wingly
Modérateur : Big Brother
[quote="whynotfr"]Ok partons de plusieurs principes:
1- La DGAC dit OK
2- Les assurances prennent en compte le co-avionnage
à part ces deux barrières évidentes quels sont les autres raison pour lesquels vous êtes contre le co-avionnage?[/quot
Le problème comme nous vous le répétons , c'est qu'il soit encadré. Attendons la DGAC ....
Pourquoi le coavionnage a été interdit par la FAA ? A méditer.
1 LA DGAC n'a pas dit ok
2 les assurances ont déja leurs idées sur le sujet ,et mieux vaut ne pas avoir un soucis en vol....en ce moment.
1- La DGAC dit OK
2- Les assurances prennent en compte le co-avionnage
à part ces deux barrières évidentes quels sont les autres raison pour lesquels vous êtes contre le co-avionnage?[/quot
Le problème comme nous vous le répétons , c'est qu'il soit encadré. Attendons la DGAC ....
Pourquoi le coavionnage a été interdit par la FAA ? A méditer.
1 LA DGAC n'a pas dit ok
2 les assurances ont déja leurs idées sur le sujet ,et mieux vaut ne pas avoir un soucis en vol....en ce moment.
copi , travaille dans le plus beau bureau du monde
Sinon anti co-avionnage par le manque d'expérience de la plus part des PPL et par la pression supplémentaire d'emmener des gens qu'ils ne connaissent pas.
J'ai déjà vu un PPL breveté souhaitant percer la couche (il y avait un trou minuscule dans les nuages) alors que l'on était 1500ft vertical terrain avec les nuages (OVC) en dessous ... Il avait juste la pression d'un RDV professionnel, donc focalisation sur la destination ..
Je pense que ce n'est pas pour rien que l'on demande une expérience récente significative même dans le cas d'un baptême fait en aéroclub par des pilotes non FI.
J'ai déjà vu un PPL breveté souhaitant percer la couche (il y avait un trou minuscule dans les nuages) alors que l'on était 1500ft vertical terrain avec les nuages (OVC) en dessous ... Il avait juste la pression d'un RDV professionnel, donc focalisation sur la destination ..
Je pense que ce n'est pas pour rien que l'on demande une expérience récente significative même dans le cas d'un baptême fait en aéroclub par des pilotes non FI.
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Pourquoi une hausse de la prime ?Ispahan a écrit :Un des premiers dommages colatéraux qui va TOUS nous impacter avec le développement de cette pratique est la hausse des primes d'assurances club, c'est évident, quand bien même le club interdit la pratique dans ses statuts...
Et ça donnera mathématiquement une hausse du prix de l'heure...je suis malheureusement prêt à mettre un bon billet sur cette conséquence
Pourquoi liée au coavionnage ?
Ce sont les mêmes pilotes qui volent dans les clubs et qui s'inscrivent sur wingly. Un pilote de wingly aurait volé de toutes façons dans son club.
Et même mieux : il aurait probablement moins volé, par manque de finance. Donc wingly lui permet d'avoir en permanence plus d'expérience récente et plus d'expérience totale ce qui augmente la sécurité.
Malheureusement je souffre d'une maladie nommée l'honnêteté intellectuelle qui m'oblige à donner l'argument opposé :
Un pilote en coavionnage peut se voir influencé pour décoller, ce qui diminue la sécurité.
Au global je ne sais pas lequel gagne
Enfin, si la pratique est interdite, les sites seront fermés et elle cessera : pas d'augmentation d'assurance possible pour ce motif.
Si la pratique est explicitement autorisée, la hausse du cout de l'assurance viendra en premier lieu (et je dirais même en majorité) du fait que les avions voleront plus.
Précisément, la DGAC va se prononcer sur ce sujet bientôt, il n'y a AUCUNE raison de s'estimer capable de prédire leur décision !whynotfr a écrit :Ok partons de plusieurs principes:
1- La DGAC dit OK
2- Les assurances prennent en compte le co-avionnage
à part ces deux barrières évidentes quels sont les autres raison pour lesquels vous êtes contre le co-avionnage?
Ce sera soit non, soit oui sous conditions, soit oui.
Quant à prédire si ce sera plutôt non ou plutôt oui, ou quelles seront les conditions (expérience totale, expérience récente, formation club, limitations d'heures, assurance spécifique, on peut tout imaginer), c'est strictement impossible !
Sinon je vous conseille de jouer en bourse
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Ca ressemble à du TP déguisé.whynotfr a écrit :Ca ressemble pas du tout à du co-avionnage dans ce cas là....pilotepplvfr a écrit :Encore un mais avec des pro cette fois :
http://www.aerobuzz.fr/aviation-general ... ncais-de-l
PPL/IR/FI EASA - CPL/IR FAA
J imagine que l idée c'est de dire que ça va diminuer le transport via des compagnies donc diminution du nombre d emplois pour nous CPL.f6exb a écrit :Je ne comprends pas le rapport entre le co-avionnage et ça :D’autre part, ces pratiques se font au détriment des pilotes professionnels français, dont un grand nombre est à la recherche d’emploi.
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C'est ce qui va très vite limiter le modèle...en plus quand les businessmen commenceront à se demander qui peut être assez désespéré pour travailler sans rémunération, ils se demanderont à qui ils confient leur vie.Jacques Lévêque a écrit :Mauvaise météo, ce matin je n' ai pas pu me co-avionner moi même....
Je n'ai rien à voir avec le Fiverings de paroledegaulois.com ou Rcocobis.
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Il y a deux précédents qui me laissent perplexes.5 Rings a écrit :C'est ce qui va très vite limiter le modèle...en plus quand les businessmen commenceront à se demander qui peut être assez désespéré pour travailler sans rémunération, ils se demanderont à qui ils confient leur vie.Jacques Lévêque a écrit :Mauvaise météo, ce matin je n' ai pas pu me co-avionner moi même....
Mme Barrière et M Halley ont deux points communs au moins: ils étaient milliardaires et ont eu un accident qui a fini par être mortel à l'une, et a été immédiatement mortel à l'autre, après avoir volé dans un avion exploité plus ou moins légalement (en fait avec l'apparence de la légalité) hors CTA.
Dans les deux cas l'entrainement des pilotes était très insuffisant au regard des normes du TPP, de même que les procédures compagnies.
Pourquoi ces milliardaires ont voulu économiser trois sous au détriment de leur sécurité?
Je pense pense pas qu'ils auraient décidé de voler dans ces conditions s'ils avaient su que leur niveau de sécurité était très inférieur au niveau garanti par un CTA. Je pense qu'ils ont zappé le problème, qu'ils ont demandé à leur secrétaire de trouver une solution pour voyager, et que le secrétaire a cherché le moins cher sans faire d'analyse de risque
Objectivement, pas mal de programmes de copropriété sont loin d'avoir le niveau de sécurité du TPP, et pourtant on trouve des gens qui n'ont pas de problème de budget et qui les utilisent. Ca reste pour moi un mystère.
Ca n'a rien à voir. Ces personnes sont plutôt inconscientes du risque qu'elles prennent.
La moins-disance en aviation d'affaires est chose commune, en particulier en France. Tant que ce n'est pas cher c'est bien. Tout le reste ça n'intéresse personne, et certainement pas les clients/propriétaires de ces avions.
La moins-disance en aviation d'affaires est chose commune, en particulier en France. Tant que ce n'est pas cher c'est bien. Tout le reste ça n'intéresse personne, et certainement pas les clients/propriétaires de ces avions.
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Ou alors qu'elles s'en fichent... En tout cas le prix passe d'abord : "c'est une super affaire c'est moins cher ! Plus dangereux ? Je m'en fous"Dan a écrit :Ca n'a rien à voir. Ces personnes sont plutôt inconscientes du risque qu'elles prennent.
La moins-disance en aviation d'affaires est chose commune, en particulier en France. Tant que ce n'est pas cher c'est bien. Tout le reste ça n'intéresse personne, et certainement pas les clients/propriétaires de ces avions.
On va pas aller bien loin avec ma parole contre la tienne.
Certaines personnes ne sont pas averses au risque :
Regarde les pilotes de planeur qui vont en campagne, les pilotes d'avion de monomoteurs qui font de l'imc (ifr), ceux qui font des traversées maritimes avec le minimum d'équipements obligatoires, ceux qui font du vfr de nuit.... Tous savent qu'ils prennent un risque autrement plus grand qu'en avion vfr de jour. Mais ils le prennent en toute connaissance de cause.
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C'est autre chose, celui qui pilote lui-même est persuadé qu'il ne prend pas de risques, parce qu'il est bon, ce n'est pas du tout pareil que de confier sa vie à n'importe qui, comme l'avaient fait Barrière et Halley, qui ne savaient rien du pilote du jour et n'avaient pris aucun renseignement.Dubble a écrit : Certaines personnes ne sont pas averses au risque :
Regarde les pilotes de planeur qui vont en campagne, les pilotes d'avion de monomoteurs qui font de l'imc (ifr), ceux qui font des traversées maritimes avec le minimum d'équipements obligatoires, ceux qui font du vfr de nuit.... Tous savent qu'ils prennent un risque autrement plus grand qu'en avion vfr de jour. Mais ils le prennent en toute connaissance de cause.
Le planeur en campagne, ce n'est pas risqué comme le vol de nuit ou la traversée maritime, si tu fais comme on t'a appris, toujours en local d'un champ vachable, tu prends moins de risque qu'en avion de jour par beau temps.
Je suis toujours heureux de voir que des pilotes très expérimentés, sur leur propre planeur à dispositif d'envol incorporé, montent consciencieusement en local du terrain jusqu'à 300 metres avant de partir en circuit.
L'IFR IMC en conditions givrantes ou non?
Le pilote de planeur qui part sur la campagne...par quelle météo? Dans quelle topographie/région? Avec quelle expérience?
Le survol maritime...quelle mer? Quelle saison? Quelle météo? Etc
La notion de risque a pour pendant la notion de mitigation, de conscience de la situation globale et des solutions alternatives à disposition...le point de vue "preneur de risque" ou "réfractaire au risque" est un peu binaire et sérieusement simpliste...non?
Le pilote de planeur qui part sur la campagne...par quelle météo? Dans quelle topographie/région? Avec quelle expérience?
Le survol maritime...quelle mer? Quelle saison? Quelle météo? Etc
La notion de risque a pour pendant la notion de mitigation, de conscience de la situation globale et des solutions alternatives à disposition...le point de vue "preneur de risque" ou "réfractaire au risque" est un peu binaire et sérieusement simpliste...non?
Je n'ai rien à voir avec le Fiverings de paroledegaulois.com ou Rcocobis.
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Et alors ?5 Rings a écrit :L'IFR IMC en conditions givrantes ou non?
Le pilote de planeur qui part sur la campagne...par quelle météo? Dans quelle topographie/région? Avec quelle expérience?
Le survol maritime...quelle mer? Quelle saison? Quelle météo? Etc
La notion de risque a pour pendant la notion de mitigation, de conscience de la situation globale et des solutions alternatives à disposition...le point de vue "preneur de risque" ou "réfractaire au risque" est un peu binaire et sérieusement simpliste...non?
Devant la même évaluation du risque, certains décideront de partir et d'autres non.
Certains partent faire un survol maritime en hiver alors qu'ils savent pertinemment que c'est la mort assurée en cas de panne moteur.
Certains ne partent pas s'il y a 7 noeuds de travers.
Quand même, je dis simplement que les gens sont tous différents, ce n'est pas si difficile à accepter, si ?
Pardon c'est vrai TU as raison.Dubble a écrit :Ou alors qu'elles s'en fichent... En tout cas le prix passe d'abord : "c'est une super affaire c'est moins cher ! Plus dangereux ? Je m'en fous"Dan a écrit :Ca n'a rien à voir. Ces personnes sont plutôt inconscientes du risque qu'elles prennent.
La moins-disance en aviation d'affaires est chose commune, en particulier en France. Tant que ce n'est pas cher c'est bien. Tout le reste ça n'intéresse personne, et certainement pas les clients/propriétaires de ces avions.
On va pas aller bien loin avec ma parole contre la tienne.
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