Posté : 19 août 2010, 14:02
Ben moi j'y arrive po

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Ben moi, j'ai jamais essayé. Ptet que je suis un pilote de merde sans le savoir, ptet que j'aurais du faire de l'instructionJumbo a écrit :Ben moi j'y arrive po![]()
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Et c'est quoi exactement, l'intérêt de la manoeuvre ?RZS a écrit :j'aimerais pas lui demander un 720° à 60° d'inclinaison...
Si c'est toi qui le dis... En tous cas, c'est bien de savoir faire son autocritique !RZS a écrit :Lire des c.... pareilles ça troue le c....
Je crois qu'on a tous compris ou il voulait en venir.gardian a écrit :Je pense que ce que voulait dire RZS, c'est que ce n'est pas parce qu'à 30 ans on n'est pas captain chez AF que l'on a raté sa vie de pilote. Il se peut que certains trouvent leur pleinitude à faire de l'épandage ou des evasan de nuit.
Certains n'ont pas la chance de faire et l'enac et économisent année aprés année pour monter leurs heures, payer le théorique pour enfin, quelque soit l'âge, réaliser leur rêve de gosse: être payé pour voler.
Un aspect trop peu souvent développé sur aeronet mais qui est pourtant de la plus grande importance. A méditer pour ceux qui crient haut et fort qu'il faut accepter "n'importe quoi" comme premier job et foncer sur la première opportunité sans réfléchir aux conséquences de vie. Car vouloir vivre de sa passion à tout prix est une chose mais l'aspect fondamental, me semble-t-il, est de se sentir "heureux" dans son job.Worn Down Piano a écrit :Vous savez, la qualité de vie, c'est avant tout personnel. Pire: c'est un facteur tellement intime que s'en faire une idée précise, même sur base de témoignages directs, est relativement illusoire.
Cela dépend de tant de paramètres! Tenez, je vais vous faire un topo volontairement caricatural...
Certains n'apprécieront pas de quitter leur région ou leur pays. A des degrés variables. Certains seront heureux s'ils restent en Europe, plus loin cela n'ira plus. D'autres devront rester dans un rayon de 500 kilomètres de Bordeaux pour se sentir bien, d'autres encore ne verront aucun inconvénient à partir 3 mois pour en revenir 1, quelque soit l'endroit sur Terre. D'autres s'expatrieront pour de bon et referont une autre vie dans un autre pays dans une compagnie bien définie car au fond d'eux-même ils n'aiment pas trop les changements brusques. D'autres auront besoin de rester près de leurs amis "d'origine", et ce de manière physique. D'autres encore auront du mal à être heureux dans telle ou telle culture...
Alors l'argent... Oui, mais l'argent ne fait pas le bonheur (pour la plupart des gens). S'asseoir sur un tas de fric mais se retrouver "seul" (et attention seul signifie seul dans sa tête, on se comprend), il faut savoir le supporter...
On ne s'affranchit pas si facilement de la génétique... Partir (mais vraiment partir) à l'étranger, c'est surtout un travail profond sur la connaissance de soi. C'est s'analyser très précisément, c'est tenter de débusquer l'essence même de sa vie.
De quoi ai-je besoin pour vivre, socialement? De quoi suis-je capable tout en maintenant mon bonheur réel?
Pas si simple...
Avec 80 places à raffler (autant dire une goutte d'eau dans un océan), c'est pas avec les minimums requis que tu auras de grandes chances, faut plutot viser les maximum requisQRH a écrit :Minimum requirements?
svp "renaudCAG", merci de poster des messages qui ont un rapport avec le titre du sujet (le but est d'accéder rapidement aux infos sur les compagnies), qui me parait assez explicite pourtant ...renaudCAG a écrit :Un aspect trop peu souvent développé sur aeronet mais qui est pourtant de la plus grande importance. A méditer pour ceux qui crient haut et fort qu'il faut accepter "n'importe quoi" comme premier job et foncer sur la première opportunité sans réfléchir aux conséquences de vie. Car vouloir vivre de sa passion à tout prix est une chose mais l'aspect fondamental, me semble-t-il, est de se sentir "heureux" dans son job.Worn Down Piano a écrit :Vous savez, la qualité de vie, c'est avant tout personnel. Pire: c'est un facteur tellement intime que s'en faire une idée précise, même sur base de témoignages directs, est relativement illusoire.
Cela dépend de tant de paramètres! Tenez, je vais vous faire un topo volontairement caricatural...
Certains n'apprécieront pas de quitter leur région ou leur pays. A des degrés variables. Certains seront heureux s'ils restent en Europe, plus loin cela n'ira plus. D'autres devront rester dans un rayon de 500 kilomètres de Bordeaux pour se sentir bien, d'autres encore ne verront aucun inconvénient à partir 3 mois pour en revenir 1, quelque soit l'endroit sur Terre. D'autres s'expatrieront pour de bon et referont une autre vie dans un autre pays dans une compagnie bien définie car au fond d'eux-même ils n'aiment pas trop les changements brusques. D'autres auront besoin de rester près de leurs amis "d'origine", et ce de manière physique. D'autres encore auront du mal à être heureux dans telle ou telle culture...
Alors l'argent... Oui, mais l'argent ne fait pas le bonheur (pour la plupart des gens). S'asseoir sur un tas de fric mais se retrouver "seul" (et attention seul signifie seul dans sa tête, on se comprend), il faut savoir le supporter...
On ne s'affranchit pas si facilement de la génétique... Partir (mais vraiment partir) à l'étranger, c'est surtout un travail profond sur la connaissance de soi. C'est s'analyser très précisément, c'est tenter de débusquer l'essence même de sa vie.
De quoi ai-je besoin pour vivre, socialement? De quoi suis-je capable tout en maintenant mon bonheur réel?
Pas si simple...
Plutôt une bonne nouvelle.xavierpilote a écrit :Salut B727,
Oui la taille des flottes augmente pas mal chez Vietnam, ce qui explique les recrutements depuis un bon bout de temps. Il n'y a pas beaucoup de départs/demisson et les employés sont contents dans la grande majorité
Oui pour la commande, si ça vient ça sera cool, j'espère en début de l'année prochaine si tout va bien![]()
Xavier