AFRIQUE DU SUD // 43 air school et aptrac
Modérateur : Big Brother
AFRIQUE DU SUD // 43 air school et aptrac
Bonjour je voulais savoir si quelqu'un connaissait aptrac ou 43 air school qui sont basé à port alfred
http://www.43airschool.com/
http://www.aptrac.com/
Si vous avez d'autre école en afrique du sud postez les liens et donnez vos avis.
merci
http://www.43airschool.com/
http://www.aptrac.com/
Si vous avez d'autre école en afrique du sud postez les liens et donnez vos avis.
merci
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- Elève-pilote posteur
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- Enregistré le : 26 nov. 2007, 14:45
- Localisation : Maisons Alfort (94)
43 school est considérée comme l'école n°1 en AFS, avec un règlement intérieur des plus strictes. Elle est aussi la plus chère.
Voici les liens de quelques écoles dans la région de Johannesburg.
http://www.fts.co.za/
http://www.superiorpilots.co.za/
http://www.flyingacademy.co.za/
http://www.safta.co.za/
Forum sudaf ou tu peux trouver plein d'informations.
http://www.avcom.co.za/phpBB3/index.php
Si t'as besoin d'autres infos n'hésite pas.
Voici les liens de quelques écoles dans la région de Johannesburg.
http://www.fts.co.za/
http://www.superiorpilots.co.za/
http://www.flyingacademy.co.za/
http://www.safta.co.za/
Forum sudaf ou tu peux trouver plein d'informations.
http://www.avcom.co.za/phpBB3/index.php
Si t'as besoin d'autres infos n'hésite pas.
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- Elève-pilote posteur
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Ma quête pour devenir pilote de ligne : Mon expérience à 43 Air School* Port Alfred* Afrique Du Sud*
*Introduction :*
Salut à tous les passionnés d'aviation,
À l'âge de 20 ans, j'ai entamé un voyage extraordinaire pour réaliser mon rêve de devenir pilote de ligne. Depuis aussi longtemps que je m'en souvienne, l'aviation a été ma passion. Après avoir obtenu mon baccalauréat, j'ai décidé de suivre une formation intensive en anglais pour préparer mon admission dans une école d'aviation réputée. Mes parents ont soigneusement choisi la 43 Air School en Afrique du Sud, et c'est là que mon aventure aérienne a véritablement débuté.
Après de longues et sinueuses péripéties pour obtenir mon visa étudiant, j'ai finalement pu intégrer la 43AirSchool en novembre 2022. L'école est située dans un village éloigné des grandes villes d'Afrique du Sud, et l'aéroport local ne dispose pas d'un système de gardiennage efficace contre les intrus, ce qui suscite des préoccupations pour la sécurité des élèves résidant dans les dortoirs au sein de l'aérodrome. De plus, l'expérience n'était pas exempte de points négatifs, notamment en ce qui concerne la nourriture au self-service, qui se limitait souvent au même menu (notamment, "les menus du self-service ne sont variés que sur une période d'une semaine"). De plus, un jour, j'ai trouvé une chenille de 3 cm au beau milieu de mon plat de salade.
*Conditions de vie :*
Les menus du self-service se répétaient sur une période d'une semaine, ce qui a contribué à la monotonie de la vie quotidienne. Les heures de dîner étaient dictées par une politique visant à réduire les heures de travail du personnel, ce qui pouvait affecter notre horloge interne ("Les heures du dîner sont de 16h à 18h et pas après, ce qui a pour conséquence de perturber notre rythme de vie"). De plus, la sécurité était une préoccupation majeure, avec un seul gardien d’une cinquantaine d’années s'occupant de patrouiller autour de l'aéroport, il était peu équipé pour protéger les élèves la nuit, et des témoignages d'anciens élèves agressés par des intrus m'ont été rapportés.
*Hébergement et coûts :*
Les chambres en dortoir étaient excessivement coûteuses, dépassant les 700 euros par mois, sans accès Wi-Fi (sauf en option payante pour environ 30 euros par mois, sans fibre et avec des coupures intempestives). Certaines chambres premium étaient disponibles, mais réservées et plus chères. Les coupures de courant fréquentes en Afrique du Sud, ainsi que la présence de serpents venimeux aux abords des habitations et des bâtiments de l’aéroport étaient des inconvénients supplémentaires.
*Formation en vol :*
Seuls quelques élèves étaient autorisés à voler sur les avions les plus récents, Pipistrel VIRUS, tandis que la majorité utilisait des PA28 à instruments analogues de plus de 60 ans d'âge en moyenne avec un intérieur très vétuste, ce qui ne correspondait pas aux normes actuelles des écoles d’aviation les plus réputées en matière de formation. La politique de l'école visant à maximiser les profits semblait entraver les investissements dans des avions plus modernes et confortables, ce qui pour ma part va à l’encontre de la philosophie de tout passionné d’aviation, étant une industrie qui tend à l’amélioration et à l’évolution, s’efforçant de ne pas stagner sur des acquis et améliorations appartenant déjà au passé.
*Élèves renvoyés :*
Bien que la 43 Air School ait été reconnue comme la meilleure école d'aviation de l'hémisphère Sud, notamment grâce à son règlement intérieur strict, plusieurs élèves admis dans ma promotion n'ont pas atteint le vol en solo avant leur 25ème heure de vol, ce qui a conduit à l'arrêt de leurs formations et à leur renvoi immédiat pour manque de compétence ("sur les 8 autres élèves admis dans ma promotion, à ce jour, 3 d’entre eux ont vu leurs rêves de devenir pilote s’arrêter à 43 airschool. Par ailleurs, je tiens à souligner qu’il n’y avait aucun examen d’entrée avant d’être accepté en tant qu’élève pilote. Si 43AirSchool avait une sorte de procédure d’examen préalable au commencement de la formation des élèves, cela éviterait la perte d'argent pour les sponsors desdits élèves due à l'interruption de leur formation en raison de leur incapacité à progresser comme souhaité. (Arrivé à la 24ème heure, vous aurez dépensé un peu plus de 8000 euros en logement et heures de vols seulement, sans compter tous les autres frais annexes tels que VISA, billets d’avion, courses, loisirs, taxi,…)
*Conclusion :*
En tant que citoyen européen français, j'ai finalement pris la décision de mettre fin à ma formation après avoir réalisé les contraintes de la conversion de licence et les limitations futures pour travailler en Europe occidentale ou aux États-Unis. Bien que la 43 Air School soit reconnue pour sa discipline stricte, elle ne semble pas offrir d'opportunités directes pour les résidents et citoyens européens, à moins d'envisager un processus de conversion coûteux en temps et en argent.
Salut à tous les passionnés d'aviation,
À l'âge de 20 ans, j'ai entamé un voyage extraordinaire pour réaliser mon rêve de devenir pilote de ligne. Depuis aussi longtemps que je m'en souvienne, l'aviation a été ma passion. Après avoir obtenu mon baccalauréat, j'ai décidé de suivre une formation intensive en anglais pour préparer mon admission dans une école d'aviation réputée. Mes parents ont soigneusement choisi la 43 Air School en Afrique du Sud, et c'est là que mon aventure aérienne a véritablement débuté.
Après de longues et sinueuses péripéties pour obtenir mon visa étudiant, j'ai finalement pu intégrer la 43AirSchool en novembre 2022. L'école est située dans un village éloigné des grandes villes d'Afrique du Sud, et l'aéroport local ne dispose pas d'un système de gardiennage efficace contre les intrus, ce qui suscite des préoccupations pour la sécurité des élèves résidant dans les dortoirs au sein de l'aérodrome. De plus, l'expérience n'était pas exempte de points négatifs, notamment en ce qui concerne la nourriture au self-service, qui se limitait souvent au même menu (notamment, "les menus du self-service ne sont variés que sur une période d'une semaine"). De plus, un jour, j'ai trouvé une chenille de 3 cm au beau milieu de mon plat de salade.
*Conditions de vie :*
Les menus du self-service se répétaient sur une période d'une semaine, ce qui a contribué à la monotonie de la vie quotidienne. Les heures de dîner étaient dictées par une politique visant à réduire les heures de travail du personnel, ce qui pouvait affecter notre horloge interne ("Les heures du dîner sont de 16h à 18h et pas après, ce qui a pour conséquence de perturber notre rythme de vie"). De plus, la sécurité était une préoccupation majeure, avec un seul gardien d’une cinquantaine d’années s'occupant de patrouiller autour de l'aéroport, il était peu équipé pour protéger les élèves la nuit, et des témoignages d'anciens élèves agressés par des intrus m'ont été rapportés.
*Hébergement et coûts :*
Les chambres en dortoir étaient excessivement coûteuses, dépassant les 700 euros par mois, sans accès Wi-Fi (sauf en option payante pour environ 30 euros par mois, sans fibre et avec des coupures intempestives). Certaines chambres premium étaient disponibles, mais réservées et plus chères. Les coupures de courant fréquentes en Afrique du Sud, ainsi que la présence de serpents venimeux aux abords des habitations et des bâtiments de l’aéroport étaient des inconvénients supplémentaires.
*Formation en vol :*
Seuls quelques élèves étaient autorisés à voler sur les avions les plus récents, Pipistrel VIRUS, tandis que la majorité utilisait des PA28 à instruments analogues de plus de 60 ans d'âge en moyenne avec un intérieur très vétuste, ce qui ne correspondait pas aux normes actuelles des écoles d’aviation les plus réputées en matière de formation. La politique de l'école visant à maximiser les profits semblait entraver les investissements dans des avions plus modernes et confortables, ce qui pour ma part va à l’encontre de la philosophie de tout passionné d’aviation, étant une industrie qui tend à l’amélioration et à l’évolution, s’efforçant de ne pas stagner sur des acquis et améliorations appartenant déjà au passé.
*Élèves renvoyés :*
Bien que la 43 Air School ait été reconnue comme la meilleure école d'aviation de l'hémisphère Sud, notamment grâce à son règlement intérieur strict, plusieurs élèves admis dans ma promotion n'ont pas atteint le vol en solo avant leur 25ème heure de vol, ce qui a conduit à l'arrêt de leurs formations et à leur renvoi immédiat pour manque de compétence ("sur les 8 autres élèves admis dans ma promotion, à ce jour, 3 d’entre eux ont vu leurs rêves de devenir pilote s’arrêter à 43 airschool. Par ailleurs, je tiens à souligner qu’il n’y avait aucun examen d’entrée avant d’être accepté en tant qu’élève pilote. Si 43AirSchool avait une sorte de procédure d’examen préalable au commencement de la formation des élèves, cela éviterait la perte d'argent pour les sponsors desdits élèves due à l'interruption de leur formation en raison de leur incapacité à progresser comme souhaité. (Arrivé à la 24ème heure, vous aurez dépensé un peu plus de 8000 euros en logement et heures de vols seulement, sans compter tous les autres frais annexes tels que VISA, billets d’avion, courses, loisirs, taxi,…)
*Conclusion :*
En tant que citoyen européen français, j'ai finalement pris la décision de mettre fin à ma formation après avoir réalisé les contraintes de la conversion de licence et les limitations futures pour travailler en Europe occidentale ou aux États-Unis. Bien que la 43 Air School soit reconnue pour sa discipline stricte, elle ne semble pas offrir d'opportunités directes pour les résidents et citoyens européens, à moins d'envisager un processus de conversion coûteux en temps et en argent.
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