français à la radio, sans aucune compétence en Français inscrite sur sa licence si la compétence en anglais est inscrite. Cependant ça n'empêche pas quelqu'un de mettre en question ta compétence en français soit sur une base extralégale, soit par méconnaissance de la loi.
Si un gendarme, un président de club, un dirigeant d'ATO, etc. exige une compétence en Français, soit on passe des heures à lui expliquer qu'il ne comprend pas bien sa langue maternelle car il n'a pas compris le texte, et comme tu vois c'est difficile puisque même sur ce forum de professionnels plusieurs n'ont toujours pas réussi à comprendre ce texte, soit on lui sort ce papier ULM disant qu'on sait parler français à la radio et dans ce cas à mon avis le débat a de bonnes chance de prendre fin.
En plus, je peux comprendre qu'un instructeur sur un terrain langue française seulement ait peur qu'on lui reproche d'avoir laché des gens formés à l'étranger sans compétence en Français sur leur licence, sans pouvoir justifier avoir vérifié leur connaissance du français et la qualité de leur phraséologie(cas du touriste anglais). Dans la mesure ou tu as fait un lâché tu es censé être satisfait du résultat, y compris en communication.
Si le client en question a une licence ULM qui prouve qu'il a démontré sa capacité de parler français à la radio, alors on en met une copie dans le dossier du pilote, et on ne risque à mon avis plus le moindre reproche.
Si da el cántaro en la piedra o la piedra en el cántaro, mal para el cántaro.