Posté : 03 déc. 2014, 23:53
Par contre quand on a donné des niveaux 4 et 5 à des pilotes de ligne qui exerçaient dans le monde entier depuis 10 ou 20 ans, ça n'a choqué personne...
Alors l'argument "celui qui a passé sa licence en UK a parlé des dizaine d'heures avec des anglais", ça me fait doucement rigoler...
Perso, j'ai 10000 heures de vol, dont 8500 en ligne et 6000 en long courrier, mais on ne m'a pas filé de niveau 6 automatiquement (par contre j'avais le droit d'aller me poser à LHR depuis des années sans aucun pb...). J'ai passé un examen, et on m'a donné un niveau 5 "seulement". Et pourtant mon expérience de la radiotéléphonie et des opérations en langue anglaise est sans commune mesure avec un CPL-IR tout neuf fait au UK (je lui souhaite d'ailleurs bien du plaisir avec son niveau 6 la première fois qu'il va mettre les pieds aux US, mais surtout en Chine ou en Inde...).
Cet examen est une pompe à blé doublée d'une discrimination envers tous les pilotes qui ne sont pas de langue maternelle anglaise. En aucun cas un critère de compétence réelle (on en revient toujours au même pb).
Alors l'argument "celui qui a passé sa licence en UK a parlé des dizaine d'heures avec des anglais", ça me fait doucement rigoler...
Perso, j'ai 10000 heures de vol, dont 8500 en ligne et 6000 en long courrier, mais on ne m'a pas filé de niveau 6 automatiquement (par contre j'avais le droit d'aller me poser à LHR depuis des années sans aucun pb...). J'ai passé un examen, et on m'a donné un niveau 5 "seulement". Et pourtant mon expérience de la radiotéléphonie et des opérations en langue anglaise est sans commune mesure avec un CPL-IR tout neuf fait au UK (je lui souhaite d'ailleurs bien du plaisir avec son niveau 6 la première fois qu'il va mettre les pieds aux US, mais surtout en Chine ou en Inde...).
Cet examen est une pompe à blé doublée d'une discrimination envers tous les pilotes qui ne sont pas de langue maternelle anglaise. En aucun cas un critère de compétence réelle (on en revient toujours au même pb).