Circuits d''''attente
Modérateur : Big Brother
Bonjour tt l'monde!
Certaines questions me turlupinent à propos des circuits d'attentes:combien de "palliers" maximum peut-il exister lorsqu'on effectue un circuit d'attente en approche? Jusqu'à quelle distance, ou périmétre de l'aéroport, les circuits d'attentes peuvent-ils s'étendre? Les limitations de vittesse sont elles fonction du type d'appareils ou d'une réglementation précise de la circulation aérienne, et ds ce cas laquelle?
J'avais lu ds un article que les administrations des compagnies pouvaient imposer aux PNT des vittesses de descente fonction de leurs impératifs économiques et d'exploitation de l'avion:comment celà se passe-t-il ds la pratique, comment celà s'explique-t-il, et comment cette contrainte est-elle vécue par les équipages?
Certaines questions me turlupinent à propos des circuits d'attentes:combien de "palliers" maximum peut-il exister lorsqu'on effectue un circuit d'attente en approche? Jusqu'à quelle distance, ou périmétre de l'aéroport, les circuits d'attentes peuvent-ils s'étendre? Les limitations de vittesse sont elles fonction du type d'appareils ou d'une réglementation précise de la circulation aérienne, et ds ce cas laquelle?
J'avais lu ds un article que les administrations des compagnies pouvaient imposer aux PNT des vittesses de descente fonction de leurs impératifs économiques et d'exploitation de l'avion:comment celà se passe-t-il ds la pratique, comment celà s'explique-t-il, et comment cette contrainte est-elle vécue par les équipages?
Quelques réponses à tes questions.
Pour les paliers, les avions sont espacés de 1000ft en 1000ft jusqu'au plancher qui est défini sur chaque fiche d'approche, ce qui permet d'évoluer en toute sécurité par rapport au relief et aux autres zônes avoisinantes.Pour cela on défini pour chaque attente une vitesse maxi et un plancher qui donne une enveloppe de protection.Il existe des attentes, en route en approche et même parfois plusieurs dans une approche( attente de retardement).
Pourla documentation c'est "Instruction relatives à l'établissement des procédures de départ, d'attente et d'approche aux instruments".
20754DNA du 12/10/1982 modifiée.Deuxième partie § 3 aire de protection de l'attente.
Tu peux la trouver sur le site du journal officiel certainement mais c'est un peu soporifique.
Bon courage
Pour les paliers, les avions sont espacés de 1000ft en 1000ft jusqu'au plancher qui est défini sur chaque fiche d'approche, ce qui permet d'évoluer en toute sécurité par rapport au relief et aux autres zônes avoisinantes.Pour cela on défini pour chaque attente une vitesse maxi et un plancher qui donne une enveloppe de protection.Il existe des attentes, en route en approche et même parfois plusieurs dans une approche( attente de retardement).
Pourla documentation c'est "Instruction relatives à l'établissement des procédures de départ, d'attente et d'approche aux instruments".
20754DNA du 12/10/1982 modifiée.Deuxième partie § 3 aire de protection de l'attente.
Tu peux la trouver sur le site du journal officiel certainement mais c'est un peu soporifique.
Bon courage
Avé,
Les attentes ont toutes un même canevas utilisé de manières différentes par les pilotes et fonction des avions. Un IFR monopilote ne gèrera pas l'attente de la même manière qu'un équipage. Un 737 n'aura pas les mêmes paramètres qu'un King Air. Un pilote militaire ne verra pas l'attente comme un pilote civil,...
Il y a plusieurs écoles en ce qui concerne l'attente. Il faut adapter les procédures en fonction des cartes d'approches et des contraintes opérationnelles. Par exemple, un transporteur militaire est beaucoup moins regardant qu'un civil sur le pétrôle (coût). Par contre un chasseur ne peut se permettre d'attendre par manque d'autonomie.
Bref, tout ca pour dire que l'attente est un vaste sujet et que malgré une règlementation très stricte, les contraintes opérationnelles prennent souvent le dessus.
Bon vent et FLY SAFE!
Les attentes ont toutes un même canevas utilisé de manières différentes par les pilotes et fonction des avions. Un IFR monopilote ne gèrera pas l'attente de la même manière qu'un équipage. Un 737 n'aura pas les mêmes paramètres qu'un King Air. Un pilote militaire ne verra pas l'attente comme un pilote civil,...
Il y a plusieurs écoles en ce qui concerne l'attente. Il faut adapter les procédures en fonction des cartes d'approches et des contraintes opérationnelles. Par exemple, un transporteur militaire est beaucoup moins regardant qu'un civil sur le pétrôle (coût). Par contre un chasseur ne peut se permettre d'attendre par manque d'autonomie.
Bref, tout ca pour dire que l'attente est un vaste sujet et que malgré une règlementation très stricte, les contraintes opérationnelles prennent souvent le dessus.
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- Elève-pilote posteur
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