différence ULM et avion ?
Modérateur : Big Brother
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Auteur du sujettotofoin
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différence ULM et avion ?
Bonjour à toutes et à tous,
Tout est dans le titre, j'aurais voulu savoir quelles sont les différences entre les ULM MULTIAXES et les Avions de Tourisme.
Aéronautiquement,
FOIN T.
Tout est dans le titre, j'aurais voulu savoir quelles sont les différences entre les ULM MULTIAXES et les Avions de Tourisme.
Aéronautiquement,
FOIN T.
T. FOIN
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- Messages : 7978
- Enregistré le : 02 mars 2008, 08:03
C'est une définition qui provient de la réglementation.
Moins de 450 kg de masse à la charge maxi autorisée, et une vitesse de décrochage pas inférieure à une certain seuil que je n'ai pas en tête (65 km/h je crois) et c'est un ULM (c'est un peu plus compliqué que ça, mais c'est le principe).
Avantages de l'ULM: entretien peu (ou pas je ne sais pas) réglementé, possibilité de se poser en dehors des aérodromes (sous certaines conditions), pas de visite médicale aéronautique.
Inconvénients: pas de vol de nuit ou aux instruments, deux places maximum, en pratique monoplace car la masse maxi autorisée est très vite dépassée si on veut prendre aussi de l'essence, interdiction de certains aérodromes, demande en pratique de meilleures conditions météo que le vol en avion.
Il semble, d'après une étude que j'ai lue l'an passé, que le coût de revient à l'heure n'est pas particulièrement avantageux par rapport à l'avion, car l'ULM se déprécie plus vite. Par exemple, à Royan, l'ULM trois axes est à peine moins cher que le Jodel.
Moins de 450 kg de masse à la charge maxi autorisée, et une vitesse de décrochage pas inférieure à une certain seuil que je n'ai pas en tête (65 km/h je crois) et c'est un ULM (c'est un peu plus compliqué que ça, mais c'est le principe).
Avantages de l'ULM: entretien peu (ou pas je ne sais pas) réglementé, possibilité de se poser en dehors des aérodromes (sous certaines conditions), pas de visite médicale aéronautique.
Inconvénients: pas de vol de nuit ou aux instruments, deux places maximum, en pratique monoplace car la masse maxi autorisée est très vite dépassée si on veut prendre aussi de l'essence, interdiction de certains aérodromes, demande en pratique de meilleures conditions météo que le vol en avion.
Il semble, d'après une étude que j'ai lue l'an passé, que le coût de revient à l'heure n'est pas particulièrement avantageux par rapport à l'avion, car l'ULM se déprécie plus vite. Par exemple, à Royan, l'ULM trois axes est à peine moins cher que le Jodel.
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- Copilote posteur
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- Enregistré le : 08 oct. 2007, 19:52
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Quelques petites mises au point.
Réglementation :
En gros tu es responsable de tout ce que tu fais. C'est à dire que tu as ta licence à vie (pas besoin d'un nombre d'heure minimum pas ans) et que l'entretient n'est pas réglementé.
Formation :
L'heure de vol ne te couteras pas forcément moins chère mais le minimum requis pour la licence n'est que de 10H. Personnellement j'ai fait 12h environ en sachant que j'avais déjà fait pas mal de double commande à coté. Ca m'a couté dans les 1300€ - 250€ de subvention de la fédé pour les - de 25 ans si je me souvient bien.
La théorie est relativement plus simple que celle PPL à ce que j'ai entendu dire (au niveau navigation notamment) mais le truc c'est que les club te le font pas trop bosser donc il faut s'y mettre sérieusement soit même).
Appareil :
Pratiquement, ça donne des appareils qui vont du tube et toile moteur 2 temps qui plafonne à 120 km/h au presque 100% composites avec transpondeur, horizon et tout le bazar qui vole à 180 km/h en croisière (type MCR). Ca permet d'envisager de s'en acheter un mais aussi de voler sur des machines qui n'ont rien à envier aux avions d'aéroclub (à par 2 places de plus). En plus tu peut mettre de l'essence du supermarché d'à coté sans problème et faire l'entretient toi même. Après il faut s'y connaitre un peu en mécanique.
Pilotage :
Vu que c'est vraiment léger ça se pilote très "aux fesses". La formation insiste également beaucoup sur la panne moteur et le posé en urgence ou en campagne. Il est vrais que la panne moteur était pendant un temps un peu plus fréquente que sur avion, je sais pas si c'est toujours la cas. Même si c'est moins courant on peut aujourd'hui parfaitement voyager en ULM, le seul truc c'est que tu es parfois limité par les aéroports.
Voila voila si tu as d'autres question n'hésites pas.
Réglementation :
En gros tu es responsable de tout ce que tu fais. C'est à dire que tu as ta licence à vie (pas besoin d'un nombre d'heure minimum pas ans) et que l'entretient n'est pas réglementé.
Formation :
L'heure de vol ne te couteras pas forcément moins chère mais le minimum requis pour la licence n'est que de 10H. Personnellement j'ai fait 12h environ en sachant que j'avais déjà fait pas mal de double commande à coté. Ca m'a couté dans les 1300€ - 250€ de subvention de la fédé pour les - de 25 ans si je me souvient bien.
La théorie est relativement plus simple que celle PPL à ce que j'ai entendu dire (au niveau navigation notamment) mais le truc c'est que les club te le font pas trop bosser donc il faut s'y mettre sérieusement soit même).
Appareil :
En gros c'est ça, tu as également le droit à 25kg en plus si tu as un parachute.Moins de 450 kg de masse à la charge maxi autorisée, et une vitesse de décrochage pas inférieure à une certain seuil que je n'ai pas en tête (65 km/h je crois) et c'est un ULM (c'est un peu plus compliqué que ça, mais c'est le principe).
Pratiquement, ça donne des appareils qui vont du tube et toile moteur 2 temps qui plafonne à 120 km/h au presque 100% composites avec transpondeur, horizon et tout le bazar qui vole à 180 km/h en croisière (type MCR). Ca permet d'envisager de s'en acheter un mais aussi de voler sur des machines qui n'ont rien à envier aux avions d'aéroclub (à par 2 places de plus). En plus tu peut mettre de l'essence du supermarché d'à coté sans problème et faire l'entretient toi même. Après il faut s'y connaitre un peu en mécanique.
Pilotage :
Vu que c'est vraiment léger ça se pilote très "aux fesses". La formation insiste également beaucoup sur la panne moteur et le posé en urgence ou en campagne. Il est vrais que la panne moteur était pendant un temps un peu plus fréquente que sur avion, je sais pas si c'est toujours la cas. Même si c'est moins courant on peut aujourd'hui parfaitement voyager en ULM, le seul truc c'est que tu es parfois limité par les aéroports.
Voila voila si tu as d'autres question n'hésites pas.
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