l'affaire jamais, ça vole toujours mais faut un tres bon reseau
Bon courage, le maintien des compétences et le remboursement du credit, c'est toujours compliqué...
Modérateur : Big Brother
Ce que tu pourrais faire c'est dans un premier temps passer ton CPL IR ME, et selon la situation du marché temporiser pour la MCC..ça t evitera d'avoir une MCC un peu vieillissante quand ça embauche de nouveau chez RYR, Wizz etc...à voir.LaChune a écrit : ↑02 oct. 2024, 14:43 Salut, est-ce que vous observez les mêmes tendances au niveau des recrutements dans l'aviation d'affaire ? Ou peut être que ca recrute un peu plus de ce côté là notamment pour les low timers ? Je serai CPL IR ME avec MCC au printemps 2025 et je me demande si la période sera bonne pour trouver une place en compagnie d'affaire.. A+
Gros +1tekzone a écrit : ↑03 oct. 2024, 09:41 Bel exemple de ramassis de stéréotype fallacieux "les jeunes ne veulent plus bosser". Dommage qu'il soit totalement faux.
Pour côtoyer pas mal de jeunes et moins jeunes sortis récemment d'école, je ne vois que le contraire. Les gens sont prêts à s'expatrier, à accepter des conditions de travail pas terribles pour débuter, à travailler selon des horaires à-la-con, ... Ceux-là même à qui on reprochera sans aucun doute d'accepter de travailler pour des conditions tellement mauvaises que cela dégrade la profession.
Mais c'est sûr que c'est plus facile de mettre des œillères et de répéter les discours de vieux cons sans fondement. Surtout qu'en plus quelque chose me dit que dans cette "petite compagnie d'affaires", les conditions de boulot doivent plutôt sentir le fond du panier qu'autre chose. Et il doit quand même réussir à s'étonner que ses employés/indépendants partent vers des compagnies bien meilleures en terme de conditions.
Le problème vient aussi de jeunes pilotes qui ne savent pas forcément comment postuler. S'ils se restreignent aux offres auxquelles ils remplissent tous les critères ou bien qu'ils font tout par mail / plateforme de recrutement, ils auront en effet peu de retours. Dans la majorité des "petites" boites offrant des conditions décentes, le recrutement passe par du piston, un passage au sol ou bien en se présentant directement dans les bureaux, jamais elles ne publient d'offres d'emploi (par exemple Oyonnair, Pan Europeenne ou Airlec pour n'en citer que quelques unes).Sam73 a écrit : ↑03 oct. 2024, 15:03La plupart de mes camarades de promo sont des jeunes très bien, travailleurs et sérieux, qui postulent à toutes les offres quelque soit l'endroit et les conditions, mais sans heures IFR ou turbine, personne ne leur répond.tekzone a écrit : ↑03 oct. 2024, 09:41 Bel exemple de ramassis de stéréotype fallacieux "les jeunes ne veulent plus bosser". Dommage qu'il soit totalement faux.
Pour côtoyer pas mal de jeunes et moins jeunes sortis récemment d'école, je ne vois que le contraire. Les gens sont prêts à s'expatrier, à accepter des conditions de travail pas terribles pour débuter, à travailler selon des horaires à-la-con, ... Ceux-là même à qui on reprochera sans aucun doute d'accepter de travailler pour des conditions tellement mauvaises que cela dégrade la profession.
Mais c'est sûr que c'est plus facile de mettre des œillères et de répéter les discours de vieux cons sans fondement. Surtout qu'en plus quelque chose me dit que dans cette "petite compagnie d'affaires", les conditions de boulot doivent plutôt sentir le fond du panier qu'autre chose. Et il doit quand même réussir à s'étonner que ses employés/indépendants partent vers des compagnies bien meilleures en terme de conditions.
Même la boîte de travail aérien sur Cessna 172/182 à côté de chez moi a des CV en attente a ne plus savoir qu'en faire, et voit défiler plusieurs fois par semaine de nouveaux pilotes en recherche d'un premier job qui viennent se présenter physiquement et déposer leur CV sur place.
Faire All-in avec un 2 de pique et un 7 de cœur c’est aussi un coup de poker. Ce n’est pas pour autant qu’il aura une chance d’être gagnant.quebecXray a écrit : ↑02 oct. 2024, 15:47Une QT sèche c'est un peu un coup de poker. Pour une QT CJ en France je dirais qu'il faut compter 22-25K.LaChune a écrit : ↑02 oct. 2024, 15:22 OK merci pour vos précieux retours... on verra comment se porte le marché à ce moment là, mais s'il n'est pas favorable, il faudra peut être prendre des risques et payer une QT sèche pour optimiser ses chances de recrutement... à titre d'info une QT sur CJ c'est à peu près 20K-30K ?
Je ne savais pas que Oyonnair avaient des conditions décentesFlyingKangaroo a écrit : ↑03 oct. 2024, 16:16Le problème vient aussi de jeunes pilotes qui ne savent pas forcément comment postuler. S'ils se restreignent aux offres auxquelles ils remplissent tous les critères ou bien qu'ils font tout par mail / plateforme de recrutement, ils auront en effet peu de retours. Dans la majorité des "petites" boites offrant des conditions décentes, le recrutement passe par du piston, un passage au sol ou bien en se présentant directement dans les bureaux, jamais elles ne publient d'offres d'emploi (par exemple Oyonnair, Pan Europeenne ou Airlec pour n'en citer que quelques unes).Sam73 a écrit : ↑03 oct. 2024, 15:03La plupart de mes camarades de promo sont des jeunes très bien, travailleurs et sérieux, qui postulent à toutes les offres quelque soit l'endroit et les conditions, mais sans heures IFR ou turbine, personne ne leur répond.tekzone a écrit : ↑03 oct. 2024, 09:41 Bel exemple de ramassis de stéréotype fallacieux "les jeunes ne veulent plus bosser". Dommage qu'il soit totalement faux.
Pour côtoyer pas mal de jeunes et moins jeunes sortis récemment d'école, je ne vois que le contraire. Les gens sont prêts à s'expatrier, à accepter des conditions de travail pas terribles pour débuter, à travailler selon des horaires à-la-con, ... Ceux-là même à qui on reprochera sans aucun doute d'accepter de travailler pour des conditions tellement mauvaises que cela dégrade la profession.
Mais c'est sûr que c'est plus facile de mettre des œillères et de répéter les discours de vieux cons sans fondement. Surtout qu'en plus quelque chose me dit que dans cette "petite compagnie d'affaires", les conditions de boulot doivent plutôt sentir le fond du panier qu'autre chose. Et il doit quand même réussir à s'étonner que ses employés/indépendants partent vers des compagnies bien meilleures en terme de conditions.
Même la boîte de travail aérien sur Cessna 172/182 à côté de chez moi a des CV en attente a ne plus savoir qu'en faire, et voit défiler plusieurs fois par semaine de nouveaux pilotes en recherche d'un premier job qui viennent se présenter physiquement et déposer leur CV sur place.
Libre à chacun de placer son curseur où il le souhaite, mais décrocher son premier job à 2000€/mois et QT payée (bondée désormais il me semble), ça me semble décent en comparaison de compagnies où il faut sortir 25k€ pour la QT et survivre avec un SMIC.
ça dépend de la QT et de la compagnie.FlyingKangaroo a écrit : ↑04 oct. 2024, 12:06
Libre à chacun de placer son curseur où il le souhaite, mais décrocher son premier job à 2000€/mois et QT payée (bondée désormais il me semble), ça me semble décent en comparaison de compagnies où il faut sortir 25k€ pour la QT et survivre avec un SMIC.
Manque d'avion (livraisons en retard),cruel manque de LTC (principale cause) et manque de simu (devrais être réglé d'ici quelques mois avec la construction de 2 nouveaux trainings center)fouga a écrit : ↑30 sept. 2024, 20:46 à voir comment ça va évoluer, on a eu une euphorie entre 2015 et 2020 après dix ans de vache maigre, puis on s'attendait à une catastrophe avec le covid, alors qu'à l'issue une euphorie encore plus grande qu'avant... on est dans un creux de vague mais à voir, en tout cas moins pire que lors de la crise de 2008...
RYR c'est pourquoi? j'ai entendu à cause de la fiabilité des Boeing mais j'y crois moyen si on me dit qu'ils ne vont plus rentrer d'avion...