histoire croustillante 2/3
Modérateur : Big Brother
J?en veux à tt le monde. En premier à moi-même, à mon instructeur et au contrôleur. Je suis fou de colère !
Mon instructeur : Qqun de parfait comme tous les instructeurs, celui qui vous fait apprendre le plus de chose en en disant le moins. Vous l?avez compris dès le début, je suis un bavard insatiable et fatiguant parfois, si si. J?aimerai faire ce reproche à mon instructeur : Pourquoi n?essaye t-il pas de décrire ou d?expliquer de façon plus pertinente certaines mania ? Au lieu d?avoir ces mots, dans les phases les plus délicates, par exemple lorsque je lui avais dernièrement demandé de me faire un atterro avec un peu de vent de travers : « voilà, là là? comme ça, voilà, tu vois là, lààààà c?est comme ça, à toi maintenant. »
Un jour, j?arrive dans les locaux de l?aéroclub en début d?après midi pour prendre une leçon avec mon instructeur. Un ancien de l?aéroclub qui par son nombre d?heures de vol et par les nombreuses machines qu?il a connu, vous fait ouvrir les yeux comme des soucoupes volantes lorsqu?il vous parle. Après l?avoir salué, il me demanda : « alors ça avance ? » Je lui répondis où j?en étais dans ma progression, que j?avais de bonnes sensations mais que je ne ressentais pas entièrement l?atterrissage avec du vent de travers. Il ne disait mot et garda son regard sur moi. J?étais suspendu à ses lèvres en me demandant si j?avais dit qqch d?inconvenant pour qu?il ne me réponde pas aussi-tôt. « Il faut le tenir?si tes paramètre son bons et que tu es dans le plan ?(long silence), tu dois attendre qu?il se pose.» La patience, ho l?idiot ! Mais oui, moi l?impatient, je corrigeais ce qui n?avait pas encore besoin d?être corrigé. Le conseil du jour était terminé, un travail m?attendait lors de ma prochaine leçon avant de m?adresse de nouveau à lui. Son age m?interdisait de lui demander de me donner une leçon pratique. J?avais l?impression qu?il voyait à travers moi pour avoir touché dans le mille comme il l?a fait. Il avait du en croiser des zozos comme moi. Les bons mots au bon moment? Pour l?anecdote, c?est lors de la leçon qui m?attendait que pour la première fois j?allais atterrir le jojo tout seul, sans que l?instructeur ne toucha aux commandes.
Je me demandais s?il n?y avait pas de compétition entre instructeur, ce sont des paramètres qui peuvent se croiser. Moi, j?aurais attendu 2 ou 3 leçons de plus avant le lâcher, juste pour être plus à l?aise. Sur les atterrissages en vent de travers, je n?étais pas prêt. Lors des atterrissages vent de travers, mon instructeur m?avait systématiquement corrigé en prenant les commandes. Je l?avais bien senti, c?était net. Etre lâché est une étape importante, mais elle ne signifie pas que tout est acquis. Si je parle de ma journée il me faut dire ce que j?avais fait le matin. Un petit local avec deux atterros, un extérieur et un sur le terrain de départ. Sur chacun des deux atterrissages, j?avais bien vu que ma tenu du manche synchro avec les palonniers n?étais pas bonne. C?était évident. Bon, c?est bien mais comment corriger ça. Dès mon avion arrêter j?en parle à mon instructeur. « Je ne me sens pas bon en vent de travers, j?aimerais faire d?autres atterrissages avant de continuer.» Chose dite, chose faite. Quelques minutes plus tard nous faisions deux tours de pistes pour réviser quelques points qui avaient du m?échapper. Traduction : Pour régler définitivement cette lacune, mon instructeur m?accompagna pour deux tdp. On pouvait enfin partir déjeuner avec le sentiment du travail accompli, le problème était résolu, au-revoir. C?était réglé pour l?instructeur certainement mais pas pour moi. Je me sentais aussi light qu?avant. Après quatorze heure, pour poursuivre ma progression, il était programmé que je fasse un local dans une direction choisi, puis quelques tdp. A ce moment précis, j?aurais du faire ce que font souvent les élèves en pleines progressions, c?est de voir son instructeur et de lui dire fermement que ça ne va pas , que je ne me sens pas en confiance, qu?il faut arrêter là et reprendre un travail plus en profondeur pour mieux maîtriser les atterros en vent de travers. Oui, oui?
Ha, il y a qqch qui trompe l?ennemi. Dans mon comportement j?ai pu sembler être sûr en ayant un bon contrôle de certaines phases de vol, par exemple la radio ou le vol ou les atterros sans vent de travers. Je reconnais que j?ai des sensations plutôt éloignées de zéros sur ces domaines mais ça ne signifie pas que je maîtrise tout le reste. Mon côté sympa détendu n?est qu?une façade. Piloter un avion ou réaliser des choses compliquées voire difficiles ne m?effraie pas. Avant de poursuivre une progression comme celle-ci et de voler seul, certains paramètres doivent être compris. Je ne suis pas instructeur, ça n?est pas à moi à discuter comment doit se dérouler l?instruction. Si j?étais un découvreur de machine moderne, je serai le premier à me proposer pour faire voler ce type d?aéroplane, avec les risques que ça implique.
Je pense en aparté, qu?aujourd?hui avec l?ensemble des contraintes qui nous sont imposées par la réglementation : le vol, la mania et le pilotage sont passés au second plan. Ce qui me plait, c?est voler, piloter, décoller, atterrir? Comme exemple : échanger des mots avec la tour, ça m?emmerde. Mais tout ça est obligatoire et pour la réglementation, c?est la même chose c?est obligatoire et nécessaire. C ?est nécessaire pour que tout le monde, privé et professionnel puissent voler dans des conditions de sécurité optimales. Ce que je veux dire est simple : Avant d?aller croiser d?autres aéronefs dans ce magnifique espace qui nous entoure, je veux tout d?abord savoir maîtriser ma machine, et pas l?inverse savoir voler avec d?autres aéronefs autour de moi sans être capable de maîtriser mon monoplan.
<!-- BBCode Quote Start --><center><table BORDER=0 CELLSPACING=1 CELLPADDING=0 COLS=1 WIDTH=95% BGCOLOR=#000000>
<tr align=left><td BGCOLOR=#FFE795><b><font face=Arial,Helvetica><font color=#FF6600><font size=-1> Citation: </font></font></font></b></td></tr><tr align=left><td BGCOLOR=#FAF9ED>
<blockquote><font face=Arial,Helvetica><font color=#666666><font size=-1>
Le 2003-07-15 14:08, netsu a écrit:
J?en veux à tt le monde. En premier à moi-même, à mon instructeur et au contrôleur. Je suis fou de colère !
Mon instructeur : Qqun de parfait comme tous les instructeurs, celui qui vous fait apprendre le plus de chose en en disant le moins. Vous l?avez compris dès le début, je suis un bavard insatiable et fatiguant parfois, si si. J?aimerai faire ce reproche à mon instructeur : Pourquoi n?essaye t-il pas de décrire ou d?expliquer de façon plus pertinente certaines mania ? Au lieu d?avoir ces mots, dans les phases les plus délicates, par exemple lorsque je lui avais dernièrement demandé de me faire un atterro avec un peu de vent de travers : « voilà, là là? comme ça, voilà, tu vois là, lààààà c?est comme ça, à toi maintenant. »
Un jour, j?arrive dans les locaux de l?aéroclub en début d?après midi pour prendre une leçon avec mon instructeur. Un ancien de l?aéroclub qui par son nombre d?heures de vol et par les nombreuses machines qu?il a connu, vous fait ouvrir les yeux comme des soucoupes volantes lorsqu?il vous parle. Après l?avoir salué, il me demanda : « alors ça avance ? » Je lui répondis où j?en étais dans ma progression, que j?avais de bonnes sensations mais que je ne ressentais pas entièrement l?atterrissage avec du vent de travers. Il ne disait mot et garda son regard sur moi. J?étais suspendu à ses lèvres en me demandant si j?avais dit qqch d?inconvenant pour qu?il ne me réponde pas aussi-tôt. « Il faut le tenir?si tes paramètre son bons et que tu es dans le plan ?(long silence), tu dois attendre qu?il se pose.» La patience, ho l?idiot ! Mais oui, moi l?impatient, je corrigeais ce qui n?avait pas encore besoin d?être corrigé. Le conseil du jour était terminé, un travail m?attendait lors de ma prochaine leçon avant de m?adresse de nouveau à lui. Son age m?interdisait de lui demander de me donner une leçon pratique. J?avais l?impression qu?il voyait à travers moi pour avoir touché dans le mille comme il l?a fait. Il avait du en croiser des zozos comme moi. Les bons mots au bon moment? Pour l?anecdote, c?est lors de la leçon qui m?attendait que pour la première fois j?allais atterrir le jojo tout seul, sans que l?instructeur ne toucha aux commandes.
Je me demandais s?il n?y avait pas de compétition entre instructeur, ce sont des paramètres qui peuvent se croiser. Moi, j?aurais attendu 2 ou 3 leçons de plus avant le lâcher, juste pour être plus à l?aise. Sur les atterrissages en vent de travers, je n?étais pas prêt. Lors des atterrissages vent de travers, mon instructeur m?avait systématiquement corrigé en prenant les commandes. Je l?avais bien senti, c?était net. Etre lâché est une étape importante, mais elle ne signifie pas que tout est acquis. Si je parle de ma journée il me faut dire ce que j?avais fait le matin. Un petit local avec deux atterros, un extérieur et un sur le terrain de départ. Sur chacun des deux atterrissages, j?avais bien vu que ma tenu du manche synchro avec les palonniers n?étais pas bonne. C?était évident. Bon, c?est bien mais comment corriger ça. Dès mon avion arrêter j?en parle à mon instructeur. « Je ne me sens pas bon en vent de travers, j?aimerais faire d?autres atterrissages avant de continuer.» Chose dite, chose faite. Quelques minutes plus tard nous faisions deux tours de pistes pour réviser quelques points qui avaient du m?échapper. Traduction : Pour régler définitivement cette lacune, mon instructeur m?accompagna pour deux tdp. On pouvait enfin partir déjeuner avec le sentiment du travail accompli, le problème était résolu, au-revoir. C?était réglé pour l?instructeur certainement mais pas pour moi. Je me sentais aussi light qu?avant. Après quatorze heure, pour poursuivre ma progression, il était programmé que je fasse un local dans une direction choisi, puis quelques tdp. A ce moment précis, j?aurais du faire ce que font souvent les élèves en pleines progressions, c?est de voir son instructeur et de lui dire fermement que ça ne va pas , que je ne me sens pas en confiance, qu?il faut arrêter là et reprendre un travail plus en profondeur pour mieux maîtriser les atterros en vent de travers. Oui, oui?
Ha, il y a qqch qui trompe l?ennemi. Dans mon comportement j?ai pu sembler être sûr en ayant un bon contrôle de certaines phases de vol, par exemple la radio ou le vol ou les atterros sans vent de travers. Je reconnais que j?ai des sensations plutôt éloignées de zéros sur ces domaines mais ça ne signifie pas que je maîtrise tout le reste. Mon côté sympa détendu n?est qu?une façade. Piloter un avion ou réaliser des choses compliquées voire difficiles ne m?effraie pas. Avant de poursuivre une progression comme celle-ci et de voler seul, certains paramètres doivent être compris. Je ne suis pas instructeur, ça n?est pas à moi à discuter comment doit se dérouler l?instruction. Si j?étais un découvreur de machine moderne, je serai le premier à me proposer pour faire voler ce type d?aéroplane, avec les risques que ça implique.
Je pense en aparté, qu?aujourd?hui avec l?ensemble des contraintes qui nous sont imposées par la réglementation : le vol, la mania et le pilotage sont passés au second plan. Ce qui me plait, c?est voler, piloter, décoller, atterrir? Comme exemple : échanger des mots avec la tour, ça m?emmerde. Mais tout ça est obligatoire et pour la réglementation, c?est la même chose c?est obligatoire et nécessaire. C ?est nécessaire pour que tout le monde, privé et professionnel puissent voler dans des conditions de sécurité optimales. Ce que je veux dire est simple : Avant d?aller croiser d?autres aéronefs dans ce magnifique espace qui nous entoure, je veux tout d?abord savoir maîtriser ma machine, et pas l?inverse savoir voler avec d?autres aéronefs autour de moi sans être capable de maîtriser mon monoplan.
</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->bravo
<tr align=left><td BGCOLOR=#FFE795><b><font face=Arial,Helvetica><font color=#FF6600><font size=-1> Citation: </font></font></font></b></td></tr><tr align=left><td BGCOLOR=#FAF9ED>
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Le 2003-07-15 14:08, netsu a écrit:
J?en veux à tt le monde. En premier à moi-même, à mon instructeur et au contrôleur. Je suis fou de colère !
Mon instructeur : Qqun de parfait comme tous les instructeurs, celui qui vous fait apprendre le plus de chose en en disant le moins. Vous l?avez compris dès le début, je suis un bavard insatiable et fatiguant parfois, si si. J?aimerai faire ce reproche à mon instructeur : Pourquoi n?essaye t-il pas de décrire ou d?expliquer de façon plus pertinente certaines mania ? Au lieu d?avoir ces mots, dans les phases les plus délicates, par exemple lorsque je lui avais dernièrement demandé de me faire un atterro avec un peu de vent de travers : « voilà, là là? comme ça, voilà, tu vois là, lààààà c?est comme ça, à toi maintenant. »
Un jour, j?arrive dans les locaux de l?aéroclub en début d?après midi pour prendre une leçon avec mon instructeur. Un ancien de l?aéroclub qui par son nombre d?heures de vol et par les nombreuses machines qu?il a connu, vous fait ouvrir les yeux comme des soucoupes volantes lorsqu?il vous parle. Après l?avoir salué, il me demanda : « alors ça avance ? » Je lui répondis où j?en étais dans ma progression, que j?avais de bonnes sensations mais que je ne ressentais pas entièrement l?atterrissage avec du vent de travers. Il ne disait mot et garda son regard sur moi. J?étais suspendu à ses lèvres en me demandant si j?avais dit qqch d?inconvenant pour qu?il ne me réponde pas aussi-tôt. « Il faut le tenir?si tes paramètre son bons et que tu es dans le plan ?(long silence), tu dois attendre qu?il se pose.» La patience, ho l?idiot ! Mais oui, moi l?impatient, je corrigeais ce qui n?avait pas encore besoin d?être corrigé. Le conseil du jour était terminé, un travail m?attendait lors de ma prochaine leçon avant de m?adresse de nouveau à lui. Son age m?interdisait de lui demander de me donner une leçon pratique. J?avais l?impression qu?il voyait à travers moi pour avoir touché dans le mille comme il l?a fait. Il avait du en croiser des zozos comme moi. Les bons mots au bon moment? Pour l?anecdote, c?est lors de la leçon qui m?attendait que pour la première fois j?allais atterrir le jojo tout seul, sans que l?instructeur ne toucha aux commandes.
Je me demandais s?il n?y avait pas de compétition entre instructeur, ce sont des paramètres qui peuvent se croiser. Moi, j?aurais attendu 2 ou 3 leçons de plus avant le lâcher, juste pour être plus à l?aise. Sur les atterrissages en vent de travers, je n?étais pas prêt. Lors des atterrissages vent de travers, mon instructeur m?avait systématiquement corrigé en prenant les commandes. Je l?avais bien senti, c?était net. Etre lâché est une étape importante, mais elle ne signifie pas que tout est acquis. Si je parle de ma journée il me faut dire ce que j?avais fait le matin. Un petit local avec deux atterros, un extérieur et un sur le terrain de départ. Sur chacun des deux atterrissages, j?avais bien vu que ma tenu du manche synchro avec les palonniers n?étais pas bonne. C?était évident. Bon, c?est bien mais comment corriger ça. Dès mon avion arrêter j?en parle à mon instructeur. « Je ne me sens pas bon en vent de travers, j?aimerais faire d?autres atterrissages avant de continuer.» Chose dite, chose faite. Quelques minutes plus tard nous faisions deux tours de pistes pour réviser quelques points qui avaient du m?échapper. Traduction : Pour régler définitivement cette lacune, mon instructeur m?accompagna pour deux tdp. On pouvait enfin partir déjeuner avec le sentiment du travail accompli, le problème était résolu, au-revoir. C?était réglé pour l?instructeur certainement mais pas pour moi. Je me sentais aussi light qu?avant. Après quatorze heure, pour poursuivre ma progression, il était programmé que je fasse un local dans une direction choisi, puis quelques tdp. A ce moment précis, j?aurais du faire ce que font souvent les élèves en pleines progressions, c?est de voir son instructeur et de lui dire fermement que ça ne va pas , que je ne me sens pas en confiance, qu?il faut arrêter là et reprendre un travail plus en profondeur pour mieux maîtriser les atterros en vent de travers. Oui, oui?
Ha, il y a qqch qui trompe l?ennemi. Dans mon comportement j?ai pu sembler être sûr en ayant un bon contrôle de certaines phases de vol, par exemple la radio ou le vol ou les atterros sans vent de travers. Je reconnais que j?ai des sensations plutôt éloignées de zéros sur ces domaines mais ça ne signifie pas que je maîtrise tout le reste. Mon côté sympa détendu n?est qu?une façade. Piloter un avion ou réaliser des choses compliquées voire difficiles ne m?effraie pas. Avant de poursuivre une progression comme celle-ci et de voler seul, certains paramètres doivent être compris. Je ne suis pas instructeur, ça n?est pas à moi à discuter comment doit se dérouler l?instruction. Si j?étais un découvreur de machine moderne, je serai le premier à me proposer pour faire voler ce type d?aéroplane, avec les risques que ça implique.
Je pense en aparté, qu?aujourd?hui avec l?ensemble des contraintes qui nous sont imposées par la réglementation : le vol, la mania et le pilotage sont passés au second plan. Ce qui me plait, c?est voler, piloter, décoller, atterrir? Comme exemple : échanger des mots avec la tour, ça m?emmerde. Mais tout ça est obligatoire et pour la réglementation, c?est la même chose c?est obligatoire et nécessaire. C ?est nécessaire pour que tout le monde, privé et professionnel puissent voler dans des conditions de sécurité optimales. Ce que je veux dire est simple : Avant d?aller croiser d?autres aéronefs dans ce magnifique espace qui nous entoure, je veux tout d?abord savoir maîtriser ma machine, et pas l?inverse savoir voler avec d?autres aéronefs autour de moi sans être capable de maîtriser mon monoplan.
</blockquote></td></font></font></font></tr></table></center><font face=Arial,Helvetica><font size=-1><!-- BBCode Quote End -->bravo