Deroutement
Modérateur : Big Brother
On m a raconté l histoire d' un pilote qui avait tout calculé a la minute pres...le tout en respectant les reserves régmementaires...le tout avec un conso donnée dans le manuel de vol en respectant toutes les données du vol( altitude, temp...) sauf que ces données correspondaient pour un avion mixturé!!!
En croisière, il n a jamais mixturé son avion et il est tombé en panne seche avant la destination!!
a retenir!!!
perso,je prends de quoi faire mon vol plus 1h (30min pour degager et 30 min de reserve finale)
ça me permet de palier a des vents plus forts que prévu, ou un ecart de route...que sais-je encore!
bons vols
En croisière, il n a jamais mixturé son avion et il est tombé en panne seche avant la destination!!
a retenir!!!
perso,je prends de quoi faire mon vol plus 1h (30min pour degager et 30 min de reserve finale)
ça me permet de palier a des vents plus forts que prévu, ou un ecart de route...que sais-je encore!
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La réserve raisonnable dépend de pleins de paramètres, il n'y a pas de formule toute faite. Quelle est la fiabilité de la météo du jour, y t il deux pistes à l'arrivée, est ce que j'ai mesuré la consommation réelle de l'avion lors d'un précédent vol, ai-je un débimètre, ai-je vérifié la fiabilité des jauges, ai-je d'autres aérodromes sur ma route ou à proximité de ma destination, est-ce que j'ai un service à AFIS ou TWR à l'arrivée, etc.
Mesurer systématiquement l'écart entre la consommation réelle et la consommation prévue (en refaisant le plein, comparer l'essence mise à celle qu'il était prévu de consommer) me semble une bonne pratique, qui pourtant ne m'a jamais été enseignée. Mesurer aussi la durée réelle pour l'intégration, par rapport à celle prévue.
10% à la place du vent réellement prévu, c'est souvent très loin de la réalité. 20kt de vent ce n'est pas rare, et pour un avion qui vole à 100kt, ça fait 25% d'écart si le vent est de face.
Mesurer systématiquement l'écart entre la consommation réelle et la consommation prévue (en refaisant le plein, comparer l'essence mise à celle qu'il était prévu de consommer) me semble une bonne pratique, qui pourtant ne m'a jamais été enseignée. Mesurer aussi la durée réelle pour l'intégration, par rapport à celle prévue.
10% à la place du vent réellement prévu, c'est souvent très loin de la réalité. 20kt de vent ce n'est pas rare, et pour un avion qui vole à 100kt, ça fait 25% d'écart si le vent est de face.
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@jaimelesavions : tu as raison sur beaucoup de points, mais je pense que le mieux est l'ennemi du bien.
Si tu demandes tout ça à un pilote privé, au mieux il volera moins souvent au pire il ne le fera pas.
L'objectif n'est pas de savoir combien il reste dans les réservoirs, l'objectif est qu'il ne tombe jamais en panne sèche, c'est un peu différent.
Bien sûr si le jour du vol, tu as 20 kts de face tu as intérêt à refaire ton bilan carbu. En pratique c est assez rare.
Si tu demandes tout ça à un pilote privé, au mieux il volera moins souvent au pire il ne le fera pas.
L'objectif n'est pas de savoir combien il reste dans les réservoirs, l'objectif est qu'il ne tombe jamais en panne sèche, c'est un peu différent.
Bien sûr si le jour du vol, tu as 20 kts de face tu as intérêt à refaire ton bilan carbu. En pratique c est assez rare.