Lettre très claire et bien documentée.nicolasCAL a écrit :http://uspnt.com/wp-content/uploads/201 ... onnage.pdf
wingly
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La DGAC dit que tout va bien, pas de problème...
Ah bon?!
http://www.aerobuzz.fr/aviation-general ... medium=rss
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Je n'ai rien à voir avec le Fiverings de paroledegaulois.com ou Rcocobis.
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L’administration espère susciter une prise de conscience qui lui permette de gagner quelques semaines, le temps d’étudier la question avec notamment la FFA. Pour sa part, la FFA prépare un amendement « coavionnage » que les aéro-clubs seront invités à ajouter à leurs statuts dès la fin de l’année. Entre la presse et les réseaux sociaux, le coavionnage bénéficie d’une publicité gratuite qui a pris l’aviation légère de court…
Voilà, du coup ce sera probablement un "oui sous conditions" dont je parlais l'autre jour.
Il se rapprochera peut-être plus du "interdit" que du "autorisé sans conditions", notamment s'ils se mettent à demander un minimum d'heures de vol important ou quoi.
Voilà, du coup ce sera probablement un "oui sous conditions" dont je parlais l'autre jour.
Il se rapprochera peut-être plus du "interdit" que du "autorisé sans conditions", notamment s'ils se mettent à demander un minimum d'heures de vol important ou quoi.
il me parait difficile de changer la loi surtout que tout se passe à Bruxelles et qu' il faut que les 27 pays membres se mettent d' accord....cela est faisable évidemment mais cela prendra du temps.
le seul recours à court terme est le contrôle par la GA des pilotes qui de façon évidente ne partagent pas les frais de manière équitable
ou que les aéroclubs changent leurs statuts pour interdire le coavionnage au sein de leur club ( chose la plus simple à réaliser selon moi...)
Mais après, il faut être cohérent car tous les arguments cités dans le doc s' appliquent évidemment aux baptêmes de l' air qui s' effectuent en aéroclub...(vols contre rémunération, en dehors du cercle amical, mis en avant sur leurs sites internet, effectués par des ppls avec 200hdv,peu de facteurs humains...et tout le reste...
Bizarrement, là , ça ne pose de problème à personne alors que les dangers identifiés sont exactement les memes!!!
Cela concurrence les professionnels du secteur et évidemment ceux qui ont un CTA (je crois qu' il y a une boite à Cannes qui à un cta d' un point A vers A)
Il suffit de comptabiliser les baptêmes au sein de tous les aéroclubs et donc le nombre total de personnes transportées pour se rendre compte de l' ampleur.
Alors soit on interdit le coavionnage et en même temps les baptêmes de l' air en club car on estime que les conditions de sécurité ne sont pas réunies ( ce qui permettrait sûrement à des boites de se créer et des CPLs de trouver du travail) , soit on respecte le partage des frais et on reste dans le cadre des prérogatives du PPL.
le seul recours à court terme est le contrôle par la GA des pilotes qui de façon évidente ne partagent pas les frais de manière équitable
ou que les aéroclubs changent leurs statuts pour interdire le coavionnage au sein de leur club ( chose la plus simple à réaliser selon moi...)
Mais après, il faut être cohérent car tous les arguments cités dans le doc s' appliquent évidemment aux baptêmes de l' air qui s' effectuent en aéroclub...(vols contre rémunération, en dehors du cercle amical, mis en avant sur leurs sites internet, effectués par des ppls avec 200hdv,peu de facteurs humains...et tout le reste...
Bizarrement, là , ça ne pose de problème à personne alors que les dangers identifiés sont exactement les memes!!!
Cela concurrence les professionnels du secteur et évidemment ceux qui ont un CTA (je crois qu' il y a une boite à Cannes qui à un cta d' un point A vers A)
Il suffit de comptabiliser les baptêmes au sein de tous les aéroclubs et donc le nombre total de personnes transportées pour se rendre compte de l' ampleur.
Alors soit on interdit le coavionnage et en même temps les baptêmes de l' air en club car on estime que les conditions de sécurité ne sont pas réunies ( ce qui permettrait sûrement à des boites de se créer et des CPLs de trouver du travail) , soit on respecte le partage des frais et on reste dans le cadre des prérogatives du PPL.
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Les baptêmes sont parfaitement décrit dans la réglementation, les réglementations devrais-je dire : aéronautique et fiscale. Les différentes offres de co-avionnage n'ont rien à voir avec la réglementation baptème.
J'ajouterais que le point déterminant n'est pas la répartition (équitable ou non, incluant le pilote ou non) des frais de vols. le point déterminant, c'est comment l'offre de vol a atteint sa "cible", à quelle "distance" s'est on rapproché du transport public de passagers ?
Ceci dit, le co-avionnage, à part pour les vols de découverte (qui vont finalement concurrencer les vols de baptèmes), je ne vois pas trop : durée d’immobilisation de l'avion, incertitude sur la réalisation du vol, durée du voyage pas si intéressante que ça, confort... comme ont dit : moyen de transport rapide pour gens pas pressés
Claude
J'ajouterais que le point déterminant n'est pas la répartition (équitable ou non, incluant le pilote ou non) des frais de vols. le point déterminant, c'est comment l'offre de vol a atteint sa "cible", à quelle "distance" s'est on rapproché du transport public de passagers ?
Ceci dit, le co-avionnage, à part pour les vols de découverte (qui vont finalement concurrencer les vols de baptèmes), je ne vois pas trop : durée d’immobilisation de l'avion, incertitude sur la réalisation du vol, durée du voyage pas si intéressante que ça, confort... comme ont dit : moyen de transport rapide pour gens pas pressés
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Alors là! Je crois qu'on pouvait pas mieux résumer! C'est exactement ça! Comme tu dis, COHERENCE! Et je sais la difficulté d'avoir un CTA même de A vers A... alors quand je vois les aéroclubs qui font la même chose sans rien! comment te dire...globi a écrit :Mais après, il faut être cohérent car tous les arguments cités dans le doc s' appliquent évidemment aux baptêmes de l' air qui s' effectuent en aéroclub...(vols contre rémunération, en dehors du cercle amical, mis en avant sur leurs sites internet, effectués par des ppls avec 200hdv,peu de facteurs humains...et tout le reste...
Bizarrement, là , ça ne pose de problème à personne alors que les dangers identifiés sont exactement les memes!!!
Cela concurrence les professionnels du secteur et évidemment ceux qui ont un CTA (je crois qu' il y a une boite à Cannes qui à un cta d' un point A vers A)
Il suffit de comptabiliser les baptêmes au sein de tous les aéroclubs et donc le nombre total de personnes transportées pour se rendre compte de l' ampleur.
Alors soit on interdit le coavionnage et en même temps les baptêmes de l' air en club car on estime que les conditions de sécurité ne sont pas réunies ( ce qui permettrait sûrement à des boites de se créer et des CPLs de trouver du travail) , soit on respecte le partage des frais et on reste dans le cadre des prérogatives du PPL.
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Plutôt par une application ou une plateforme internet qui met en relation pilotes et voyageurs.Raoul Volfoni a écrit :la règlementation pour les baptêmes concerne des vols proposés et organisés par le club
les vols de co-avionnage sont proposés directement par les pilotes
Je n'ai rien à voir avec le Fiverings de paroledegaulois.com ou Rcocobis.
J'adore voir le logoe CE air France sur une des brochures et idem pour celui de la BPI.
Je trouve d'ailleurs l'attitude limite de la BPI... qui démontre quelque peu l'incopétence de certains décideurs. La BPI ne devrait financer que si elle a confirmation de la légalité de la chose, soit en se basant sur ses juristes, soit en allant voir les divers ministéres... là je trouve ceci limite.
Je trouve d'ailleurs l'attitude limite de la BPI... qui démontre quelque peu l'incopétence de certains décideurs. La BPI ne devrait financer que si elle a confirmation de la légalité de la chose, soit en se basant sur ses juristes, soit en allant voir les divers ministéres... là je trouve ceci limite.
comme je l' ai déjà évoqué, le fait de dire qu' une offre sur un site internet de coavionnage est de la pub...franchement, peut-être mais si c est le cas, il faudrait que toutes les associations ( aeroclubs et autres ) ferment leurs sites..ce qui n' arrivera évidemment jamais!!Cls a écrit :Les baptêmes sont parfaitement décrit dans la réglementation, les réglementations devrais-je dire : aéronautique et fiscale. Les différentes offres de co-avionnage n'ont rien à voir avec la réglementation baptème.
J'ajouterais que le point déterminant n'est pas la répartition (équitable ou non, incluant le pilote ou non) des frais de vols. le point déterminant, c'est comment l'offre de vol a atteint sa "cible", à quelle "distance" s'est on rapproché du transport public de passagers ?
Ceci dit, le co-avionnage, à part pour les vols de découverte (qui vont finalement concurrencer les vols de baptèmes), je ne vois pas trop : durée d’immobilisation de l'avion, incertitude sur la réalisation du vol, durée du voyage pas si intéressante que ça, confort... comme ont dit : moyen de transport rapide pour gens pas pressés
Claude
un pilote qui paie Google ou autre pour que son annonce figure sur une page lambda, oui, c est de la pub!!
mais la démarche active de l internaute de taper coavionnage sur Google et de tomber sur les sites en question et de rentrer en contact avec des pilotes, je ne vois pas comment cela peut etre considerer comme de la pub!!!
apres, je vous rassure, je ne suis pas concerné , c est juste que le sujet m' intéresse:)
Tu confonds le recrutement de membres de l'aéroclub avec une proposition de prestation. C'est très différent !globi a écrit :
comme je l' ai déjà évoqué, le fait de dire qu' une offre sur un site internet de coavionnage est de la pub...franchement, peut-être mais si c est le cas, il faudrait que toutes les associations ( aeroclubs et autres ) ferment leurs sites..ce qui n' arrivera évidemment jamais!!
un pilote qui paie Google ou autre pour que son annonce figure sur une page lambda, oui, c est de la pub!!
mais la démarche active de l internaute de taper coavionnage sur Google et de tomber sur les sites en question et de rentrer en contact avec des pilotes, je ne vois pas comment cela peut etre considerer comme de la pub!!!
apres, je vous rassure, je ne suis pas concerné , c est juste que le sujet m' intéresse:)
Un aéroclub, c'est une association, comme un club de foot. Elle met ses moyens à la disposition de ses membres. Faire de la publicité pour recruter des membres, je ne vois pas du tout le problème.
Faire de la publicité pour proposer des prestations, là oui il y a problème.
Claude
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Bien c'est assez simple : le démarchage (par la pub) pour transporter du public d'un point A à un point B : c'est tout simplement ce qui qualifie le transport public, par opposition à l'activité du vol privé.globi a écrit : mais la démarche active de l internaute de taper coavionnage sur Google et de tomber sur les sites en question et de rentrer en contact avec des pilotes, je ne vois pas comment cela peut etre considerer comme de la pub!!!
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Oui, ça s'appelle un baptême avec tout ce que ça implique (durée du vol, profil du pilote, limite sur le total des heures en baptêmes ...).Jekar a écrit :Donc faire de la pub pour trouver des gens pour faire un vol d'un point A à un point A ne pose pas de soucis
Exemple : lors d'une fête de l'air sur un terrain, des affiches sont posées et proposent des baptêmes au public. C'est de la pub/démarchage, vers le public ... MAIS avec une qualification du vol qui est légalement définie comme du baptême, ce qui est une exception (pour combien de temps encore ?) française aux vols de TP.
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