bleedair a écrit :
oui mais ça coute d'un côté. Surtout la voltige.
Vol de nuit en monomoteur, au début on ose et après on réfléchit à deux fois.
C'est une question complexe..
VDN en mono, j'informe mes passagers du danger, systématiquement et au plus tard au moment du briefing avant décollage (normalement avant..). Je leur dis qu'en avion, on se base sur la certification du moteur et sur les statistiques de bon fonctionnement de celui-ci, et qu'en cas de panne ça sera chaud.
C'est quoi le chiffre certifié (et atteint) pour les pannes moteur, hors erreur de pilotage ? (hormis donc la mixture coupée involontairement, ou l'essence insuffisante pour le vol)
Atypik a écrit :Moi ce serait plutôt solo + 1 personne max et 1 ou 2 ballades d'1/2h de temps en temps , c'est pour ça que j'hésite beaucoup entre ULM et PPL .
Sachant que je n'aurai pas forcement le bugdet pour m'acheter un ULM non plus ....
Si tu ne veux pas du tout du tout devenir pro, je te conseille l'ULM.
Après il faudrait aussi étudier ce que tu veux faire en vol, plutôt rester dans ta classe G à ne rien faire ou bien aller visiter un grand aéroport international et t'intégrer dans le trafic.
Enfin, tu peux passer ton brevet ULM multiaxe, un ULM multiaxe étant basiquement un avion très léger, tu pourras ensuite obtenir très facilement ton LAPL ou PPL avec les minimas règlementaires, si tu t'aperçois dans le futur que l'ULM ne te suffit plus.
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