Vol VFR on top entre deux couches et TMA de classe C

Aviation légère, de loisirs: questions, récits, pilotage, théorie, etc...

Modérateur : Big Brother

Avatar du membre
LC41
Chef de secteur posteur
Messages : 2450
Enregistré le : 03 févr. 2019, 20:42
Localisation : LFPT, LFPN
Contact :

Message par LC41 »

Voici un vol VFR on-top qui s'est bien terminé, mais qui a été chaud.
http://rexffa.fr/PublicReport/Details/827
Avatar du membre
teubreu
Chef de secteur posteur
Messages : 2658
Enregistré le : 03 mars 2014, 22:06

Message par teubreu »

LC41 a écrit :Voici un vol VFR on-top qui s'est bien terminé, mais qui a été chaud.
http://rexffa.fr/PublicReport/Details/827
Quel est le problème de continuer sur Vienne à 2500ft comme le souhaite initialement le pilote ?
Le SIV n'a pas à donner son avis puisqu'on est en classe G à cet endroit. Ce qui est grave est que ce qui est censé être une aide est en fait le point de départ de la situation délicate. Si le pilote n'avait pas contacté le SIV il n'y aurait sûrement pas eu de problème.
Il doit y avoir qqch qui m'échappe.
Avatar du membre
magret2canard
Captain posteur
Messages : 217
Enregistré le : 02 mars 2018, 22:27

Message par magret2canard »

teubreu a écrit :
LC41 a écrit :Voici un vol VFR on-top qui s'est bien terminé, mais qui a été chaud.
http://rexffa.fr/PublicReport/Details/827
Quel est le problème de continuer sur Vienne à 2500ft comme le souhaite initialement le pilote ?
Le SIV n'a pas à donner son avis puisqu'on est en classe G à cet endroit. Ce qui est grave est que ce qui est censé être une aide est en fait le point de départ de la situation délicate. Si le pilote n'avait pas contacté le SIV il n'y aurait sûrement pas eu de problème.
Il doit y avoir qqch qui m'échappe.
je ne comprends pas non plus pour quoi il n'a pas transité par la CTR de Bron à 2500ft pour récupérer l'autoroute après.
Le plus souvent originaire du Sud Ouest, le magret de canard est une viande moelleuse que l'on peut cuisiner tout au long de l'année à la poêle, au four ou au barbecue.
Avatar du membre
LC41
Chef de secteur posteur
Messages : 2450
Enregistré le : 03 févr. 2019, 20:42
Localisation : LFPT, LFPN
Contact :

Message par LC41 »

J'aime bien
Je lui dit que tout va bien, même si j'ai connu des situations plus confortables, que je suis qualifié de nuit et que j'ai déjà été confronté au VSV de la sorte.

lorsque c'est mis en face de l'analyse

Au final le pilote a fait preuve de sang-froid et d'expertise dans la gestion de la crise mais la notion de récidive avérée amène à penser que le pilote surestime ses capacités à voler en conditions dégradées ("self confidence") et manque de capacité à identifier les points de décision vitaux pour sa survie.

Il avait certainement la possibilité d'interrompre le vol à Tarare, par exemple. Il a bien indiqué

Je prends donc en repère l'autoroute Dijon-Lyon et je prends bien soin de ne pas m'éloigner d'éventuels terrain de déroutement.

Il avait un plan, donc pourquoi ne le suit-il pas en se déroutant vers l'un de ses dégagements en-route? En montant on-top, il savait bien qu'il y avait un plafond soudé à destination, et il improvise malgré tout un vol on-top qui n'était pas prévu? Une fois on-top au niveau 105 les sommets montent et il se retrouve au niveau 135 sans oxygène (avec un moteur atmosphérique)... et, lorsqu'il est confronté à "un mur de nuages dépassant les 15000 ft", il décide de rentrer dedans plutôt que de faire demi-tour. A chaque fois qu'il y avait une décision à prendre, il a pris la mauvaise.

Mais là ou je voulais en venir était surtout qu'un vol on-top en VFR avec un moteur atmosphérique ne s'improvise pas.
Répondre
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message