je te rejoins flo sur ta conclusion, je ne voulais pas du tout faire monter la mayonnaise, et appeler à la prudence est preuve de sagesse.
Raoul, je te confirme, une bonne route, c'est souvent l'idéal, la seule chose dont il faut grandement se méfier, ce sont les lignes téléphoniques qui courent souvent le long de celles ci
Et, pour jaimelesavions, je précise mon propos: je ne dis pas que je me sens effrayé par un atterrissage forcé en campagne, je dis simplement que c'est une entreprise fort délicate à mener, dont tu ne maitriseras pas le jour dit tous les paramètres (hauteur /sol, vent, type de surfaces disponibles, stress lié à la panne et au risque), à laquelle peu de gens s'entrainent régulièrement, d'ailleurs je devrais même dire à laquelle pratiquement aucun pilote de loisir sur monomoteur ne s’entraîne réellement (et je ne les blame pas, le prix de l'heure de vol n'incite pas trop à s'y étendre), et dont on ne doit surtout pas dire qu'on se sent parfaitement tranquille à l'idée d'y être un jour confronté.
Pour dire les choses en face, des pilotes militaires très expérimentés s'y entraînent régulièrement, et le constat est à chaque fois le même: "la première fois, ça pique!". L'avantage dont nous disposons, c'est que nous pouvons nous y entraîner très souvent!