Trainées de condensation, naturelles et non naturelles.
Modérateur : Big Brother
Trainées de condensation, naturelles et non naturelles.
Bonjour à toutes et à tous,
Nouvel inscrit sur ce forum, ma venue ne concerne qu'un seul sujet, en particulier, l'augmentation significative et visible de vols laissant penser que des épandages massifs se déroulent actuellement dans le ciel, à des altitudes différentes, y compris moyennes.
Avant d'aller plus loin, je souhaite initier cette discussion afin de savoir si des témoins et/ou pilotes seraient disposés à aborder ce sujet, ici ou en privé. En effet, aborder ce phénomène provoque parfois des comportements expressifs peu amicaux, et je ne cherche pas autre chose qu'une discussion posée, et si possible ouverte.
Par avance merci.
Nouvel inscrit sur ce forum, ma venue ne concerne qu'un seul sujet, en particulier, l'augmentation significative et visible de vols laissant penser que des épandages massifs se déroulent actuellement dans le ciel, à des altitudes différentes, y compris moyennes.
Avant d'aller plus loin, je souhaite initier cette discussion afin de savoir si des témoins et/ou pilotes seraient disposés à aborder ce sujet, ici ou en privé. En effet, aborder ce phénomène provoque parfois des comportements expressifs peu amicaux, et je ne cherche pas autre chose qu'une discussion posée, et si possible ouverte.
Par avance merci.
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- Chef pilote posteur
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Eh bien en effet, DSFTDC, tu mets là le doigt sur un secret trop longtamps gardé.
Les épandages massifs dont tu parles là sont issus d'un complot international. Le produit déversé sur nos têtes a pour but de nous lobotomiser à petit feu
Il a été testé initialement aux USA en 2004, ce qui a provoqué la réelection de Georges W. Les Français s'y sont mis en avril 2007, avec le succès que l'on connnait, à peine un mois plus tard.
Non, plus sérieusement, où est-ce que tu es allé pêcher un truc pareil?
Les épandages massifs dont tu parles là sont issus d'un complot international. Le produit déversé sur nos têtes a pour but de nous lobotomiser à petit feu
Il a été testé initialement aux USA en 2004, ce qui a provoqué la réelection de Georges W. Les Français s'y sont mis en avril 2007, avec le succès que l'on connnait, à peine un mois plus tard.
Non, plus sérieusement, où est-ce que tu es allé pêcher un truc pareil?
Bonjour,
Alors voilà un post sur les chemtrails... une des inombrables théories de conspiration.
Notre ami DSFTDC est d'ailleurs déjà gagné à cette cause semble-t-il:
Les arguments de la théorie des chemtrails sont d'ailleurs tous plus farfelus les uns que les autres quand le simple phénomène de condensation suffit à expliquer ces traînées si effrayantes aux yeux de notre ami.
Si les réponses qui peuvent t'être apportées ne te semblent pas amicales c'est que ces théories relèvent des plus absurdes élucubrations. Un peu de recul et de bon sens ne peuvent faire de mal à personne....
Petite lecture qui pourrait faire le plus grand bien à notre ami DSFTDC:
"Devenez sorcier, devenez savant" de Georges Charpak et Henri Broch
Cordialement,
Alors voilà un post sur les chemtrails... une des inombrables théories de conspiration.
Notre ami DSFTDC est d'ailleurs déjà gagné à cette cause semble-t-il:
Ces traînées dans le ciel ne sont que des traînées de condensation et c'est tout.l'augmentation significative et visible de vols laissant penser que des épandages massifs se déroulent actuellement dans le ciel
Les arguments de la théorie des chemtrails sont d'ailleurs tous plus farfelus les uns que les autres quand le simple phénomène de condensation suffit à expliquer ces traînées si effrayantes aux yeux de notre ami.
Si les réponses qui peuvent t'être apportées ne te semblent pas amicales c'est que ces théories relèvent des plus absurdes élucubrations. Un peu de recul et de bon sens ne peuvent faire de mal à personne....
Petite lecture qui pourrait faire le plus grand bien à notre ami DSFTDC:
"Devenez sorcier, devenez savant" de Georges Charpak et Henri Broch
Cordialement,
Que voilà de belles réponses... Je ne les commenterais pas, vous êtes ici des anciens, respect donc.
Maintenant, puisque vous posez la question (notez le respect dans le vouvoiement...), je suis allé "pêcher" cela dans les photos et vidéos que j'ai pu prendre durant ces 3 dernières semaines. Seine-et-Marne, Bretagne, puis Vendée, et de nouveau Seine-et-Marne.
Ce n'est donc pas sur le seul terme d'épandage que vos commentaires auraient pu porter, ce seul réflexe semble laisser penser que votre ouverture à la discussion est plus que limitée. Mais peut-être que je me trompe, et c'est parfaitement possible.
Pourtant, lorsque je vois des avions qui volent à moins de quelques kilomètres de distance les uns des autres, qu'ils volent en parallèle ou en sens contraire à faible distance l'un de l'autre, qu'ils passent et repassent, qu'ils se croisent même, et dont certains laissent des trainées alors que leurs voisins non bien que semblant voler à une altitude relativement similaire, que leur altitude semble bien inférieure à celle décrite comme celle nécessaire pour atteindre les conditions permettant l'effet des trainées de condensation, et que, pour finir, leurs trainées ne sont pas celles qu'on est habitués à observer, et bien c'est en cela que je trouve étonnant le phénomène. Et c'est la seule raison de ma demande sur ce forum, dont j'ai cru comprendre que s'y trouvent des pilotes et autres personnes dont l'aviation et ses domaines connexes sont le domaine de discussion.
Un ciel ou seulement 2 ou 3 avions volent un jour de grand beau temps, sans trainée aucune ou alors une trainée "traditionnelle", mais qui est, le lendemain, truffé de vols dont les trainées sont sans commune mesure avec celles avec lesquelles chacun a pu se familiariser depuis longtemps, il me semble que me questionner sur cela n'est pas "hors normes", je m'adresse à une communauté qui est censée pouvoir m'apporter une vision éclairée.
Premier sujet d'étude dans cet ordre d'idée là, les couloirs aériens : Pourquoi, si un couloir commercial/civil existe sur une zone donnée, Saint Gilles Croix de Vie en Vendée par exemple, pratiquement aucun avion ne l'utiliserait un jour donné, alors que le lendemain ce serait l'exact contraire, avec justement les observations que j'évoque ? (Et je prend l'exemple simple de deux jours avec des vents et une météo similaire, histoire de mettre de côté par défaut tout argument touchant au sens des vents, justement...)
Si votre seule participation consiste à discuter du sujet sous la protection de l'ironie, je vous renvoie à vos certitudes, je ne vois pas bien ce que cela pourra m'apporter.
Si votre argumentation consiste à reprendre ce que Wikipédia explique sur le sujet des trainées de condensation, je vous autorise aimablement à vous en passer, j'y suis déjà allé, et si je suis venu ici c'est pour discuter avec des gens qui cotoient le ciel et qui sauront aborder le sujet de manière raisonnée et ouverte, ce qui de toute évidence n'est pas le cas de tout le monde.
Je m'appuie sur près de 400 photos et vidéos personnelles et récentes, pas sur vos références conspirationnistes dignes du niveau de vos réponses. Merci de garder cela en tête.
Bien cordialement.
Maintenant, puisque vous posez la question (notez le respect dans le vouvoiement...), je suis allé "pêcher" cela dans les photos et vidéos que j'ai pu prendre durant ces 3 dernières semaines. Seine-et-Marne, Bretagne, puis Vendée, et de nouveau Seine-et-Marne.
Ce n'est donc pas sur le seul terme d'épandage que vos commentaires auraient pu porter, ce seul réflexe semble laisser penser que votre ouverture à la discussion est plus que limitée. Mais peut-être que je me trompe, et c'est parfaitement possible.
Pourtant, lorsque je vois des avions qui volent à moins de quelques kilomètres de distance les uns des autres, qu'ils volent en parallèle ou en sens contraire à faible distance l'un de l'autre, qu'ils passent et repassent, qu'ils se croisent même, et dont certains laissent des trainées alors que leurs voisins non bien que semblant voler à une altitude relativement similaire, que leur altitude semble bien inférieure à celle décrite comme celle nécessaire pour atteindre les conditions permettant l'effet des trainées de condensation, et que, pour finir, leurs trainées ne sont pas celles qu'on est habitués à observer, et bien c'est en cela que je trouve étonnant le phénomène. Et c'est la seule raison de ma demande sur ce forum, dont j'ai cru comprendre que s'y trouvent des pilotes et autres personnes dont l'aviation et ses domaines connexes sont le domaine de discussion.
Un ciel ou seulement 2 ou 3 avions volent un jour de grand beau temps, sans trainée aucune ou alors une trainée "traditionnelle", mais qui est, le lendemain, truffé de vols dont les trainées sont sans commune mesure avec celles avec lesquelles chacun a pu se familiariser depuis longtemps, il me semble que me questionner sur cela n'est pas "hors normes", je m'adresse à une communauté qui est censée pouvoir m'apporter une vision éclairée.
Premier sujet d'étude dans cet ordre d'idée là, les couloirs aériens : Pourquoi, si un couloir commercial/civil existe sur une zone donnée, Saint Gilles Croix de Vie en Vendée par exemple, pratiquement aucun avion ne l'utiliserait un jour donné, alors que le lendemain ce serait l'exact contraire, avec justement les observations que j'évoque ? (Et je prend l'exemple simple de deux jours avec des vents et une météo similaire, histoire de mettre de côté par défaut tout argument touchant au sens des vents, justement...)
Si votre seule participation consiste à discuter du sujet sous la protection de l'ironie, je vous renvoie à vos certitudes, je ne vois pas bien ce que cela pourra m'apporter.
Si votre argumentation consiste à reprendre ce que Wikipédia explique sur le sujet des trainées de condensation, je vous autorise aimablement à vous en passer, j'y suis déjà allé, et si je suis venu ici c'est pour discuter avec des gens qui cotoient le ciel et qui sauront aborder le sujet de manière raisonnée et ouverte, ce qui de toute évidence n'est pas le cas de tout le monde.
Je m'appuie sur près de 400 photos et vidéos personnelles et récentes, pas sur vos références conspirationnistes dignes du niveau de vos réponses. Merci de garder cela en tête.
Bien cordialement.
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Pour répondre à ta question, je crois que personnne ne saura te dire pourquoi tel jour il y a plus de trainée qu'un autre, à moins d'avoir les données de la masse d'air à haute altitude. On a même de la condensation sur les profils d'aile au décollage ou à l'atterrissage selon le taux d'humidité de la masse d'air, pour te dire...
Ensuite, il y a de fortes chances pour que les routes qui passent au dessus de Saint-Gilles-Croix de Vie soient des routes transatlantiques, donc des routes qui ont un fort trafic à certaines heures et peu de trafic à d'autres heures (fonction du sens du vol, du décalage et des horaires d'ouverture de l'aéroport de destination).
Donc, quand tu viens nous dire que 'des fois y'en a plus et des fois y'en a moins', franchement, ça va être difficile de te donner une explication scientifique... alors bien sûr, il es tentant d'y voir un peu tout et n'importe quoi.
Quant aux avions qui passent 'à faible distance l'un de l'autre', il faut que tu saches que le meilleur moyen de sépration entre deux avions est l'altitude, et que leur différence peut n'être que de 300m. Si tu arrives à voir une différence de 300m entre 2 avions volant à plus de 10000m, chapeau.
Beaucoup de suppositions et d'approximations dans tes propos (et sans doute de jolies photos aussi). D'où une certaine ironie, somme toute pas bien méchante, de notre part...
Ensuite, il y a de fortes chances pour que les routes qui passent au dessus de Saint-Gilles-Croix de Vie soient des routes transatlantiques, donc des routes qui ont un fort trafic à certaines heures et peu de trafic à d'autres heures (fonction du sens du vol, du décalage et des horaires d'ouverture de l'aéroport de destination).
Donc, quand tu viens nous dire que 'des fois y'en a plus et des fois y'en a moins', franchement, ça va être difficile de te donner une explication scientifique... alors bien sûr, il es tentant d'y voir un peu tout et n'importe quoi.
Quant aux avions qui passent 'à faible distance l'un de l'autre', il faut que tu saches que le meilleur moyen de sépration entre deux avions est l'altitude, et que leur différence peut n'être que de 300m. Si tu arrives à voir une différence de 300m entre 2 avions volant à plus de 10000m, chapeau.
Beaucoup de suppositions et d'approximations dans tes propos (et sans doute de jolies photos aussi). D'où une certaine ironie, somme toute pas bien méchante, de notre part...
Bonjour,
Aucuns avion de ligne n'est équipé d'un réservoir qui pourrait contenir un supposé produit chimique en vu d'un épandage ( je pense que si c'était le cas nous en serions nous, pilotes des dit avions, un minimum informé). D'ailleurs le seul véhicule que j'ai vu près de mon avion ne m'a jamais livré que du fuel. Mais dans l'éventualité où ce produit chimique serait déjà mélangé au carburant, auquel cas bien évidemment je ne peux être tenu pour responsable, je ne crois pas non plus qu'il résisterait, chimiquement parlant aux 850° de la chambre de combustion dans laquelle il sera obligé de passer pour être répandu.
S'interroger sur les trainées de condensations pourquoi pas....Mais tu semble convaincu de tes "preuves", la discussion sera probablement stérile.
Bonne journée.
C'est exactement ce qui à été fait : des élucubrations.je m'adresse à une communauté qui est censée pouvoir m'apporter une vision éclairée.
Aucuns avion de ligne n'est équipé d'un réservoir qui pourrait contenir un supposé produit chimique en vu d'un épandage ( je pense que si c'était le cas nous en serions nous, pilotes des dit avions, un minimum informé). D'ailleurs le seul véhicule que j'ai vu près de mon avion ne m'a jamais livré que du fuel. Mais dans l'éventualité où ce produit chimique serait déjà mélangé au carburant, auquel cas bien évidemment je ne peux être tenu pour responsable, je ne crois pas non plus qu'il résisterait, chimiquement parlant aux 850° de la chambre de combustion dans laquelle il sera obligé de passer pour être répandu.
S'interroger sur les trainées de condensations pourquoi pas....Mais tu semble convaincu de tes "preuves", la discussion sera probablement stérile.
Le Bae 146 est bien connu pour créer des trainées de condensation (de courte durée) jusqu'à l'atterrissage.que leur altitude semble bien inférieure à celle décrite comme celle nécessaire pour atteindre les conditions permettant l'effet des trainées de condensation
Bonne journée.
Merci pour votre réponse.novitch a écrit :...Quant aux avions qui passent 'à faible distance l'un de l'autre', il faut que tu saches que le meilleur moyen de séparation entre deux avions est l'altitude, et que leur différence peut n'être que de 300m. Si tu arrives à voir une différence de 300m entre 2 avions volant à plus de 10000m, chapeau...
Effectivement, je ne pense pas pouvoir distinguer une différence d'altitude entre 2 avions qui voleraient à très haute altitude, celle de croisière vers les 10 000m.
Cependant, je sais faire la différence entre un avion volant à cette altitude et un autre volant bien plus bas, ne serait ce que pas la différence de taille observable.
De plus, je n'en suis pas très sur, mais il me semble me souvenir d'une distance minimum de 9 000, je ne sais plus si ce sont des pieds ou des mètres, entre 2 avions. Donc, même en considérant 3 000m de distance minimum entre 2 appareils volant à quelques centaines de mètres l'un de l'autre, si j'évalue la différence d'altitude à presque rien au regard de leur taille similaire lors de leurs observations, j'en conclue qu'ils n'étaient probablement pas dans le respect de cette norme. Et même en considérant qu'une ou deux exceptions sont possibles, je parle d'observations qui montrent des appareils violant cette contrainte plusieurs fois par jour.
Celà, pour ne parler que de l'aspect des règles concernant la proximité entre avions.
Au dessus de mon domicile, sud Seine-et-Marne, passent quelques avions, certains en très haute altitude, d'autres moins haut, partant d'Orly. J'ai l'habitude de les voir, la différence entre les deux types de vols est évidente, les photos permettraient d'estimer les différences d'altitudes en fonction de la taille d'avion, à modèle plus ou moins équivalent, c'est évident...
Ce matin même, 4 vols observés, 1 en très haute altitude, 3 en phase de décollage, aucun n'avait de trainées de condensation.
Pour waner, pilote d'avion de ligne ne signifie pas que ces seuls appareils soient potentiellement utilisés dans le ciel.
De la même manière, ce sont bien des avions de ligne qui sont équipés de différents appareillages, lors de leurs tests de certification, et dans ces appareillages, il y est bien question de conteneurs en aluminium, dont le contenu passe d'un bord à l'autre pour effectuer des testes sur le comportement de l'avion selon des changements du centre de gravité.
Par conséquent, ce type d'équipement est parfaitement connu, l'aménagement d'appareils utilisant ce système est donc tout à fait envisageable, sans nécessiter le mélange de produits chimiques dans les réservoirs à carburant, tel que vous l'évoquez.
Par ailleurs, le fait que je sois convaincu que les trainées dont je suppose qu'elles ne sont pas des trainées de condensation, ne signifie pas que j'ai raison, pas plus que cela ne m'enferme dans une position ferme et définitive. Par définition, la discussion est ouverte, c'est la raison de ma venue sur ce forum.
Pour finir, je ne sais pas ce qu'est le Bae 146, et en tout état de cause, je ne parle pas de trainées de condensation de courte durée, puisque justement, celles dont je parle concernent des vols de moyenne altitude, à altitude régulière, puisque si la trajectoire d'un de ces avions était montante ou descendante, en cas de trainée de condensation "naturelle", celle ci serait nécessairement coupée au moment ou, dans la trajectoire, l'avion changeait de condition atmosphérique, ce qui est obligatoire, quel que soit le sens de la trajectoire.
En tous cas, merci pour vos observations.
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- Copilote posteur
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Voici une vidéo assé intéressante : http://www.dailymotion.com/relevance/se ... a-mal_news 
Ceci est la réalité je suis nulle part et partout car tout est dans tout, je ne suis rien mais je suis tout se qui existe
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- Chef de secteur posteur
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Les couloirs aériens ne sont pas utilisés tous les jours, je m'explique : certains sont réservés aux week-end, certains aux jours fériés, certains ne sont utilisés que lorsque la zone militaire qui les englobe est inactive, au contraire lorsque la zone est active, on utilisera une autre route qui la contourne, etc...
A cela rajoute les demandes de routes directes par les équipages : si le contrôleur est sympa, il prendra son téléphone et appellera son collègue du secteur suivant pour organiser le "raccourci" de l'avion, s'il est mal luné il ne le fera pas et refusera une route plus directe à l'avion, ce qui fait qu'un jour un vol passe à un certain endroit et le lendemain, le même vol passera 20 km plus à gauche.
Problème de l'épandage : pour avoir pas mal visité les sites consacrés aux chemtrails (par curiosité), deux ou trois petites mises au point :
Les trainées de condensation se forment dans des masses d'air selon certains critères de température et d'humidité bien donnés (que je ne connais pas dans le détail) ces même critères lorsqu'ils changent peuvent engendrer la persistance ou non desdites trainées.
Les dispositifs de "pulvérisation" situés sur les ailes de certains avions sont des dispositifs de vidange carburant, destinés à alléger un avion en difficulté. Par exemple, un long-courrier part de paris pour NY avec 120 tonnes de carburant, il décolle à la masse de 410 tonnes mais est certifié à l'atterrissage avec une masse maxi de 350 tonnes. A l'arrivée à NY, pas de souci, il aura brulé du pétrole en l'air et pourra se poser, mais en cas de souci peu après le décollage de Paris, s'il doit revenir se poser, il sera trop lourd, il vidange donc du carburant en l'air via ces orifices pour s'alléger.
Pourquoi dans ce cas ne voit-on pas ces dispositifs sur tous les avions ? Parce que la réglementation n'impose d'en installer que sur certains avions particulièrement lourds, les avions court et moyen-courriers (type A320) n'en sont pas équipés car ils sont certifiés pour pouvoir atterrir en surcharge en cas d'urgence.
Le seul camion qui approche mon avion également au sol est celui de pétrole, et je suis là tout le long de la touchée...
Enfin dernière chose qui me fait hurler de rire et qui ne peut que démonter la théorie comme quoi cela se ferait à l'insu des pilotes : le centrage. Si nous perdions plusieurs tonnes de liquide durant le vol, le centrage serait modifié, comment imaginer que l'on puisse ne pas se rendre compte d'une telle modification, un peu de sérieux voyons !!!
Ton cas d'Orly : autour des aéroports parisiens s'entrecroisent les trajectoires des avions à l'arrivée à Orly et CDG (donc en descente à altitude moyenne), ceux en approche à Orly et CDG (2 approches parrallèles à CDG, en descente à basse altitude), ceux au départ des ces terrains (en montée altitude moyenne) et enfin ceux en croisière qui passent juste verticale des ces terrains parce que c'est sur leur route. Tout ça s'entremêle dans un sac de noeuds très impressionnant et très dur à gérer. A ça tu dois rajouter les avions du Bourget, les militaires de Villacoublay et tous les avions légers de toussus, lognes, st-cyr, etc...
Deux avions en vol en croisière sont espacés en hauteur par 1000 ft minimum, ça fait 300 mètres, indiscernable du sol sans un télémètre de défense aérienne ou un radar. C'est la règle RVSM (Reduced Vertical Separation Minimas) en application en Europe.
Les conteneurs en alumium dont tu parles sont bien connus puiosqu'ils servent à simuler.... les passagers !!! Et donc ils sont situés... dans la cabine passager pour les vols de certification ! Désolé, mais j'ai bien vérifié, dans ma cabine passager, il y a ... des sièges et des passagers !
Enfin, les trainées ne se forment pas à une condition bien précise, mais dans une plage de conditions, ce qui explique qu'un changement de niveau ne les interrompent pas. Mais je peux te jurer pour voir de mon cockpit tous les jours d'autres avions en l'air, qu'elles finissent toujours par s'interrompre à un moment ou un autre.
Florian
A cela rajoute les demandes de routes directes par les équipages : si le contrôleur est sympa, il prendra son téléphone et appellera son collègue du secteur suivant pour organiser le "raccourci" de l'avion, s'il est mal luné il ne le fera pas et refusera une route plus directe à l'avion, ce qui fait qu'un jour un vol passe à un certain endroit et le lendemain, le même vol passera 20 km plus à gauche.
Problème de l'épandage : pour avoir pas mal visité les sites consacrés aux chemtrails (par curiosité), deux ou trois petites mises au point :
Les trainées de condensation se forment dans des masses d'air selon certains critères de température et d'humidité bien donnés (que je ne connais pas dans le détail) ces même critères lorsqu'ils changent peuvent engendrer la persistance ou non desdites trainées.
Les dispositifs de "pulvérisation" situés sur les ailes de certains avions sont des dispositifs de vidange carburant, destinés à alléger un avion en difficulté. Par exemple, un long-courrier part de paris pour NY avec 120 tonnes de carburant, il décolle à la masse de 410 tonnes mais est certifié à l'atterrissage avec une masse maxi de 350 tonnes. A l'arrivée à NY, pas de souci, il aura brulé du pétrole en l'air et pourra se poser, mais en cas de souci peu après le décollage de Paris, s'il doit revenir se poser, il sera trop lourd, il vidange donc du carburant en l'air via ces orifices pour s'alléger.
Pourquoi dans ce cas ne voit-on pas ces dispositifs sur tous les avions ? Parce que la réglementation n'impose d'en installer que sur certains avions particulièrement lourds, les avions court et moyen-courriers (type A320) n'en sont pas équipés car ils sont certifiés pour pouvoir atterrir en surcharge en cas d'urgence.
Le seul camion qui approche mon avion également au sol est celui de pétrole, et je suis là tout le long de la touchée...
Enfin dernière chose qui me fait hurler de rire et qui ne peut que démonter la théorie comme quoi cela se ferait à l'insu des pilotes : le centrage. Si nous perdions plusieurs tonnes de liquide durant le vol, le centrage serait modifié, comment imaginer que l'on puisse ne pas se rendre compte d'une telle modification, un peu de sérieux voyons !!!
Ton cas d'Orly : autour des aéroports parisiens s'entrecroisent les trajectoires des avions à l'arrivée à Orly et CDG (donc en descente à altitude moyenne), ceux en approche à Orly et CDG (2 approches parrallèles à CDG, en descente à basse altitude), ceux au départ des ces terrains (en montée altitude moyenne) et enfin ceux en croisière qui passent juste verticale des ces terrains parce que c'est sur leur route. Tout ça s'entremêle dans un sac de noeuds très impressionnant et très dur à gérer. A ça tu dois rajouter les avions du Bourget, les militaires de Villacoublay et tous les avions légers de toussus, lognes, st-cyr, etc...
Deux avions en vol en croisière sont espacés en hauteur par 1000 ft minimum, ça fait 300 mètres, indiscernable du sol sans un télémètre de défense aérienne ou un radar. C'est la règle RVSM (Reduced Vertical Separation Minimas) en application en Europe.
Les conteneurs en alumium dont tu parles sont bien connus puiosqu'ils servent à simuler.... les passagers !!! Et donc ils sont situés... dans la cabine passager pour les vols de certification ! Désolé, mais j'ai bien vérifié, dans ma cabine passager, il y a ... des sièges et des passagers !
Enfin, les trainées ne se forment pas à une condition bien précise, mais dans une plage de conditions, ce qui explique qu'un changement de niveau ne les interrompent pas. Mais je peux te jurer pour voir de mon cockpit tous les jours d'autres avions en l'air, qu'elles finissent toujours par s'interrompre à un moment ou un autre.
Florian
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- Chef pilote posteur
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Cette petite vidéo et la théorie qui va avec supposeraient:
- que les constructeurs installent des systèmes d'épandage sans les indiquer dans la documentation de l'avion, donc que les autorités de certification ne voient rien (!) ou sont complices (!!)
- que des milliers de mécaniciens qui travaillent quotidiennement sur ces avions ne voient rien (!) ou sont complices (!!)
- que ces milliers de mécaniciens n'ont jamais signalé aux milliers de pilotes qui volent sur ces machines qu'ils ont bien rempli le réservoir d'épandage.
- que des milliers de pilotes ne voient rien ou sont complices (!!)
Tout cela supposerait une culture du secret particulièrement poussée dans le milieu aéronautique....
- que les constructeurs installent des systèmes d'épandage sans les indiquer dans la documentation de l'avion, donc que les autorités de certification ne voient rien (!) ou sont complices (!!)
- que des milliers de mécaniciens qui travaillent quotidiennement sur ces avions ne voient rien (!) ou sont complices (!!)
- que ces milliers de mécaniciens n'ont jamais signalé aux milliers de pilotes qui volent sur ces machines qu'ils ont bien rempli le réservoir d'épandage.
- que des milliers de pilotes ne voient rien ou sont complices (!!)
Tout cela supposerait une culture du secret particulièrement poussée dans le milieu aéronautique....
Enfin je peux parler de mes soupçons, on ne me traitera pas de fou. Voila ce que les américains mettent au point pour faire vaporiser les excréments de pigeons au dessus de NYC... http://www.dailymotion.com/relevance/se ... shortfilms
On va tous y passer c'est moi qui vous le dit et j'ai des preuves... Quand je fais bien le plein de mon cessna et que je décolle j'ai des goutes qui tombent d'un tuyaux, je pense que c'est pour la même chose vu que cessna est américain...
Réfléchissez bien avant d'être sur...
On va tous y passer c'est moi qui vous le dit et j'ai des preuves... Quand je fais bien le plein de mon cessna et que je décolle j'ai des goutes qui tombent d'un tuyaux, je pense que c'est pour la même chose vu que cessna est américain...
Réfléchissez bien avant d'être sur...
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Ou alors si ce sont des avions gouvernementaux : que des milliers de personnes travaillant à la fabrication, l'entretien, la mise en oeuvre et le suivi de ces appareils soient complices.
Qu'il existe des centaines de bases secrètes dans le monde que jamais personne n'a survolé ou alors qu'elles soient super bien camouflées.
Vu que ces appareils ne sont pas furtifs étant donné leur apparence "classique" que des milliers de contrôleurs aériens soient dans le coup et ne remarquent pas ces échos sur leurs radars, etc...
Trop énormissime, surtout si l'on prend en compte que tout le monde vivant sous le ciel, ils seraient atteints eux aussi par ces produits...
Personnellement, j'en ai vu un paquet d'avions ouverts, dépouillés... ben vous allez rire, aucune trace de réservoir suspect qui ne contienne pas du kéro, du liquide hydraulique ou de la flotte...
Qu'il existe des centaines de bases secrètes dans le monde que jamais personne n'a survolé ou alors qu'elles soient super bien camouflées.
Vu que ces appareils ne sont pas furtifs étant donné leur apparence "classique" que des milliers de contrôleurs aériens soient dans le coup et ne remarquent pas ces échos sur leurs radars, etc...
Trop énormissime, surtout si l'on prend en compte que tout le monde vivant sous le ciel, ils seraient atteints eux aussi par ces produits...
Personnellement, j'en ai vu un paquet d'avions ouverts, dépouillés... ben vous allez rire, aucune trace de réservoir suspect qui ne contienne pas du kéro, du liquide hydraulique ou de la flotte...
C'est juste que flo est dans le coup et qu'il essai de brouiller les pistes...novitch a écrit :Moi je dis: le mystère s'épaissit...Flo_dr400 a écrit : Personnellement, j'en ai vu un paquet d'avions ouverts, dépouillés... ben vous allez rire, aucune trace de réservoir suspect qui ne contienne pas du kéro, du liquide hydraulique ou de la flotte...
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Merde les gars, c'est plus grave que prévu, la DGSE et le FBI sont déjà sur le coup pour brouiller les messages compromettants. N'allez pas plus loin dans les révélations !oliver_twist a écrit :Moi sur mon A340 en général je remdfuigojtkl,hg;lhj,ps, 01g3s5df7g4trh!:!^complètement. Et parfois il se trouve qu'à etzrit ,oki rqlitçezriu"ç':kt jszpjkf. C'est éno'rfuk gàçe_u giej gkj,ùsdlkgh . Evidemment je n'5.7049+fdklj kslgj_i'.
Sur ce je vous laisse, j'ai une nav à préparer pour demain matin : épandage au dessus de la Normandie en PA 28 ( qu'est ce que vous croyez ? L'aviation générale est aussi dans le coup . )
On a un champion là !!!!!!
Fait gaffe gas !!!!! L’hiver prochain, lorsque il fera froid et humide : de la vapeur d'eau sera certainement visible au niveau de ta bouche lorsque tu vas expirer. Et alors là !! toi aussi tu un des êtres qui vont "polluer" comme tu le dis !!!!
Un conseil arrêt le lait fraise pendant un moment ça doit être trop fort !!!!!
Fait gaffe gas !!!!! L’hiver prochain, lorsque il fera froid et humide : de la vapeur d'eau sera certainement visible au niveau de ta bouche lorsque tu vas expirer. Et alors là !! toi aussi tu un des êtres qui vont "polluer" comme tu le dis !!!!
Un conseil arrêt le lait fraise pendant un moment ça doit être trop fort !!!!!
Pour aborder certains des points soulevés par Florian, que je remercie au passage, et sans rentrer dans les détails qui, inévitablement, ridiculise celui qui les porte, je tenterais de rester pragmatique. C'est encore le meilleur moyen de discuter sans fermer les portes.
Sur l’aspect des couloirs aériens, admettons les arguments donnés comme définitifs. En fait, la question est bien plus simple, elle consiste à savoir s’il y a des zones interdites aux vols commerciaux, et si oui lesquelles.
Inversement, quels sont les couloirs aériens utilisés habituellement.
Sur la base des réponses à ces 2 questions, cet aspect là du sujet pourra avancer.
Sur ce qui touche les trainées de condensation, en dehors des sacrosaints écrits qu’on trouve que Wikipédia ou autres sites de "références", je pense que les témoignages d'anciens pilotes de lignes seraient bien plus parlants.
En effet, si comme je le suppose, les observations qui se multiplient pour ces trainées, à savoir leur grand nombre et leurs particularités qui sont bien réelles, il devrait y avoir ce même type de questionnement de la part de pilotes qui volent régulièrement, et qui auraient pu remarque ces changements, en tout cas pour ce qui concerne les vols à proximité des lignes commerciales.
La seule augmentation du trafic ne peut être la seule explication, je ne prends comme exemple qu’au dessus de chez moi, les avions qui passent chaque jour ne sont pas plus nombreux que d’habitude, et j’ai la chance d’avoir un couloir aérien "peu utilisé".
Donc, lorsque d’autres avions viennent produire ces trainées, on les remarque immédiatement, non seulement parce qu’ils sont là toute la journée, nombreux, et qu’ils volent dans tous les sens, ce qui n’est pas le cas des vols habituels, qui sont tous NORD-SUD, que cela soit les vols en phase de décollage d’Orly, ou les vols bien plus haut, en vol de croisière.
Sur ce point là, les différences observables entre les cas que je cite sont par définition observées, et les différences entre les vols « normaux » et les autres sont si évidentes que les questions soulevées par ce sujet sont légitimes.
En d’autres mots, on ne peut exclure le sujet en se cachant derrière quelque argument que ce soit, le phénomène existe, et il ne peut être assimilé à des avions commerciaux en vol.
Pour ce qui concerne les dispositifs de pulvérisation, là non plus l’argument de dire qu’un avion commercial ne pourrait être modifié ne tient pas. On peut parfaitement modifié les avions, pas nécessaire que ce soient des avions commerciaux, qui seraient équipés pour pulvériser je ne sais quoi, à l’insu de son équipage et de ses passagers.
A priori, on peut considérer l’hypothèse d’avions non commerciaux, que ce soient des avions civiles ou non. Les armées ont des flottes, mais pas seulement, certaines organisations aussi, que ce soit l’OTAN, l’ONU, l’OMS, et quantité d’autres organisations civiles et/ou humanitaires.
Par conséquent, tout l’argumentaire concernant une possibilité de mélanger des produits chimiques au carburant, dans les réservoirs d’avions commerciaux ne me semble pas être d’actualité, je ne pense pas qu’il puisse effectivement s’agir de vols commerciaux.
Pour ce qui touche aux dégazages, là encore c’est hors sujet selon moi.
Si je prends de nouveau comme exemple mes seules observations, les trainées peuvent être très longues, mais parfois très courtes également, et les avions volaient dans tous les sens, et non dans un seul, celui du retour vers un aéroport pour un atterrissage d’urgence.
Le dégazage en cas d’urgence n’impose t il pas certaines contraintes pour pouvoir être autorisé ?
Pour ce qui concerne les distances qui doivent séparer les avions, j’ai relevé la complexité des réglementations, mais je ne retiendrais que le cas qui concerne mes observations, à savoir des avions en vol, à moyen ou haute altitude, d’autres à très haute altitude.
Ok pour les 300m en vertical, j’ai noté la moyenne horizontale, annoncée comme 5NM (1NM = 1 852m).
Selon les phases et régions, cela peut se réduire à 3NM, Ile de France même jusqu’à seulement 2.5NM (4 630m).
En théorie donc, en vol normal, les avions devraient avoir 9 260m (5NM) qui les séparent, horizontalement.
Sous entendu donc, si je comprend ces données, même avec 300m de différence d’altitude, deux avions ne devraient pas pouvoir voler l’un au dessus de l’autre, ni même à seulement 1 ou 2km de distance l’un de l’autre, que ce soit en vol en formation (l’un à côté de l’autre), ni même dans le cas d’avions qui se croiseraient.
Par conséquent, toutes mes observations qui montrent ces vols parallèles, ou celles des vols de 2, 3 ou 4 avions qui se croisent semblent démontrer que ces avions là ne respectent pas la réglementation habituelle pour les vols commerciaux, et je ne parle pas d’une ou deux exceptions, mais bien de conditions de vols observés de manière récurrente durant ces 3 dernières semaines, sur 3 régions différentes..
Là encore, je considère donc que mes observations permettent raisonnablement de mettre en doute la thèse de vols « normaux », qui laisseraient de simple trainées de condensations.
Pour terminer sur l’aspect ironique de l’impossibilité d’une telle chose, je ne répondrais qu’en rappelant que ce ne serait pas la première fois que des choses impensables ont été faites à l’insu de tout le monde, ne serait ce qu’au sujet des bases souterraines anti atomiques allemandes, russes, chinoises, japonaises, norvégiennes, françaises, américaines, etcetera…
Vous remarquerez que ce sujet là est connu, et donc non discutable sur le fond, et que les quantités de moyens, de main d’œuvre, de technologies et du secret pour réaliser ces structures ont été gigantesques, mais pourtant parfaitement conservées dans le secret durant des années.
Cela peut aider à comprendre que sous le couvert d’engagements écrits, quantité de personnes peuvent travailler sur un sujet et ne jamais en parler, ou ne le faire que des années plus tard.
Bien cordialement.
Sur l’aspect des couloirs aériens, admettons les arguments donnés comme définitifs. En fait, la question est bien plus simple, elle consiste à savoir s’il y a des zones interdites aux vols commerciaux, et si oui lesquelles.
Inversement, quels sont les couloirs aériens utilisés habituellement.
Sur la base des réponses à ces 2 questions, cet aspect là du sujet pourra avancer.
Sur ce qui touche les trainées de condensation, en dehors des sacrosaints écrits qu’on trouve que Wikipédia ou autres sites de "références", je pense que les témoignages d'anciens pilotes de lignes seraient bien plus parlants.
En effet, si comme je le suppose, les observations qui se multiplient pour ces trainées, à savoir leur grand nombre et leurs particularités qui sont bien réelles, il devrait y avoir ce même type de questionnement de la part de pilotes qui volent régulièrement, et qui auraient pu remarque ces changements, en tout cas pour ce qui concerne les vols à proximité des lignes commerciales.
La seule augmentation du trafic ne peut être la seule explication, je ne prends comme exemple qu’au dessus de chez moi, les avions qui passent chaque jour ne sont pas plus nombreux que d’habitude, et j’ai la chance d’avoir un couloir aérien "peu utilisé".
Donc, lorsque d’autres avions viennent produire ces trainées, on les remarque immédiatement, non seulement parce qu’ils sont là toute la journée, nombreux, et qu’ils volent dans tous les sens, ce qui n’est pas le cas des vols habituels, qui sont tous NORD-SUD, que cela soit les vols en phase de décollage d’Orly, ou les vols bien plus haut, en vol de croisière.
Sur ce point là, les différences observables entre les cas que je cite sont par définition observées, et les différences entre les vols « normaux » et les autres sont si évidentes que les questions soulevées par ce sujet sont légitimes.
En d’autres mots, on ne peut exclure le sujet en se cachant derrière quelque argument que ce soit, le phénomène existe, et il ne peut être assimilé à des avions commerciaux en vol.
Pour ce qui concerne les dispositifs de pulvérisation, là non plus l’argument de dire qu’un avion commercial ne pourrait être modifié ne tient pas. On peut parfaitement modifié les avions, pas nécessaire que ce soient des avions commerciaux, qui seraient équipés pour pulvériser je ne sais quoi, à l’insu de son équipage et de ses passagers.
A priori, on peut considérer l’hypothèse d’avions non commerciaux, que ce soient des avions civiles ou non. Les armées ont des flottes, mais pas seulement, certaines organisations aussi, que ce soit l’OTAN, l’ONU, l’OMS, et quantité d’autres organisations civiles et/ou humanitaires.
Par conséquent, tout l’argumentaire concernant une possibilité de mélanger des produits chimiques au carburant, dans les réservoirs d’avions commerciaux ne me semble pas être d’actualité, je ne pense pas qu’il puisse effectivement s’agir de vols commerciaux.
Pour ce qui touche aux dégazages, là encore c’est hors sujet selon moi.
Si je prends de nouveau comme exemple mes seules observations, les trainées peuvent être très longues, mais parfois très courtes également, et les avions volaient dans tous les sens, et non dans un seul, celui du retour vers un aéroport pour un atterrissage d’urgence.
Le dégazage en cas d’urgence n’impose t il pas certaines contraintes pour pouvoir être autorisé ?
Pour ce qui concerne les distances qui doivent séparer les avions, j’ai relevé la complexité des réglementations, mais je ne retiendrais que le cas qui concerne mes observations, à savoir des avions en vol, à moyen ou haute altitude, d’autres à très haute altitude.
Ok pour les 300m en vertical, j’ai noté la moyenne horizontale, annoncée comme 5NM (1NM = 1 852m).
Selon les phases et régions, cela peut se réduire à 3NM, Ile de France même jusqu’à seulement 2.5NM (4 630m).
En théorie donc, en vol normal, les avions devraient avoir 9 260m (5NM) qui les séparent, horizontalement.
Sous entendu donc, si je comprend ces données, même avec 300m de différence d’altitude, deux avions ne devraient pas pouvoir voler l’un au dessus de l’autre, ni même à seulement 1 ou 2km de distance l’un de l’autre, que ce soit en vol en formation (l’un à côté de l’autre), ni même dans le cas d’avions qui se croiseraient.
Par conséquent, toutes mes observations qui montrent ces vols parallèles, ou celles des vols de 2, 3 ou 4 avions qui se croisent semblent démontrer que ces avions là ne respectent pas la réglementation habituelle pour les vols commerciaux, et je ne parle pas d’une ou deux exceptions, mais bien de conditions de vols observés de manière récurrente durant ces 3 dernières semaines, sur 3 régions différentes..
Là encore, je considère donc que mes observations permettent raisonnablement de mettre en doute la thèse de vols « normaux », qui laisseraient de simple trainées de condensations.
Pour terminer sur l’aspect ironique de l’impossibilité d’une telle chose, je ne répondrais qu’en rappelant que ce ne serait pas la première fois que des choses impensables ont été faites à l’insu de tout le monde, ne serait ce qu’au sujet des bases souterraines anti atomiques allemandes, russes, chinoises, japonaises, norvégiennes, françaises, américaines, etcetera…
Vous remarquerez que ce sujet là est connu, et donc non discutable sur le fond, et que les quantités de moyens, de main d’œuvre, de technologies et du secret pour réaliser ces structures ont été gigantesques, mais pourtant parfaitement conservées dans le secret durant des années.
Cela peut aider à comprendre que sous le couvert d’engagements écrits, quantité de personnes peuvent travailler sur un sujet et ne jamais en parler, ou ne le faire que des années plus tard.
Bien cordialement.
Salut,
Faux, dès qu'il y a 1000ft (300m) de séparation verticale, il n'y a plus de séparation horizontale. J'ai à ta disposition toute sorte de photos prises moi même en vol on je croise des avions dessus, dessous, en trajectoires parallèles, juste à coté là, mais 1000 ft plus haut où plus bas.
A te lire nous sommes donc nous tous ici, pilotes, contrôleurs, mécano et qui sais-je encore complices de trainées de condensations suspectes... On ne frôle plus la paranoïa, on tombe dedans !
La seule chose (de très loin) qui pourrait ressembler à de l'épandage de produit chimique est un procédé qui est balancé dans les cumulonimbus afin de provoqué la pluie et d'éviter que ce dernier ne se transforme en ouragan.
Plutôt que de sombrer dans la facilité d'avions pollueurs (on pourrait aussi s'interroger sur la vrai cause des aurores boréales..)n je t'incite à consolider des connaissances en matière de réglementation aérienne et surtout en météorologie, il y a de très bons bouquins là-dessus. Certes cela demande du temps et du boulot, mais au moins y trouveras-tu certaines réponses à tes questions.
Bonne journée.
C'est ce qu'on fait, même si nous sommes des pilotes en activités et non pas "anciens"..je pense que les témoignages d'anciens pilotes de lignes seraient bien plus parlants.
Comme je l'ai dit dans mon premier post, quelque soit les arguments que nous t'amènerons tu es convaincus de tes "preuves"et les différences entre les vols « normaux » et les autres sont si évidentes que les questions soulevées par ce sujet sont légitimes.
En d’autres mots, on ne peut exclure le sujet en se cachant derrière quelque argument que ce soit, le phénomène existe, et il ne peut être assimilé à des avions commerciaux en vol.
On frôle la paranoïa...Pour ce qui concerne les dispositifs de pulvérisation, là non plus l’argument de dire qu’un avion commercial ne pourrait être modifié ne tient pas. On peut parfaitement modifié les avions, pas nécessaire que ce soient des avions commerciaux, qui seraient équipés pour pulvériser je ne sais quoi, à l’insu de son équipage et de ses passagers.
En théorie donc, en vol normal, les avions devraient avoir 9 260m (5NM) qui les séparent, horizontalement.
Sous entendu donc, si je comprend ces données, même avec 300m de différence d’altitude, deux avions ne devraient pas pouvoir voler l’un au dessus de l’autre, ni même à seulement 1 ou 2km de distance l’un de l’autre, que ce soit en vol en formation (l’un à côté de l’autre), ni même dans le cas d’avions qui se croiseraient.
Faux, dès qu'il y a 1000ft (300m) de séparation verticale, il n'y a plus de séparation horizontale. J'ai à ta disposition toute sorte de photos prises moi même en vol on je croise des avions dessus, dessous, en trajectoires parallèles, juste à coté là, mais 1000 ft plus haut où plus bas.
Cette ineptie est effectivement connue, cela n'en fait pas une réalité. L'horizon est rectiligne, tout le monde le sais et le vois, nous cacherait-on que le terre est plate ???Vous remarquerez que ce sujet là est connu, et donc non discutable sur le fond, et que les quantités de moyens, de main d’œuvre, de technologies et du secret pour réaliser ces structures ont été gigantesques, mais pourtant parfaitement conservées dans le secret durant des années.
A te lire nous sommes donc nous tous ici, pilotes, contrôleurs, mécano et qui sais-je encore complices de trainées de condensations suspectes... On ne frôle plus la paranoïa, on tombe dedans !
La seule chose (de très loin) qui pourrait ressembler à de l'épandage de produit chimique est un procédé qui est balancé dans les cumulonimbus afin de provoqué la pluie et d'éviter que ce dernier ne se transforme en ouragan.
Plutôt que de sombrer dans la facilité d'avions pollueurs (on pourrait aussi s'interroger sur la vrai cause des aurores boréales..)n je t'incite à consolider des connaissances en matière de réglementation aérienne et surtout en météorologie, il y a de très bons bouquins là-dessus. Certes cela demande du temps et du boulot, mais au moins y trouveras-tu certaines réponses à tes questions.
Bonne journée.