Modérateur : Big Brother
En fait rien n'est écrit. Pas encore du moins. Il est probable qu'un PDV soit mis sur le tapis par la compagnie comme une menace pour faire avaler d'autres couleuvres au SNPL. Du genre généralisation du système base province à tout le réseau point à point en échange de l'abandon de tout plan de licenciement. Je vois un marchandage de ce genre avoir lieu.Dan a écrit :Il n'est pas écrit que concernant les pilotes ce ne seront pas des licenciements mais des départs volontaires?
Dan a écrit :My point was... Avant de tirer des plans sur la comète sur ce qu'il risque d'arriver dans 6 mois, je me dis qu'il est urgent d'attendre. Même si en effet l'avenir à court et moyen terme n'est pas rose pour les sélectionnés en attente ce n'est peut être pas la peine de se faire du mal sans savoir.
Du coup je repose ma question d'il y a quelques semaines: pour ceux qui ne volent pas en attendant, essayez-vous de trouver du boulot ailleurs?
Ouais enfin l'IATA a quand même pour habitude de noircir le tableau...Dans un but de lobbying, ce qui est de bonne guerre. Il ne faut pas accorder a ces prévisions plus d'importance qu'elles n'en ont réellement.saintex32 a écrit :Au vu des previsions Iata pour les cies aeriennes , envisager une periode sterile d au moins trois ans en terme d embauches ... voir asie et moyen orient .. pour le reste survie
Bonjour à vous Cujas,CUJAS a écrit :Quand l'histoire se répète..;En 1990 AF a vécu une crise profonde, et la crise d'aujourd'hui est tout aussi sévère. Les recrutements se sont brutalement arrêtés début 90, laissant en plan une liste de près de 200 personnes (surtout des ab initio) tout comme s'est arrêté le recrutement fin 2008 en laissant 184 pros en attente. La reprise s'est fait attendre et les mises en stage n'ont repris qu'en fin 1997, soit 7 ans plus tard... (les sélections reprenant en septembre 1998); l'histoire se répétant, les mises en formation ne reprendraient qu'en 2016....et les sélections en 2016 ou 2017. Cela me semble une perspective raisonnable pour gérer votre temps et si les mises en stage arrivent plus tôt, ça ne pourra être que du bonus. Qu'en pensez vous?
Bon courage à tous
Air France a été privatisée (partiellement) en 1999. N'oublions pas que l'État Français a injécté des milliards pour sauver la compagnie qui allait tout droit à la casse. Contrairement à ce que vous dites Monsieur Cujas, l'histoire ne se répetera pas car Air France n'appartient presque plus à l'état mais majoritairement à des actionaires (premier point), Bruxelles ne permet plus à un État d'injecter des aides financières (second point), enfin l'Étata Français comme tous les États de l'UE n'aurait tout simplement plus les moyens financiers de donner le moindre million.CUJAS a écrit :Quand l'histoire se répète..;En 1990 AF a vécu une crise profonde, et la crise d'aujourd'hui est tout aussi sévère. Les recrutements se sont brutalement arrêtés début 90, laissant en plan une liste de près de 200 personnes (surtout des ab initio) tout comme s'est arrêté le recrutement fin 2008 en laissant 184 pros en attente. La reprise s'est fait attendre et les mises en stage n'ont repris qu'en fin 1997, soit 7 ans plus tard... (les sélections reprenant en septembre 1998); l'histoire se répétant, les mises en formation ne reprendraient qu'en 2016....et les sélections en 2016 ou 2017. Cela me semble une perspective raisonnable pour gérer votre temps et si les mises en stage arrivent plus tôt, ça ne pourra être que du bonus. Qu'en pensez vous?
Bon courage à tous
C'est l'argument principal qui me fait penser que l'état ne laissera jamais tomber Air France !Dan a écrit :Et aurait-il les moyens d'assumer 60000 (?) emplois à la benne et vraisemblablement autant d'emplois indirects en cas de faillite pure et simple?fabbou a écrit : enfin l'Étata Français comme tous les États de l'UE n'aurait tout simplement plus les moyens financiers de donner le moindre million.
Si le cas se presente, une nouvelle compagnie verra le jour comme cela s'est passé en Belgique, Suisse, Italie. Mais il y aura un minimum d'employés pour assurer un maximum de productivité.Et aurait-il les moyens d'assumer 60000 (?) emplois à la benne et vraisemblablement autant d'emplois indirects en cas de faillite pure et simple?
C'est exactement ça.MRA38746 a écrit :Nos ainés ont vecu bien au dessus de leurs moyens, et maintenant on va payer les pots cassés.
Blackberry a écrit :Pas avant mai 2012 en tous cas. De toutes facons l'etat francais ne peut plus aider des societes du secteur concurentiel. Et n'a plus d'argent.Dan a écrit : C'est l'argument principal qui me fait penser que l'état ne laissera jamais tomber Air France !
